Banvou

Banvou est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 600 habitants[Note 1].

Banvou

L'église Saint-Ernier.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Orne
Arrondissement Argentan
Intercommunalité Flers Agglo
Maire
Mandat
Jean-Louis Pellerin
2020-2026
Code postal 61450
Code commune 61024
Démographie
Gentilé Banoïciens
Population
municipale
600 hab. (2019 )
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 39′ 54″ nord, 0° 33′ 11″ ouest
Altitude Min. 173 m
Max. 259 m
Superficie 12,98 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Flers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Ferté-Macé
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Banvou
Géolocalisation sur la carte : France
Banvou
Géolocalisation sur la carte : Orne
Banvou
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Banvou

    Géographie

    La commune est aux confins du Domfrontais et du pays d'Houlme, en Bocage normand. Son bourg est à 11 km au sud de Flers, à 13 km au nord-est de Domfront et à 18 km au nord-ouest de La Ferté-Macé[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 10,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 942 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Bomer-les-Forges », sur la commune de Saint-Bômer-les-Forges, mise en service en 1997[10] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[11],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 099,6 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, mise en service en 1946 et à 54 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,8 °C pour la période 1971-2000[14] à 10,9 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Banvou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[17],[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Flers, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (56,6 %), terres arables (26,6 %), zones agricoles hétérogènes (9,4 %), forêts (3,6 %), zones urbanisées (2,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le lieu est attesté sous la forme Banvo en 1199[24].

    La finale -ou, que l'on rencontre au sud de la Normandie et au-delà, s'explique généralement par le gaulois -avo > -avum, suffixe locatif.

    René Lepelley[25] et Xavier Delamarre[26] expliquent le premier élément par le gaulois *banuos « jeune porc » (cf. irlandais banb « jeune porc », gallois banw « jeune porc », breton bano « truie »). Ce dernier pose un possible type toponymique *Banuavum équivalent des Porchères, Pourcieux de la toponymie romane, reprenant en cela la proposition d'Albert Dauzat et Charles Rostaing[27].

    Le gentilé, Banoïcien, comme c'est fréquemment le cas, repose sur une étymologie erronée, puisque selon les règles de la phonétique historique, Banoicum ne peut pas avoir abouti à Banvou.

    Histoire

    Selon la légende, Banvou était Bannou et Banoicum vicum « le  bourg de Ban »[28].

    La paroisse de Banvou, dans l'Orne, était autrefois la plus au nord de l'ancien diocèse du Mans[29]. Elle se situait sur la marche de quatre anciens diocèses : le Mans, Sées, Bayeux et Avranches. Banvou occupe de fait une position privilégiée dans l'angle de la Varenne et des collines qui forment la ligne de partage des eaux entre le versant de la Manche et celui de l'Atlantique.

    À Banvou se croisaient, à l'emplacement du bourg actuel, trois voies romaines : celle de Jublains à Vieux, celle du Mans à Valognes et celle de Rennes à Lisieux.

    C'est là que vient s'établir au VIe siècle, un ermite, saint Ernier, envoyé par saint Innocent, alors évêque du Mans[réf. nécessaire]. Il y fonde un ermitage[Lequel ?] au cœur des solitudes boisées du Passais et ses miracles défraient tôt la chronique. En son honneur se tient une procession aux étranges rites, chaque année vers le 10 août[réf. nécessaire].

    On y entend plusieurs récits, celui d'une fontaine qui déclenche des orages lorsque l'on y plonge un reliquaire, d'une aubépine qui fleurit l'hiver et ce autour de saint Ernier, dont la figure semble avoir fourni quelques traits à la confection d'un personnage de la Table Ronde, Léonce de Payerne (pagus Erneaie), régent du Banoïc dans les récits arthuriens.

    Cette « gémellisation » des traits d'un personnage héroïque avec ceux d'un saint personnage est connue, elle a été étudiée par un clerc mayennais, l'abbé Moisan, qui en a fait sa thèse de doctorat ès lettres. L'érudit local René Bansard élargissant son champ de recherches à partir de ces constats, avait découvert dans cette région que d'autres ermites du Bas-Maine étaient, aux marches de la Normandie, dans le même cas que saint Ernier et que leurs hagiographies recoupaient, sur certains points, les récits légendaires de plusieurs chevaliers de la Table Ronde : saint Bômer (Bohamadus) et Baudemagu, le roi de Gorre, et surtout saint Fraimbault (Sanctus Frambaldus, soit le porteur (baldo)[Information douteuse] de lance (framée)) avec Lancelot du Lac, meilleur chevalier du monde, héros des romans arthuriens, né en la Marche de Gaule et de Petite Bretagne, en la demeure de son père, Ban de Bénoïc.

    « En la marche de Gaule et de Petite Bretagne, il y avait autrefois deux rois qui avaient épousé deux sœurs germaines, l'un s'appelait Ban de Banoïc et l'autre Bohort de Gannes. (incipit du Lancelot en prose, XIIIe siècle). »

    . Cependant, sur ce point de la légende n'est évidemment pas en rapport direct avec Banvou qui n'a jamais été située sur la marche de petite Bretagne, si tel est le cas, il s'agit d'une interprétation littéraire. En effet, le village situé à la frontière méridionale de la Normandie (dans l'ancien diocèse d'Avranches) et qui colle à la fois aux diocèses du Mans et de Rennes (petite Bretagne) se nomme Les Loges-Marchis et est situé à plus de 50 km de là. En outre, c'est Landivy le village du diocèse du Mans se situe à la fois près du diocèse de Rennes et de celui d'Avranches. Il est situé à environ 47 km de Banvou.

    René Bansard allait se forger l'intime conviction que le terroir du Passais avait servi de terreau à une matière qu'on appellera la Matière de Bretagne composée sous commande de Plantagenêts. Et il n'eut de cesse, jusqu'à sa mort, de développer ses hypothèses dans ce sens.

    Prospectant activement sur le terrain qu'il parcourait en Vélosolex pendant près de vingt ans, il en était arrivé à la conclusion que le pays du Passais, (du latin passus = lieu de passage[Information douteuse]) a condensé sur son terroir un grand nombre d'événements symboliques que l'on retrouve à peine travestis dans la Matière dite de Bretagne. Ainsi, il avait croisé, à la façon d'un Schliemann vérifiant sur place les faits rapportés dans l'Iliade et l'Odyssée pour aboutir à la découverte du site hypothétique de l'ancienne Troie, parcourant à nouveau les itinéraires des chevaliers de la Table Ronde partis, par exemple, à l'aventure qui pour secourir la reine Guenièvre enlevée au royaume de Gorre (Gorron) par Méléagant le fils de Baudemagu, qui dans leur Quête du Saint Graal vers le Munt Salvage (Mont sauvage)[30].

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1826 1827 Louis Émile Deshayes de Marcère    
             
     ? 1993 Louis Jourdan    
    1993[31] mars 2008 Jean-Louis Pellerin DVD Entrepreneur de travaux agricoles, vice-président de la communauté de communes
    mars 2008[32] juin 2011[33] Martine Guérin SE Laborantine (retraitée), décédée en cours de mandat
    juin 2011[34] En cours Joël Jourdan[35] SE Maire par intérim (été 2011), puis élu. Ancien 1er adjoint, entrepreneur

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et deux adjoints[35].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

    En 2019, la commune comptait 600 habitants[Note 9], en diminution de 8,68 % par rapport à 2013 (Orne : −3,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %). Banvou a compté jusqu'à 1 126 habitants en 1861.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0331 0791 1251 0141 0541 0431 0881 0781 084
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0731 1261 0571 0451 0661 0251 029955893
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    823815804653602605547496489
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    535488436418441456586659621
    2019 - - - - - - - -
    600--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    La chapelle Saint-Ernier.
    • Église Saint-Ernier (XIXe) en pierre avec mobilier du XIXe.
    • Chapelle Saint-Ernier et croix sculptée de 1695.
    • Pont mégalithique de la Vallée, en limite avec Le Châtellier.

    Activité et manifestations

    Foire de la Saint-Ernier, tous les ans en août.

    Endurance de cross tous les deux ans en septembre[réf. nécessaire].

    Personnalités liées à la commune

    • Émile de Marcère (1828-1918), homme politique et dernier sénateur à vie français, est inhumé au cimetière.

    Héraldique

    Blason
    D'argent fretté de gueules; au chef d'argent au combattant médiéval à mi-corps, équipé d'un heaume et d'un bouclier, le tout au trait de sable, brochant sur une flèche du même posée en barre, accompagné de quatre mouchetures d'hermine de sable, deux en chef à dextre et deux en pointe à senestre[40].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2019.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Saint-Bomer-les-Forges - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Banvou et Saint-Bômer-les-Forges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Saint-Bomer-les-Forges - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Banvou et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Flers », sur insee.fr (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6), p. 51b.
    25. Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2). p. 58.
    26. Dictionnaire de la langue gauloise, Une approche linguistique du vieux-celtique continental, Errance, Collection des Hespérides, 2003 (ISBN 2-87772-237-6). p. 66.
    27. Ibidem.
    28. Bertin Georges, La quête du Saint Graal et l'Imaginaire, Corlet, 1998.
    29. Flament P; in La Légende arthurienne et la Normandie, Corlet, 1983
    30. Georges Bertin, "La quête du saint Graal et l'Imaginaire", Éd. Corlet, 1998
    31. « Jean-Louis Pellerin mène une équipe « jeune et dynamique » », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    32. « Martine Guérin s'installe dans le fauteuil de maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    33. « Ouest-france.fr - Démission du maire de Banvou, près de Flers » (consulté le ).
    34. « Joël Jourdan, nouveau maire de Banvou, près de Flers », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    35. Réélection 2014 : « Banvou (61450) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    40. « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Liens externes

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