Auga

Auga est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Auga

L'église Saint-Laurent.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes des Luys en Béarn
Maire
Mandat
David Legros
2020-2026
Code postal 64450
Code commune 64077
Démographie
Population
municipale
173 hab. (2019 )
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 28′ 42″ nord, 0° 22′ 50″ ouest
Altitude Min. 123 m
Max. 258 m
Superficie 4,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Auga
Géolocalisation sur la carte : France
Auga
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Auga
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Auga

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Auga se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe à 23 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 13 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pau[1].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Séby (1,4 km), Viven (1,7 km), Lème (2,1 km), Viven (2,6 km), Mialos (2,9 km), Doumy (3,4 km), Lonçon (3,6 km), Méracq (3,6 km).

    Sur le plan historique et culturel, Auga fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

    Communes limitrophes d’Auga[6]
    Méracq Lème
    Séby Thèze
    Viven

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier d'Auga.

    La commune est drainée par le Luy, un bras du Luy de France, un bras du Luy de France et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[7],[Carte 1].

    Le Luy, d'une longueur totale de 154,5 km, prend sa source dans la commune d'Espoey et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Rivière-Saas-et-Gourby, après avoir traversé 65 communes[8].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 143 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921[14] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[15],[Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[16], à 13,4 °C pour 1981-2010[17], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[18].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[19],[20],[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Auga est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[22],[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[25],[26].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,2 %), prairies (27,6 %), zones agricoles hétérogènes (20,9 %), forêts (17,3 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Lieux-dits et hameaux

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les routes départementales 40 et 220. Le réseau interurbain des Pyrénées-Atlantiques y gère un arrêt sur la ligne 842, entre Malaussanne et Pau.

    Toponymie

    Le toponyme Auga apparaît sous les formes Algar (XIe siècle[36], cartulaire de l'abbaye de Saint-Pé[37]), Augar (XIIIe siècle[36], fors de Béarn[38]), Augaar et Augar[39] (1385[36], censier de Béarn[38]), Augaa (1437[36], hommages de Béarn[40]), Sent Laurens d'Auguaa et Augua (respectivement 1538[36] et 1544[36], réformation de Béarn[41]) et Auga sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[39]).

    Pour Michel Grosclaude[39] l'étymologie est gasconne, venant d'augar, « terrain marécageux ».

    Abescat, ferme et fief dépendant de la vicomté de Béarn, est mentionné en 1673[36] (réformation de Béarn[41]).

    Baradat est un ancien hameau de la commune, citée en 1863, par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[36].

    Histoire

    Auriol Centulle, troisième fils de Centulle IV de Béarn et d'Angèle d'Oloron, était seigneur de Clarac, Igon, Baudreix, Boeil et Auga.

    Paul Raymond[36] note que la commune comptait deux abbayes laïques, vassale de la vicomté de Béarn, l'Abadie-Susan et l'Abadie-Jusan. En 1385, Auga comptait vingt-deux feux et dépendait du bailliage de Pau, étant également une reffebaronnie vassale de la vicomté de Béarn.

    Le fief de l'Abescat était vassal de la même vicomté.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1983 1995 Alexis Cassoulet    
    1995 2008 Michel Chéret PS  
    2008 2008 Pierre Dubourdieu    
    2009 2014 Pierre Chéret PS Conseiller régional
    2014 2020 Jean-Paul Lacabanne SE  

    Intercommunalité

    Auga fait partie de quatre structures intercommunales[42] :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44].

    En 2019, la commune comptait 173 habitants[Note 8], en augmentation de 23,57 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    244239266302344318302307323
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    327303285270259245224171168
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    192190184137134131142148132
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    140138114121136113140151145
    2014 2019 - - - - - - -
    140173-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Auga fait partie de l'aire urbaine de Pau.

    Enseignement

    Auga ne dispose pas d'école primaire, elle bénéficie du regroupement pédagogique intercommunal commun avec Aubin, Bournos et Doumy.

    Sports

    Les Augarais se situent dans la zone de L'ESBDG (Entente Sportive Bournos Doumy Garlède) pour le volley, la pala et le football ; pour le rugby, les Portes du Béarn (Regroupement des clubs d'Arzacq-Arraziguet, de Thèze, de Garlin et de Sévignacq) et quant au basket Nord Béarn (Thèze, Garlin et Sévignac).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le village.

    Patrimoine civil

    Les vestiges d'un ensemble fortifié dit « château d'Auga Fourcade »[47] du XIe siècle et du XIIe siècle témoignent du passé ancien de la commune.

    Une des deux anciennes abbayes laïques mentionnées par Paul Raymond[36] fut reconstruite[48] au XIXe siècle.

    La commune présente un ensemble[49] de demeures et de fermes[32] ,[50],[35],[34],[33],[29],[51],[30],[28] des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles.

    Le moulin[31] du lieu-dit Grange Haget fut édifié en 1707.

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Laurent[52] date partiellement du XIIe siècle. Elle recèle un tableau[53] et du mobilier[54] (autel et mobilier d'autel[55], garde-corps de tribune[56]) inscrits à l'Inventaire général du patrimoine culturel. Elle a vu son clocher ainsi qu'une partie de son toit rénovés au cours des années 2016-2017.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique d'Auga » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune d'Auga », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Auga et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Auga et Serres-Castet », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches d'Auga », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    6. Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
    7. « Fiche communale d'Auga », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    8. Sandre, « le Luy ».
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    11. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    14. « Station météofrance Pau-Uzein - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Auga et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Auga », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Auga », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Liste des espaces protégés sur la commune d'Auga », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Pau », sur insee.fr (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    28. « La ferme du lieu-dit Bidot », notice no IA00026719, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    29. « La ferme du lieu-dit Bret », notice no IA00026724, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. « La ferme du lieu-dit Claux », notice no IA00026719, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. « Le moulin du lieu-dit Grange Haget », notice no IA00026721, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. « La ferme du lieu-dit Haou », notice no IA00026722, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « La ferme du lieu-dit Miraut », notice no IA00026725, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « La ferme du lieu-dit Pargade », notice no IA00026726, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. « La ferme du lieu-dit Pellarouy », notice no IA00026727, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne).
    37. D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn, pages 291
    38. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
    39. Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059), n° 469..
    40. Manuscrit de 1343 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    41. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
    42. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    47. « L'ensemble fortifié », notice no IA00026717, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    48. « L'ancienne abbaye laïque », notice no IA00026723, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. « Les maisons et fermes anciennes », notice no IA00026715, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    50. « La maison du lieu-dit Haou », notice no IA00026728, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    51. « La maison Dubourdieu », notice no IA00026720, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    52. « L'église Saint-Laurent », notice no IA00026716, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    53. « Le tableau de l'église Saint-Laurent », notice no IM64001175, base Palissy, ministère français de la Culture.
    54. « Le mobilier de l'église Saint-Laurent », notice no IM64001176, base Palissy, ministère français de la Culture.
    55. « L'autel et son mobilier, dans l'église Saint-Laurent », notice no IM64001174, base Palissy, ministère français de la Culture.
    56. « Le garde-corps de tribune de l'église Saint-Laurent », notice no IM64001173, base Palissy, ministère français de la Culture.
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