Anzat-le-Luguet

Anzat-le-Luguet est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région d'Auvergne-Rhône-Alpes.

Anzat-le-Luguet

Le signal du Luguet vu depuis le col de Chanusclade (versant sud).

Héraldique
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Issoire
Intercommunalité Agglo Pays d'Issoire
Maire
Mandat
Emmanuel Correia
2020-2026
Code postal 63420
Code commune 63006
Démographie
Population
municipale
173 hab. (2019 )
Densité 2,6 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 19′ 59″ nord, 3° 02′ 33″ est
Altitude 1 140 m
Min. 790 m
Max. 1 551 m
Superficie 66,56 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Brassac-les-Mines
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Anzat-le-Luguet
Géolocalisation sur la carte : France
Anzat-le-Luguet
Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme
Anzat-le-Luguet
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Anzat-le-Luguet

    Elle fait partie du parc naturel régional des volcans d'Auvergne, et de la zone d'appellation d'origine contrôlée du saint-Nectaire. Sa population a été divisée par sept en 120 ans, passant de 1318 habitants en 1896 à 173 en 2019.

    Géographie

    Anzat-le-Luguet se situe au cœur du massif volcanique du Cézallier, dont le point culminant se trouve sur la commune, proche du centre du village : le signal du Luguet (1 551 m).

    Son altitude varie entre 779 m au niveau du point de confluence du Barthonnet et du ruisseau d'Apcher et 1 551 m au signal du Luguet.

    L'habitat est caractérisé par de petites maisons aux toits de chaume et de lauze qui s'étendent sur tout le territoire de la commune.

    Sommets

    Le signal du Luguet, le Pépendille, et le Perche de gauche à droite (sud-nord).
    Le Chamaroux (à gauche).
    Sommet et observationsAltitudeObservations
    Signal du Luguet1 551 mPoint culminant du massif volcanique du Cézallier
    le Pépendille1 543 m
    le Perche1 511 m
    Chamaroux1 476 m
    Puy de la Rode1 311 m
    Rocher d'Aulhat1 270 m
    Le Chu du Bosberty1 266 m
    Cime de Lagarde1 219 m

    Cols

    Col de Chanusclade.
    ColAltitudeRouteCommuneDépartement
    de la Font rouge 1 510 m piste « Tour du Cézalier » Anzat-le-Luguet Puy-de-Dôme
    de Vestizoux 1 317 m RD 32e Saint-Alyre-ès-Montagne Puy-de-Dôme
    de la Vazèze 1 295 m RD 23 Anzat-le-Luguet Puy-de-Dôme
    du Chamaroux 1 291 m RD 724 Anzat-le-Luguet Puy-de-Dôme
    de Chanusclade 1 279 m RD 209 Vèze Cantal
    de la Plaine de Guerre 1 201 m RD 23 Anzat-le-Luguet Puy-de-Dôme

    Cours d'eau

    Cascade d'Apcher.
    Cascade de la Vazèze.
    • Sianne : affluent de l'Alagnon, qui prend sa source à proximité du Buron de Tioulouse-Haut (ruines) à 1 460 m.
    • Le Barthonnet : réunion de deux ruisseaux, ceux du Bosberty et de Vins-haut, puis devient la Voireuse au lieu-dit le Breuil (commune de Leyvaux, Cantal) à 638 m.
      • ruisseau du Bosberty, source : col de Chanusclade vers 1 260 m, ancienne mine d'Antimoine.
      • ruisseau de Vins-Haut, source : Roche de Piroux vers 1 300 m, cascade.
      • sites : Moulin de Venot (commune de Molèdes).
      • affluent : ruisseau d'Apcher.
    • Ruisseau d'Apcher :
      • source : Le Rayet à 1 300 m
      • affluent : le ruisseau de la Ravel (source : Buron de Chirol à 1 400 m), le Barthonnet.
      • sites : cascade et ancien moulin à Apcher.
    • Le Bave : se jette dans l'Alagnon à Brugeilles (Haute-Loire).
      • source : Buron de Jugnaux à 1 400 m
      • affluent : ruisseau de Combavière
    • Ruisseau de Combavière : réunion de deux ruisseaux, d'Artoux et du Buffier, puis devient Ruisseau du Moulin Neuf sous le village de Prassinet.
      • source : Burons de Chastang à 1 370 m
    • La Couze d'Ardes, affluent de l'Allier, prend sa source au col de Chamaroux (Buron de Tioulouse-Bas 1 291 m) près du Mont Chamaroux (1476 mètres).
    • Le Bonjon, affluent de la Rhue et sous-affluent de la Dordogne, prend sa source vers 1 460 m d'altitude au sud du buron de Tioulouze Haut.

    Urbanisme

    Typologie

    Anzat-le-Luguet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (60,1 %), prairies (19,7 %), forêts (13,1 %), zones agricoles hétérogènes (7,2 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Réseau de chaleur

    En décembre 2019 un réseau de chaleur a été mis en service dans le bourg de la commune[7]. Il dessert 7 bâtiments publics et 18 maisons privées. Il est alimenté en bois local.

    Toponymie

    Première mention d'Anzat en 823 sous la forme Anticiaco. Toponyme basé sur le nom de personne roman Anitius, suivi du suffixe -acum de localisation et de propriété d’origine gauloise, d’où le sens global de « domaine d'Anitius »[8]. Quant au Luguet, il procède soit du nom du dieu gaulois Lug[9], soit plutôt d’un dérivé du latin lucus « bois sacré »[10].

    De cet étymon antique provient le nom occitan du village : Anzac dau Luguet. C'est ce toponyme de langue occitane qui va être francisé pour donner le nom actuel.

    Histoire

    Le , la Reine Margot passe au Luguet. Venant du château de Carlat où elle a séjourné une année pour se rendre au château d’Ibois, elle arrive le en fin de matinée au Luguet où elle dîne chez Louis de La Rochefoucauld (+1590), comte de Randan, baron de Luguet, gouverneur d'Auvergne, un des chefs de la Ligue.

    En , Anzat est intégrée au département du Cantal, qu'elle quitte en l'an II de la République pour le Puy-de-Dôme.

    Pendant le premier tiers du XIXe siècle, une fièvre minière s’est emparée de la région du Cézallier et des vallées qui le traversent ou l'enserrent[11]. La Mine d’antimoine d'Anzat-le-Luguet fut découverte en 1814 par Jean d'Auzat Bertier à qui la concession fut accordée le par ordonnance royale[12]. A la même époque et sur les mêmes lieux fut accordée en 1837 une concession d’exploitation à la Mine d'argent et d'arsenic du Bosberty, situé aux extrémités des communes d'Anzat et de Molèdes (Cantal) pour laquelle une petite usine de traitement du minerai fut construit[13]. Durant trois ans, trois mille quintaux de minerais d’arsenic seront extrait.

    À la fin des années 1960 la commune d'Anzat-le-Luguet a vu naître la station de ski de Parrot sous l'égide du maire de l'époque Antoine Soulalioux et de jeunes de Brioude placés sous la direction de Jean Jacques Faucher. Deux téléskis furent alors construits par la Société Montaz Mautino sur le versant nord de la montagne sectionale du Perche.

    Au début des années 1980, le village a accueilli l'ACAVIJA (Association pour la construction et l'animation d'un village international de jeunes en Auvergne, sur le site du hameau de Miserat, qui a reconstruit plusieurs maisons, en coopération avec une association écossaise, le groupe allemand IJGD et l'association française Concordia.

    Le , la salle Polyvalente est inaugurée, en présence notamment de Roger Quilliot (député-maire de Clermont-Ferrand) et du maire Roger Boyer.

    • Travaux par l’architecte Georges Dumas. Le projet a coûté 1 170 000 F, soit 178 370 . Le chantier a duré 10 mois, de à .
    • La salle se compose de deux niveaux : au rez-de-chaussée, salle de réunion, un bar et des sanitaires ; au 1er étage, salle des fêtes avec estrade.

    Le , une averse de grêlons de la taille de balles de ping-pong, durant 30 minutes s’abat sur le secteur Apcher - Vins-haut - Bosberty. L’épaisseur de la couche de grêle était de 30 cm. Dégâts : pare-brises et carrosserie de voitures, toitures endommagées, chéneaux... En ce début de campagne de fenaisons, la grêle a couché l'herbe de nombreuses parcelles, d'où des pertes de récoltes.

    Les 26 et , lors de la tempête, 35 000 m3 de bois ont été renversés sur l'ensemble de la commune (la plus sinistrée du Puy-de-Dôme concernant les forêts publiques). De nombreux axes routiers sont coupés plusieurs jours à cause de la neige et des arbres couchés. L’électricité a été coupée puis rétablie à des endroits après le .

    Le , le logement communal, du nouveau secrétariat de mairie, de l'agence postale communale et de la médiathèque intercommunale, est inauguré, en présence de :

    • Hamel-Francis Mekachera, sous-préfet d'Issoire,
    • Jean-Yves Gouttebel, président du conseil général du Puy-de-Dôme,
    • Jean-Paul Bacquet, député de la circonscription d'Issoire,
    • Bernard Veissière, conseiller général et maire d'Ardes-sur-Couze,
    • Rémi Vigier, maire d'Anzat-le-Luguet.

    Politique et administration

    En 2011, la commune faisait partie du canton d'Ardes. Depuis 2015, la commune est rattachée au canton de Brassac-les-Mines[14].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1947 mars 1971 Antoine Soulalioux SFIO agriculteur
    1971 1977 Jean-Jacques Vidal RI agriculteur
    1977 1989 Roger Boyer RPR puis PS  
    1989 1995 Valentin Reboisson UDF  
    1995 juin 1997 Claude Brochet    
    juin 1997 mars 1998 Claude Chastel    
    mars 1998 mars 2001 Jeanine Vinatié    
    mars 2001 mars 2014 Rémi Vigier    
    mars 2014
    (réélu en 2020)
    En cours
    (au 2 août 2020)
    Emmanuel Correia[15] Modem Ferronnier d'Art

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[17].

    En 2019, la commune comptait 173 habitants[Note 2], en diminution de 5,98 % par rapport à 2013 (Puy-de-Dôme : +3,3 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7491 5071 7671 8151 8171 9911 9151 8681 737
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6971 6181 5261 5041 4441 3911 3621 3341 318
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2731 1651 034894816790797698686
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    613540448377295238205209187
    2014 2019 - - - - - - -
    184173-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Villages

    Nom Altitude maxi Altitude mini Accès Précisions
    Parrot 1 285 m 1 270 m D721 Station de pleine nature : ski de fond, VTT...
    La Barre 1 250 m 1 235 m depuis D721
    Le Luguet 1 225 m 1 185 m D721
    Bosberty 1 220 m 1 200 m D715 Village le plus au sud du Puy-de-Dôme
    La Vazèze 1 215 m 1 205 m depuis la D23 et D715
    Le Buffier 1 215 m 1 205 m depuis la D721
    Apcher 1 190 m 1 170 m D23
    Vins-Haut 1 185 m 1 165 m D23 - D715
    La Boriette 1 170 m 1 165 m depuis la D23
    Lastauve 1 160 m 1 150 m depuis la D23
    Artoux 1 155 m 1 145 m depuis la D721 Cirque d'Artoux
    Le Moulin 1 155 m 1 150 m depuis la D23 et D721
    Sagne 1 150 m 1 145 m depuis la D23
    Vins-Mège 1 145 m 1 140 m depuis la D23
    Anzat-le-Luguet 1 135 m 1 115 m D23 - D721
    Vieillebesse 1 135 m 1 130 m depuis la D23
    Vins-Bas 1 130 m 1 115 m depuis la D23
    Saroil 1 120 m 1 110 m depuis la D721
    Combavière 1 110 m 1 105 m depuis la D23
    La Combe 1 110 m 1 108 m D23 - D721
    La Rochette 1 110 m 1 075 m depuis la D23 et D721
    La Freidière 1 105 m 1 100 m D23
    Le Mazet 1 100 m 1 085 m depuis la D23
    Besse 1 060 m 1 045 m depuis la D23
    La Brugère 1 045 m 1 040 m depuis la D23
    Prassinet 1 040 m 1 030 m D23
    Miserat 1 025 m 1 020 m depuis la D23
    Auzolle 995 m 985 m depuis la D23
    Reyrol 980 m 970 m depuis la D23
    Le Moulin Neuf 960 m 955 m depuis la D23

    Économie

    Essentiellement agricole (élevage, pastoralisme). Bois. Ski nordique. Commune d'une superficie dépassant les 6500 ha dont 40% en pâtures ou forêts sectionales.

    • 1 boulangerie-pâtisserie,
    • 1 restaurant-supérette,
    • 1 point Poste,
    • 1 centre de vacances pour enfants à Parrot.
    • 1 auberge

    Lieux et monuments

    Monument du Bosberty l'une des têtes de réseau de la Résistance en Auvergne.
    Tour de Besse.
    • Eglise d'Anzat-le-Luguet
    • Cirque d'Artoux
    • Monument du Bosberty : érigé après la Seconde Guerre mondiale en 1946, pour commémorer la mémoire de 3 000 combattants partis à pied rejoindre le maquis du Mont Mouchet, via le maquis relais de Vins-Haut et du Bosberty (commune d'Anzat-le-Luguet).
    • Tour de Besse : tour de guet médiévale
    • Fontaines de villages :

    Liste des burons

    • Buron de Tioulouse-Haut : 1 463 m, ruines,
    • Buron de Lacombe : 1 439 m, ruines,
    • Buron de Paillassère-Haut : 1 428 m, ruines,
    • Buron de la Fauconde : 1 407 m,
    • Buron de Paillassère-Bas : 1 397 m, exploité par la coopérative agricole COPTASA (Coopérative de Transhumance et d’Amélioration des Structures Agricoles),
    • Burons de Chastang : de 1 397 m à 1 357 m,
    • Burons de Jugneaux : 1 395 m,
    • Buron de Sianne-la-Plaine : 1 392 m,
    • Buron de Chirols : 1 379 m,
    • Burons d'Artoux : 1 368 m,
    • Buron de Sianne-Haut : 1 365 m, ruines,
    • Ferme de Chamaroux : 1 325 m,
    • Buron de Tioulouse-Bas : 1 315 m,
    • Buron de Montirgue : 1 306 m, ruines,
    • Les Tracs d'Anzat : 1 304 m,
    • La Grange du Rayet : 1 296 m,
    • Buron de la Vazèze : 1 296 m,
    • Buron de Bosberty : 1 288 m,
    • Les Tracs d'Apcher : 1 261 m,
    • Trac de Vins-Haut : 1 261 m.

    Personnalités liées à la commune

    • Joseph Gibert : créateur de l'enseigne portant son nom, spécialisée en librairie, disques et papeterie, possède des origines familiales au hameau du Bosberty.

    Animations

    • Fête patronale de la Saint-Roch : deuxième dimanche après 15 août

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Nos ancêtres auvergnats, L'immigration auvergnate en Bretagne, Serge Duigou, Éditions Ressac, Quimper, 2004 (le mouvement migratoire qui partit du Cézallier vers la Bretagne aux XVIIIe et XIXe siècles - et notamment d'Anzat-le-Luguet avec les Boyé, Chabrut, Fonteille, Jouve, etc.).
    • Monts du Cézallier, 40 circuits de petite randonnée, 2000.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. Aduhme, « Une solution bois-énergie "clé en main" pour chauffer le bourg » [PDF], (consulté le )
    8. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 1, Droz, 1990, p. 487
    9. Alphonse Vinatié, Christian Baillargeat; Archéologie en Cézallier et aux confins du Limon, Cantal : de l'Épipaléolithique au Haut Moyen Âge; Les Amis du vieil Allanche, 2002; p. 95
    10. Compains, Histoire d'un village du Cézallier - Toponymie-Hydronymie
    11. Patrimoine industriel du Cézallier
    12. Club minéralogique de Moulins
    13. Patrimoine du Cézallier
    14. Décret no 2014-210 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Puy-de-Dôme.
    15. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme », sur amr63.asso.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme (consulté le ).
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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