Aubous

Aubous (en béarnais Aubons ou Auboûs) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Aubous

La mairie d’Aubous.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes des Luys en Béarn
Maire
Mandat
Pierre Poublan
2020-2026
Code postal 64330
Code commune 64074
Démographie
Population
municipale
45 hab. (2019 )
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 34′ 41″ nord, 0° 08′ 01″ ouest
Altitude Min. 124 m
Max. 255 m
Superficie 3,78 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Aubous
Géolocalisation sur la carte : France
Aubous
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Aubous
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Aubous

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Aubous se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe à 49 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 38 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Riscle[1].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Viella (2,4 km), Mont-Disse (2,5 km), Aydie (2,6 km), Diusse (2,8 km), Portet (4,2 km), Aurions-Idernes (4,3 km), Arrosès (4,4 km), Maumusson-Laguian (4,4 km).

    Sur le plan historique et culturel, Aubous fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

    Communes limitrophes d’Aubous[6]
    Viella
    (Gers)
    Diusse Aydie
    Mont-Disse

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier d'Aubous.

    La commune est drainée par le Larcis, le Lisau, le Boutigué et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[7],[Carte 1].

    Le Larcis, d'une longueur totale de 34,8 km, prend sa source dans la commune de Luc-Armau, et s'écoule vers le nord-ouest. Il se jette dans le Léez à Projan, après avoir traversé 20 communes[8].

    Le Lisau, d'une longueur totale de 13,3 km, prend sa source dans la commune d'Escurès et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Larcis sur le territoire communal, après avoir traversé 7 communes[9].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de température : 13,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 033 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mont-Disse », sur la commune de Mont-Disse, mise en service en 1971[15] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[16],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 979,8 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 31 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 13,4 °C pour 1981-2010[20], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[21].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[22],[23],[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Aubous est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[25],[26],[27]. La commune est en outre hors attraction des villes[28],[29].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,4 %), forêts (35,7 %), terres arables (16 %), cultures permanentes (3 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Lieux-dits et hameaux

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les routes départementales D292 et D317

    Toponymie

    Le toponyme Aubous apparaît sous les formes Aubos et Auboos (respectivement 1385[37] et XIVe siècle[37], censier de Béarn[38]), Aubons (1752[37], dénombrement de Béarn[39]) et Aubous sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[40]).

    Michel Grosclaude[40] propose comme étymologie le nom d'homme latin Albus augmenté du suffixe -ones, signifiant « domaines d'Albus ».

    Son nom béarnais est Aubons[41] ou Auboûs[42].

    Histoire

    Paul Raymond[37] note qu'en 1385, Aubous comptait 4 feux et dépendait du bailliage de Lembeye.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 En cours René Paulien DVD Retraité de l'enseignement
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Aubous fait partie de cinq structures intercommunales[43] :

    • la communauté de communes du canton de Garlin ;
    • le SIVU de la voirie de la région de Garlin ;
    • le SIVU du Lées et affluents ;
    • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable Luy - Gabas - Lées ;

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[45].

    En 2019, la commune comptait 45 habitants[Note 7], en diminution de 15,09 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    189199238258268248289289243
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    247255225205193198204156131
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1141171241131051049811098
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    776457654853515153
    2018 2019 - - - - - - -
    4545-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune fait partie des zones d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du madiran, du pacherenc-du-vic-bilh et du béarn.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine civil

    Un camp[48] pré ou protohistorique a été signalé au lieu-dit Coulom. Un second, au lieu-dit Gentilloun, se nommait camp de César [32].

    La commune compte des fermes[33],[36],[35],[31] des XVIIIe et XIXe siècles, inscrites à l'Inventaire général du patrimoine culturel[49].

    Une fontaine dite de Dévotion Sainte-Quitterie [50] donnait lieu au XVIIIe siècle à un pèlerinage célébré le 22 mai. Elle a été depuis détruite.

    Un moulin[34] datant de 1830 figure à l'inventaire du ministère de la Culture.

    Patrimoine religieux

    L'église Sainte-Quitterie[51] date du XIIe siècle et fut remaniée au XVIIe siècle ou au XVIIIe siècle par l'ajout de baies. Elle recèle du mobilier[52] (devant d'autel[53], fauteuil[54], retable[55], gradin d'autel et tabernacle[56], maître-autel[57], bancs d'église[58],[59], meubles de sacristie[60], bénitier suspendu[61], chaire à prêcher[62] et fonts baptismaux[63]), un tableau (Sainte-Quitterie[64]), des statues[65] et des objets (lampes de sanctuaire[66],[67], chape et chasuble[68], cloche[69], chandeliers d'autel[70] et bannière de procession[71]) inscrits à l'Inventaire général du patrimoine culturel.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique d'Aubous » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune d'Aubous », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Aubous et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Aubous et Serres-Castet », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches d'Aubous », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    6. Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
    7. « Fiche communale d'Aubous », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    8. Sandre, « le Larcis ».
    9. Sandre, « le Lisau ».
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Mont-Disse - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Aubous et Mont-Disse », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Mont-Disse - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Aubous et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    22. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Aubous », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Aubous », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « Liste des espaces protégés sur la commune d'Aubous », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    27. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    31. « La ferme du lieu-dit Coulom », notice no IA00026242, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. « Le camp de César », notice no IA00026236, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « La ferme du lieu-dit Lacourtiade », notice no IA00027493, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « Le moulin d'Aubous », notice no IA00026240, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. « La ferme du lieu-dit Pillourcq », notice no IA00026243, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « La ferme du lieu-dit Rey », notice no IA00026244, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
    38. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
    39. Dénombrement de la vicomté de Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    40. Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059).
    41. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
    42. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
    43. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    46. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    48. « Le camp protohistorique », notice no IA00026237, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. « Les maisons et fermes anciennes », notice no IA00026241, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    50. « La fontaine de Dévotion Sainte-Quitterie », notice no IA00026239, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    51. « L'église Sainte-Quitterie », notice no IA00026238, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    52. « Mobilier de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001564, base Palissy, ministère français de la Culture.
    53. « Le devant d'autel de l'église Sainte-Quitterie », notice no PM64000059, base Palissy, ministère français de la Culture.
    54. « Le fauteuil de célébrant de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001570, base Palissy, ministère français de la Culture.
    55. « Le retable de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001567, base Palissy, ministère français de la Culture.
    56. « Le gradin d'autel et le tabernacle de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001566, base Palissy, ministère français de la Culture.
    57. « Le maître-autel de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001565, base Palissy, ministère français de la Culture.
    58. « Les bancs de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001561, base Palissy, ministère français de la Culture.
    59. « Les bancs de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001560, base Palissy, ministère français de la Culture.
    60. « Les meubles de sacristie de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001559, base Palissy, ministère français de la Culture.
    61. « Le bénitier suspendu de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001558, base Palissy, ministère français de la Culture.
    62. « La chaire à prêcher de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001557, base Palissy, ministère français de la Culture.
    63. « Les fonts baptismaux de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001556, base Palissy, ministère français de la Culture.
    64. « Le tableau représentant sainte Quitterie, dans l'église éponyme », notice no IM64001569, base Palissy, ministère français de la Culture.
    65. « Les statues de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001568, base Palissy, ministère français de la Culture.
    66. « Lampe de sancturaire de l'église Sainte-Quitterie », notice no PM64000060, base Palissy, ministère français de la Culture.
    67. « Lampe de sancturaire de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001562, base Palissy, ministère français de la Culture.
    68. « La chape et la chasuble de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001573, base Palissy, ministère français de la Culture.
    69. « La cloche de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001572, base Palissy, ministère français de la Culture.
    70. « Les chandeliers d'autel de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001571, base Palissy, ministère français de la Culture.
    71. « La bannière de procession de l'église Sainte-Quitterie », notice no IM64001563, base Palissy, ministère français de la Culture.
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