Arrosès
Arrosès (en béarnais Arrosés ou Arrousès) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Arrosès | |||||
Panorama général. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Nord Est Béarn | ||||
Maire Mandat |
Michel Cantounet 2020-2026 |
||||
Code postal | 64350 | ||||
Code commune | 64056 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
139 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 14 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 32′ 32″ nord, 0° 06′ 37″ ouest | ||||
Altitude | Min. 129 m Max. 265 m |
||||
Superficie | 9,64 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Géographie
Localisation
La commune d'Arrosès se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 44 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 41 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Aurions-Idernes (2,2 km), Crouseilles (2,6 km), Aydie (3,2 km), Mont-Disse (3,6 km), Lasserre (3,8 km), Cadillon (4,0 km), Madiran (4,3 km), Aubous (4,4 km).
Sur le plan historique et culturel, Arrosès fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
Accès
Elle est desservie par les routes départementales 219 et 292.
Lieux-dits et hameaux
- Auvian[6]
- Baradat[7]
- Barbau[6]
- Baylou[6]
- Bigarat[6]
- Bouézou[8]
- Bousigué[6]
- Bouziquet[6]
- Cantounet[6]
- Couet[6]
- Crecq[6]
- Ducos[6]
- Duliès[6]
- Flandres[9]
- Grange[6]
- Haget[6]
- Hourat[6]
- Jouet[6]
- Lasgrabes[6]
- Laudique[6]
- Lavielle[6]
- Mombet[10],[6]
- Mondain[6]
- la Mothe[6],[7]
- Paris[6]
- Peyret[6]
- Raguet[6]
- Regard[6]
- Ribès[6]
- Sassié[6]
- Tapounet[6]
- Tillet[6]
Hydrographie
La commune est drainée par le Larcis, le Saget, le ruisseau de Libet, le ruisseau de Serres, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[11],[Carte 1].
Le Larcis, d'une longueur totale de 34,8 km, prend sa source dans la commune de Luc-Armau, et s'écoule vers le nord-ouest. Il se jette dans le Léez à Projan, après avoir traversé 20 communes[12].
Le Saget, d'une longueur totale de 18,7 km, prend sa source dans la commune de Crouseilles et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Saint-Mont, après avoir traversé 10 communes[13].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[15].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[17] complétée par des études régionales[18] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mont-Disse », sur la commune de Mont-Disse, mise en service en 1971[19] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[20],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 979,8 mm pour la période 1981-2010[21]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 30 km[22], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[23], à 13,4 °C pour 1981-2010[24], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[25].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[26],[27],[28].
Urbanisme
Typologie
Arrosès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[29],[30],[31]. La commune est en outre hors attraction des villes[32],[33].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,6 %), terres arables (28,3 %), forêts (19,1 %), cultures permanentes (3,5 %), prairies (3,5 %)[34].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
Le toponyme Arrosès apparaît sous les formes Aroses, Arozee, Arosser, Arozer et Arroser (respectivement 1385[7], XIVe siècle[7] pour les trois formes suivantes et 1402[7], censier de Béarn[35]), Rosees (1472, titres d'affièvement d'Arrosès), Arrosers (1487[7], registre des Établissements de Béarn[36]), Rosses, Arrosees, Arrozes, Rosez et Arrouzès (respectivement 1538[7] pour les deux premières formes, 1546[7], 1675[7] et 1686[7], réformation de Béarn[37]), Rosés sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[38]) et Arroses (1793[39]).
Son nom béarnais est Arrosés[40] ou Arrousès[41]. Michel Grosclaude[38] propose comme étymologie, l’anthroponyme très répandu dans les Pyrénées et la péninsule ibérique, et bien attesté au Moyen Âge, Arrosés.
La lande Arblé est mentionnée par le dictionnaire de 1863[7].
Baradat est une ferme de la commune, citée en 1863, par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[7].
La Barthe désignait en 1863[7], une lande de la commune et Les Grabes une ferme[7].
Chaudelet est une ferme mentionnée par le dictionnaire de 1863[7].
Le même dictionnaire signale deux écarts d’Arrosès du nom de Crestia ou Chrestiàa[7] et Espiau et deux fermes du nom de les Garbères et le Gog.
Le moulin de Lamothe est cité par le dictionnaire de 1863[7].
Larbareng est un écart mentionné en 1863[7], tout comme Lorthe, autre hameau, et la ferme Peirolis.
La ferme Mané fait l’objet d’une référence dans le dictionnaire de 1863[7].
La Mothe était un fief d’Arrosès, vassal de la vicomté de Béarn, dont le nom est indiqué sous les formes la Mota d’Arroses (1538[7], réformation de Béarn[37]) et la Motte (1863[7], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).
La Salle, ancienne ferme du village, est mentionnée sous la graphie Lassale en 1776[7] (terrier d'Arrosès[42]).
Sinsoos était une ferme d’Arrosès dont il est fait mention dans le dictionnaire de 1863[7].
Histoire
Paul Raymond[7] note qu'en 1385, Arrosès comptait 31 feux et dépendait du bailliage de Lembeye. Il existait à Arrosès une dîme dite de Sainte-Rose.
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
Arrosès fait partie de cinq structures intercommunales[43] :
- la communauté de communes du canton de Lembeye en Vic-Bilh ;
- le SIVU de la voirie du canton de Lembeye ;
- le SIVU de regroupement pédagogique d'Aurions-idernes, Arrosès, Séméacq-Blachon et Moncaup ; ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable (SIAEP) du Vic-Bilh Montaneres.
Population et société
Démographie
En 1385[44], Arrosès comptait 31 ostaus et Sauvernéa, 6.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[46].
En 2019, la commune comptait 139 habitants[Note 7], en diminution de 6,08 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Économie
La commune fait partie des zones d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du madiran, du pacherenc-du-vic-bilh et du béarn.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
Un ensemble fortifié[48] (motte, basse-cour, maison) témoigne de la présence d'une seigneurie dès le XIe siècle.
L'inventaire fondamental[44] mené en 1968 par le ministère de la Culture recense 25 édifices antérieurs à 1871.
Au lieu-dit Mombet se trouve une demeure de notable[10] construite au XVIIIe siècle, dite château de Sauvernéa. On y trouve une dalle funéraire[49] datée de 1762 ainsi qu'un buffet[50] et une girouette[51], tous deux du XVIIIe siècle. Une ferme[9], au lieu-dit Flandres, date de la même époque.
Une maison du lieu-dit Bouézou détient une stèle discoïdale[52] du XVIIe siècle, provenant de l'ancienne église aujourd'hui détruite[8].
Patrimoine religieux
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption[53] date partiellement du XIIe siècle. Elle recèle du mobilier[54],[55],[56],[57],[58],[59],[60],[61],[62],[63],[64],[65],[66], un tableau[67], des statues[68],[69],[70] et des objets[71],[72],[73],[74],[75],[76] inscrits à l'Inventaire général du patrimoine culturel.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[16].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- « Carte hydrographique d'Arrosès » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune d'Arrosès », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Arrosès et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Arrosès et Serres-Castet », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Arrosès », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne).
- « L'ancienne église du lieu-dit Bouézou », notice no IA00027534, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La ferme du lieu-dit Flandres », notice no IA00026449, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le château de Sauvernéa », notice no IA00026446, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fiche communale d'Arrosès », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le Larcis ».
- Sandre, « le Saget ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Mont-Disse - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Arrosès et Mont-Disse », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Mont-Disse - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Arrosès et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Arrosès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune d'Arrosès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune d'Arrosès », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
- Manuscrits du XVe et XVIe siècles - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
- Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
- Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
- Manuscrit du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- « Inventaire fondamental de la commune », notice no IA00026448, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « L'ensemble fortifié », notice no IA00026447, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La dalle funéraire du château de Sauvernéa », notice no IA00027295, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le buffet du château de Sauvernéa », notice no IM64002130, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La girouette du château de Sauvernéa », notice no IM64002129, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La stèle discoïdale du lieu-dit Bouézou », notice no IM64002128, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'église Notre-Dame-de-l'Assomption », notice no IA00026445, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Le lutrin de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002122, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La chaise à prêcher de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002121, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le chandelier des ténèbres de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002120, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les bénitiers de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002119, base Palissy, ministère français de la Culture, Notice no IM64002118.
- « Les fonts baptismaux de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002117, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le confessionnal de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002116, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le retable de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002114, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'ensemble d'autel de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002113, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le retable de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002109, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le tabernacle de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002107, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le maître-autel de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002106, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'ensemble de la Vierge de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002105, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Les lambris de revêtement de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002104, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le tableau représentant l'Assomption de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002111, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La statue de sainte Rose de l'église Notre-Dame-de-l'Assomption », notice no IM64002115, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'ensemble de quatre statues de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002110, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « L'ensemble de six statues de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002108, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le devant d'autel de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002127, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La croix de procession de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002126, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le chemin de croix de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002125, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Le chandelier d'autel de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002124, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La bannière de procession de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002123, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « La croix d'autel de l'église Notre-Dame de l'Assomption », notice no IM64002112, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Portail des communes de France
- Portail des Pyrénées
- Portail du Béarn
- Portail des Pyrénées-Atlantiques