Baliracq-Maumusson

Baliracq-Maumusson (en béarnais Valirac e Maumusson ou Balirac-Maumussoû) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Baliracq et Maumusson.

Baliracq-Maumusson

La mairie.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes des Luys en Béarn
Maire
Mandat
Sylvain Sergent
2020-2026
Code postal 64330
Code commune 64090
Démographie
Gentilé Baliracois
Population
municipale
121 hab. (2019 )
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 32′ 48″ nord, 0° 15′ 14″ ouest
Altitude Min. 120 m
Max. 224 m
Superficie 6,06 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Baliracq-Maumusson
Géolocalisation sur la carte : France
Baliracq-Maumusson
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Baliracq-Maumusson
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Baliracq-Maumusson

    Le gentilé est Baliracois[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Baliracq-Maumusson se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 39 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 28 km de Serres-Castet[4], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Garlin[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Garlin (2,1 km), Mascaraàs-Haron (2,6 km), Castetpugon (2,7 km), Ribarrouy (3,0 km), Taron-Sadirac-Viellenave (4,0 km), Moncla (4,4 km), Boueilh-Boueilho-Lasque (4,7 km), Tadousse-Ussau (5,1 km).

    Sur le plan historique et culturel, Baliracq-Maumusson fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

    Communes limitrophes de Baliracq-Maumusson[7]
    Garlin Castetpugon
    Mascaraàs-Haron
    Taron-Sadirac-Viellenave

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Baliracq-Maumusson.

    La commune est drainée par le Léès, le Gabassot, le Laas et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[8],[Carte 1].

    Le Léès, d'une longueur totale de 39 km, prend sa source dans la commune de Sedzère et s'écoule du sud vers le nord. Il longe le territoire communal sur son côté est et en constitue la limite séparative avec Mascaraàs-Haron et Castetpugon, puis se jette dans le Léez à Lannux, après avoir traversé 21 communes[9].

    Le Laas (13,8 km) prend sa source dans la commune de Coslédaà-Lube-Boast et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Léès en limite sud-est du territoire communal, après avoir traversé 6 communes[10].

    Le Gabassot, d'une longueur totale de 17,4 km, prend sa source dans la commune de Sévignacq et s'écoule vers le nord. Il longe le territoire communal au nord et se jette dans le Léès à Garlin, après avoir traversé 9 communes[11].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[13].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[12]

    • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 097 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mont-Disse », sur la commune de Mont-Disse, mise en service en 1971[17] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[18],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 979,8 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 22 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[21], à 13,4 °C pour 1981-2010[22], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[23].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[24],[25],[26].

    Urbanisme

    Typologie

    Baliracq-Maumusson est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[27],[28],[29].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[30],[31].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,4 %), prairies (28,8 %), forêts (13,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %)[32].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Lieux-dits et hameaux

    Entrée dans Baliracq.

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par la D211

    Toponymie

    Le toponyme Baliracq apparaît sous les formes Saint-Félix de Balirac (Xe siècle[39], d'après Pierre de Marca[40]), Vallirag et Valliracum (vers 1100[41], cartulaire de Lucq-de-Béarn), Balirag (1443[39], contrats de Carresse[42]), ’'Baliracq, (XVIIIe siècle[41], carte de Cassini). Balirac (1793[43] ou an II) Balyrac (1801[43], Bulletin des lois) et Balirac (1863[39], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[39]).
    Selon Michel Grosclaude[41], le toponyme vient très probablement d’un patronyme latin, Valerus, augmenté du suffixe gallo-romain -acum, pour donner « domaine de Valerus ».

    Son nom béarnais est Valirac-Maumusson[44] ou Balirac-Maumussoû[45].

    Le toponyme Maumusson apparaît sous les graphies Maumussou (1774[39], terrier de Baliracq, E 177) et Maumusson, (XVIIIe siècle[46], carte de Cassini).
    Michel Grosclaude[46] propose là encore comme origine, un patronyme, gascon cette fois-ci, le sobriquet mau mauvais »), allié à mus museau ») et augmenté du suffixe -on, qui donne « mal aimable, renfrogné ».

    Le toponyme Castéra apparaît sous la forme Casterar (1542[39], réformation de Béarn[47]).

    Histoire

    Paul Raymond[39] note que Baliracq était vassal de la vicomté de Béarn.

    Baliracq et Maumusson se sont unies en 1828.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1947 1989 Albert Sansous    
    1989 2014 Yvan Duviau    
    2014 En cours Sylvain Sergent    

    Intercommunalité

    Baliracq-Maumusson fait partie de six structures intercommunales[48] :

    • la Communauté de communes des Luys en Béarn ;
    • le SIVU de la voirie de la région de Garlin ;
    • le SIVU du Lées et affluents ;
    • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable Luy - Gabas - Léès ;
    • le syndicat intercommunal des cinq rivières.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[50].

    En 2019, la commune comptait 121 habitants[Note 8], en diminution de 12,95 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    149193342209410405386411401
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    368341335325323309303267248
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    231256217196188184198183174
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    149123111124113115118120145
    2015 2019 - - - - - - -
    129121-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Les tableaux démographiques ci-dessus ne concernent, avant 1828, que la commune de Baliracq. Avant cette date, Maumusson a connu l'évolution suivante :

    Évolution de la population
    1793 1800 1806 1821
    132121-155
    (Sources : Projet Cassini de l'EHESS[53].)

    Culture locale et patrimoine

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    Patrimoine civil

    Au lieu-dit Castéra, la topographie, visiblement modifiée par la main de l'homme, atteste la présence ancienne d'un ensemble fortifié, avec des remblais importants et un chemin de ronde circulaire encore visible. Il pouvait s'agir d'un fort en pieux de bois accolés car aucun vestige en pierre n'a été mis au jour. L'ouvrage pourrait donc dater du haut Moyen Âge, encore qu'il ne soit pas exclu qu'il s'agisse là des vestiges d'une agglomération préhistorique[54]. Une fortification d'agglomération[55], tracé circulaire d'un talus, date également de la même époque.

    Une demeure de notable[36], dite château de Milly, datant du XVIIIe siècle se dresse au lieu-dit Maumusson-Florence, alors qu'une autre, dite maison Lafon[35], datant de la première moitié du XVIIe siècle est visible au lieu-dit Maumusson-Crédey.

    La commune présente des fermes et maisons[56],[33],[38],[34],[37] datant des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles.

    Enfin à Baliracq, on peut voir un moulin[57] datant de la fin du XVIIIe siècle.

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Pierre[58] possède des vestiges datant des XIe et XIIe siècles. Elle recèle du mobilier (ensemble du maître-autel[59], un ensemble autel, tabernacle, retable et statues[60], un autel secondaire[61], des lambris de revêtement[62], un fauteuil de célébrant[63], un bénitier[64], une chaire à prêcher[65], un confessionnal[66], une clôture de chœur[67] et un tabernacle à ailes[68]), des tableaux (un tableau d'autel représentant la remise des clés à saint Pierre[69] et une lithographie représentant un chemin de croix[70]), des statues (deux statues représentant saint Félix et saint Pierre[71]) et des objets (chandeliers[72],[73], vase d'autel[74], encensoir[75] et ostensoir[76]) inscrits à l'Inventaire général du patrimoine culturel.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Baliracq-Maumusson » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Gentilé sur habitants.fr
    2. « Métadonnées de la commune de Baliracq-Maumusson », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Baliracq-Maumusson et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Baliracq-Maumusson et Serres-Castet », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Baliracq-Maumusson », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    7. Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
    8. « Fiche communale de Baliracq-Maumusson », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    9. Sandre, « le Lées ».
    10. Sandre, « le Laas ».
    11. Sandre, « le Gabassot ».
    12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    13. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    14. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    15. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    16. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Mont-Disse - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Baliracq-Maumusson et Mont-Disse », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station Météo-France Mont-Disse - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    20. « Orthodromie entre Baliracq-Maumusson et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    22. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    23. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    24. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Baliracq-Maumusson », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Liste des ZNIEFF de la commune de Baliracq-Maumusson », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « Liste des espaces protégés sur la commune de Baliracq-Maumusson », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    28. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    29. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    33. « La ferme du lieu-dit Bouquehort », notice no IA00026195, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « La ferme dite « maison Castéra » au lieu-dit éponyme », notice no IA00026193, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. « La ferme dite « maison Lafon » au lieu-dit Crédeil », notice no IA00026192, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « Le château de Milly, au lieu-dit Florence », notice no IA00026190, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « La ferme dite « maison Sansot » au lieu-dit éponyme », notice no IA00026191, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « La ferme dite « maison Coussié » au lieu-dit Tardan », notice no IA00026194, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
    40. D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
    41. Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059), p. 99..
    42. Contrats retenus par Carresse, notaire de Béarn - Manuscrit du XVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
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    44. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
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    46. Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059)., page 106
    47. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
    48. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
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    50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    51. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    53. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Maumusson », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
    54. « L'ensemble fortifié dit « castéra » », notice no IA00026187, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    55. « La fortification d'agglomération », notice no IA00026188, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    56. « Les fermes et maisons anciennes », notice no IA00026189, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    57. « Le moulin de Baliracq », notice no IA00027435, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    58. « L'église Saint-Pierre », notice no IA00026196, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    59. « L'ensemble du maître-autel, dans l'église Saint-Pierre », notice no IM64001597, base Palissy, ministère français de la Culture.
    60. « L'ensemble autel, tabernacle, retable et statues, dans l'église Saint-Pierre », notice no IM64001595, base Palissy, ministère français de la Culture.
    61. « L'autel secondaire de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001601, base Palissy, ministère français de la Culture.
    62. « Les lambris de revêtement de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001596, base Palissy, ministère français de la Culture.
    63. Notice no Le fauteuil de célébrant de l'église Saint-Pierre, base Palissy, ministère français de la Culture.
    64. « Le bénitier de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001577, base Palissy, ministère français de la Culture.
    65. « La chaire à prêcher de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001576, base Palissy, ministère français de la Culture.
    66. « Le confessionnal de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001575, base Palissy, ministère français de la Culture.
    67. « La clôture de chœur de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001574, base Palissy, ministère français de la Culture.
    68. « Le tabernacle à ailes de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001599, base Palissy, ministère français de la Culture.
    69. « Le tableau d'autel de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001598, base Palissy, ministère français de la Culture.
    70. « La lithographie de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001584, base Palissy, ministère français de la Culture.
    71. « Les statues de saint Félix et saint Pierre, dans l'église Saint-Pierre », notice no IM64001600, base Palissy, ministère français de la Culture.
    72. « Le chandelier d'autel de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001581, base Palissy, ministère français de la Culture.
    73. « Les six chandeliers d'autel de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001580, base Palissy, ministère français de la Culture.
    74. « Le vase d'autel de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001583, base Palissy, ministère français de la Culture.
    75. « L'encensoir de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001579, base Palissy, ministère français de la Culture.
    76. « L'ostensoir de l'église Saint-Pierre », notice no IM64001582, base Palissy, ministère français de la Culture.
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