Casus Belli
Casus Belli est un magazine francophone créé en 1980 traitant du jeu de rôle, du wargame (à ses débuts), du jeu de rôle grandeur nature, du jeu sur internet et de la « culture de l'imaginaire ».
Pour les articles homonymes, voir Casus belli (homonymie).
Casus Belli | |
Pays | France |
---|---|
Langue | Français |
Périodicité | Bimestriel et mensuel (à partir du no 91 de février 1996) |
Genre | Magazine francophone sur le jeu de rôle, le wargame (à ses débuts), le jeu de rôle grandeur nature, du jeu sur internet et de la « culture de l'imaginaire » |
Fondateur | François Marcela-Froideval |
Date de fondation | 1980 |
Éditeur | Excelsior Publications (1982-1999) Arkana Press (2000-2006) Casus Belli Presse (2010-2011) Black Book Éditions (depuis 2011) |
Ville d’édition | Paris |
Propriétaire | Black Book Éditions / Fédération des jeux de simulations stratégiques et tactiques |
Rédacteur en chef | Didier Guiserix / Raphaël Bombayl |
ISSN | 0243-1327 |
Site web | https://www.black-book-editions.fr/ |
Selon les époques, il fut bimestriel ou mensuel.
Le nom du magazine est tiré de la locution latine « casus belli » et fait référence aux jeux de guerre (wargames) qui étaient prépondérants dans la sphère ludique à ses débuts.
Historique
Première époque (1980-1999)
Casus Belli est créé par François Marcela-Froideval (qui sera notamment plus tard le scénariste de la bande dessinée Chroniques de la lune noire), qui venait d'être embauché comme « ludologue » chez Jeux Descartes. Froideval avait fondé quelque temps auparavant la Fédération française des jeux de simulation stratégique et tactique (FFJSST), le magazine Casus Belli devant être l'outil de communication de cette association loi de 1901[1]. Il recrute pour la circonstance un jeune illustrateur et maquettiste, Didier Guiserix, avec qui il réalise ensuite des jeux en encart dans le magazine Jeux & Stratégie (appartenant également au groupe Excelsior Publications).
Le premier numéro de Casus Belli paraît en France en . Les premiers numéros sont tous sous-titrés « Le magazine des jeux de simulation »[2] avec la mention sur la couverture des jeux (ou types de jeux) mis en avant (« wargames, diplomacy, donjons&dragons »[3]). À partir du 7e numéro (mars-avril 1982), cette mention est remplacée par « Wargames, Jeux de Rôle, Diplomatie… », puis à partir du 11e numéro (octobre-novembre 1982) par « Wargames, Jeux de Rôle, Ludotique… »[4].
Le deuxième numéro parait sept mois après le premier, la parution est ensuite trimestrielle[5] puis bimestrielle à partir du septième numéro. Le magazine a une pagination de 32 pages en noir et blanc avec une couverture en papier glacé et est vendu à l'unité au prix de 9 FF (environ 1,37 €). Tiré à seulement 2 000 exemplaires, il n'est disponible que dans certaines boutiques de jeu (parmi lesquelles, notamment, Jeux Descartes et L'Œuf cube) mais n'apparaît pas en kiosque.[réf. souhaitée]
Deux ans plus tard, le magazine finit par trouver son créneau, plus d'ailleurs parmi les rôlistes que parmi les belliludistes (wargameurs) auxquels il était pourtant plus particulièrement destiné au départ. Froideval décide alors que la FFJSST doit lui vendre le journal, ce qui fut fait pour un franc symbolique[réf. nécessaire].
Le magazine prend son envol, les premiers numéros — bientôt épuisés — devant finalement être réédités. Alors que Jeux & Stratégie prospère, le groupe qui l'éditait commença à regarder avec intérêt du côté de Casus Belli. Il était d'autant plus fondé à le faire, que Casus était entièrement conçu dans ses locaux par au moins deux de ses employés.[réf. souhaitée]
L'affaire se conclut par la revente du magazine pour 10 000 francs à Excelsior Publications. Casus Belli no 10 (septembre 1982) sort sous ce nouvel éditeur. Par la suite, Froideval part aux États-Unis collaborer avec l'auteur Gary Gygax à des suppléments du jeu Advanced Donjons & Dragons ; Didier Guiserix est alors promu rédacteur en chef à sa place[6]. Le journal est enfin distribué en kiosque.[réf. souhaitée]
Casus Belli connaît sa période la plus faste entre 1985 et 1992, période qui voit « l'âge d'or » du jeu de rôle en France.[réf. souhaitée] En effet, au début des années 1990, une étude indépendante sur les habitudes des Jeunes Instruits (secondaire et premier cycle) mentionnait Casus Belli en le créditant de 100 000 lecteurs.[réf. nécessaire]
Mais, à la fin des années 1990, la mauvaise santé du marché du jeu de rôle fait que le magazine devient déficitaire. En 1999, le propriétaire Excelsior Publications met fin à l'aventure Casus Belli avec le no 122.[réf. nécessaire]
« Si nous avons coulé c’est parce qu’avec l’arrivée d’Internet, on n’avait moins besoin d’un magazine de news et les ventes baissaient. Sans doute qu’on n’a pas évolué comme on aurait dû, c’était le début de ce qu’on a appelé « la crise du JdR ». »
— Pierre Rosenthal, Les années Casus Belli[1]
Cadres de campagne
Au cours de son histoire durant sa première époque, le magazine Casus Belli publie plusieurs cadres de campagne pour les jeux de rôle[7],[8] :
- Alarian, Casus Belli no 13, février 1983 ;
- Laelith, Casus Belli no 35–52, décembre 1985 ;
- Goferfinker, Casus Belli no 53–55 ;
- Jarandell, le Jardin des magiciens, Casus Belli no 58–60, juillet 1990 ;
- Paorn, Casus Belli no 74–78, mars 1993 ;
- La Terre des Ossements, Casus Belli no 82 ;
- Rhadjabán & Djarabân, la Cité d'airain, Casus Belli no 96–98, juillet 1996 ;
- Le Monde de Kê-Thaarn, Casus Belli no 107, juillet 1997.
Alarian est republié en 1991 dans le no HS3. Il deviendra le cadre de campagne du jeu Héros et Dragons (Black Book Éditions, 2018)[9].
Une version consolidée de Laelith est publiée dans le no HS2 (1990). Une évolution, Laelith 20 ans après, est publiée dans un numéro hors série de la 2e époque (2000). Une nouvelle version est publiée sous la forme de deux livrets (Laelith, la Cité mystique, 400 p. ; Guide pratique de Laelith, +100 p.) et forme un cadre de campagne pour Héros et Dragons et Chroniques oubliées fantasy (Black Book Éditions, à paraître)[10].
Dans le no HS11 SangDragon (1994), plusieurs cadres de campagne — Alarian, Archipel de Malienda, Goferfinker et Laelith — sont rassemblés sur une même carte[11]. Ils sont également intégré dans le monde des Terres d'Osgild (cadre de campagne pour Héros et Dragons, Black Book Éditions, 2018)[12].
Numéros hors-série
- SimulacreS (HS1, 1989)
- Jeu de rôle de Pierre Rosenthal, couverture de Caza
- Laelith (HS2, 1990)
- Morceau choisis (HS3, 1991)
- Grandeur nature (HS4, 1992)
- Mega III (HS5, Juillet 1992)
- Spécial scénarios (HS6, Décembre 1992)
- Jeux et stratégie I (HS7)
- Spécial scénarios (HS8, Juin 1993)
- Jeux et stratégie II (HS9)
- SimulacreS (HS10, Mars 1994)
- Jeu de rôle de Pierre Rosenthal
- SangDragon (HS11, Avril 1994)
- Univers médiéval-fantastique pour SimulacreS
- Spécial vacances (HS12, Juillet 1994)
- Wargames et jeux de plateau (HS13, Décembre 1994)
- Encyclopédie médiévale-fantastique vol. I (HS14, Mars 1995)
- Spécial vacances (HS15, Juin 1995)
- Cyber Age, 28 minutes dans le futur (HS16, Septembre 1995)
- Encyclopédie médiévale-fantastique vol. II (HS17, Novembre 1995)
- Jeux de cartes à jouer et à collectionner (HS18)
- BaSIC (HS19, Juin 1997)
- Jeu de rôle, version simplifiée du Basic Role-Playing de Chaosium
- Scénarios (HS20, Mars 1998)
- Mousquetaires & sorcellerie (HS 21, Mai 1998)
- Univers historique-fantastique pour BaSIC
- Scénarios (HS22, Juillet 1998)
- Paorn — Le nouvel âge (HS23, Novembre 1998)
- Paris by Night (HS24, Mars 1999)
- Manuel pratique du jeu de rôle (HS25, Mai 1999)[13]
- La matériel (François Doucet), p.7-8
- Choisir son premier supplément (François Doucet), p. 9
- Lire les règles (Fabrice Colin), p. 10-11
- Disséquer un background (Tristan Lhomme), p. 12-13
- L'art et la conception d'un personnage (Gary Gygax), p. 14-18
- Créer son personnage. L'aspect technique (Pierre Rosenthal), p. 19
- Les limites du rôle (Pierre Lejoyeux), p. 20-21
- Bien décrire (Denis Gerfaud), p. 22-24
- Interpréter les personnages-non-joueurs (Denis Gerfaud), p.25-27
- Le trombinoscope (Anne et Gérard Guéro), p. 28-31
- Préparer un scénario du commerce (Pierre Rosenthal), p. 32-33
- Jouer en musique (Fabrice Colin), p. 34
- Les débuts de l'aventure, ou comment impliquer les personnages (Pierre Rosenthal), p. 35-36
- Gérer le temps (Denis Gerfaud), p. 37-39
- Gérer les combats (Croc), p. 40-41
- Improviser en cours de scénario (Tristan Lhomme et Pierre Rosenthal), p. 42-44
- Comment sauver un scénario (Tristan Lhomme), p. 45-47
- Gérer la mort des personnages (Pierre Lejoyeux), p. 48-49
- Gérer les conflits entre personnages (Pierre Lejoyeux), p. 50-52
- Écrire ses scénarios (Antoine de la Sayette), p.53-56
- Générateur d'idées (Christophe Debien), p. 57-58
- Jouer en campagne (Pierre Lejoyeux), p. 59-63
- Carnet de bord d'une campagne (Tristan Lhomme), p. 64-66
- Briser la linéarité des scénarios (Mehdi Sahmi), p. 67-70
- Improviser une campagne (Mehdi Sahmi), p. 71-73
- Construire une campagne autour des personnages (Mehdi Sahmi), p. 74-75
- Bâtisseur de campagnes (Gary Gygax), p. 76-82
- Créer un univers de campagne (Jean Balczesak et Didier Guiserix), p. 83-85
- Jouer sans règles ou presque (Jean-Luc Bizien), p. 86-88
- Jouer à haut niveau (Peter D. Adkison), p. 89-91
- Jouer les Grosbills (jean-Luc Bizien), p. 82-93
- Réussir ses parties d'initiation (Didier Guiserix), p. 84-95
- Jeunes loups et vieux renards autour d'une même table (Serge Olivier), p. 96-97
Deuxième époque (2000-2006)
Le titre Casus Belli est alors repris par Arkana Press, société de presse dont le directeur de publication est Frédéric Weil, par ailleurs dirigeant de Multisim.
Le no 1 de la nouvelle série est publié en . La nouvelle accroche du magazine est « Jeux de rôle, jeux online et cultures de l'imaginaire », dénotant ainsi une approche pluri-sectorielle destinée à ouvrir les rôlistes à d'autres horizons et marquer la place du jeu de rôle au carrefour de plusieurs cultures.
Après la liquidation judiciaire de Multisim, prononcée le et annoncée dans le no 23 du magazine, celui-ci voit le départ d'une grande partie de ses contributeurs. La rédaction de Casus Belli devint alors collégiale, et seule la rédactrice en chef demeure salariée d'Arkana Press, les autres collaborateurs du magazine étant tous sous le statut de pigistes. Ce poste est ensuite supprimé en avril 2006, et la pagination du magazine diminuée de 84 à 68 pages.
En novembre 2006, Arkana Press publie le dernier numéro, Casus Belli no 39 et annonce son désir de revendre le titre.
Troisième époque (2010-2011)
Le , une nouvelle société, Casus Belli Presse, est créée par Tristan Blind et Stéphane Gallot dans le but de relancer le magazine Casus Belli[14],[15].
Le premier numéro de cette troisième série paraît en août 2010[14]. Le magazine était (théoriquement) mensuel, sa couverture portant un dessin couleur sur un cadre noir et blanc, avec une pagination de 76 pages en couleurs.[réf. souhaitée]
À ces débuts, cette nouvelle version de Casus Belli connaît plutôt une bonne période. Le deuxième numéro sort en septembre 2010 et le troisième en octobre 2010. Mais, par la suite, le magazine doit faire face à des difficultés financières. Le quatrième numéro ne paraît qu'en janvier 2011 et le dernier (le no 5) en mars. En juillet 2011, la mort du magazine est annoncée, mais il ressuscite sous la forme d'un mook (magazine-book).[réf. souhaitée]
En septembre 2013, la société « Casus Belli Presse » est placée en liquidation judiciaire[16].
Quatrième époque (depuis 2011)
Le no 1 du nouveau Casus Belli quatrième époque est daté de novembre/décembre 2011, avec Didier Guiserix[17] et Stéphane Gallot co-rédacteurs en chef. Le magazine, édité par Black Book Éditions[17] (société basée à Lyon), est disponible sous forme papier ou fichier pdf dans les boutiques de jeu et les librairies.
Le magazine publie la deuxième édition des Chroniques oubliées, une version simplifiée du d20 system en tant que « système de jeu simple générique et complet »[18].
À la fin de l'année 2012, Stéphane Gallot quitte l'équipe rédactionnelle, remplacé à partir du no 8 par Raphaël Bombayl (ancien rédacteur en chef de l'éphémère Black Box).[réf. souhaitée]
Ce changement d'équipe entraîne un retard important, puisque le no 8 sort en décembre 2013 pour une parution prévue en août ; Bruno Bellamy (dessinateur des célèbres « Bellaminettes »), mécontent de n'avoir pas été informé du devenir du journal — et donc de sa collaboration —, annonce sur les réseaux sociaux qu'il interrompt sa collaboration avec Casus Belli.[réf. souhaitée]
Collaborateurs associés à Casus Belli
À divers moments de son histoire :
- Claude Amardeil (articles de fond, jeux en encart)
- Frantz Auberlet : illustrateur (couvertures, illustrations intérieures)
- Laurent Avenel : collaborateur sup. Laelith 01 (scénario d'introduction)
- Jean Balczesak : scénariste, chroniqueur
- Denis Beck : scénariste
- Olivier Bédué : dessinateur (strips de « Monghol & Ghota »)
- Bruno Bellamy : dessinateur (les jolies « bellaminettes »)
- Frédéric Bey (rubrique wargames, jeux en encart)
- Caza : dessinateur (plusieurs couvertures)
- Christian Cirri : maquettiste (scénarios, aides de jeu, articles de fond)
- Coucho : dessinateur (chronique Le Barbare déchaîné — qui fait référence au Canard enchaîné)
- Sébastien Célerin
- Bruno Chevalier : scénariste (bande dessinée Kroc le Bô)
- Fabrice Colin : scénariste, écrivain
- Arnaud Cuidet
- Guillaume de Casaban (rubrique Internet)
- André Dého-Neves
- Franck Dion : illustrateur (Jarandell et Les Voyages de l'Astronome)
- Patrick Durand-Peyroles.
- Philippe Fenot
- Cédric Ferrand
- Olivier Frot : illustrateur
- Mathieu Gaborit : scénariste, écrivain
- Stéphane Gallot : rédacteur en chef
- Didier Guiserix : rédacteur en chef (scénarios, articles de fond), illustrateur (dont les fameux « crapougnâts », de petits personnages de forme triangulaire)
- Laurent Henninger (rubrique wargames, revue de presse)
- Hélène Henry : rédactrice en chef
- Marc Laperlier : scénariste
- Cyrille Daujean : illustrateur (Plans, cartes intérieures, scénarios)
- Christophe Lefebvre : collaborateur sup. Laelith 01 (brèves de comptoirs et autres rumeurs)
- Pierre Lejoyeux : scénarios.
- Tristan Lhomme : secrétaire de rédaction, scénariste.
- François Marcela-Froideval : fondateur, illustrateur
- Arnaud Martin (articles de fond)
- Christophe Mouchel
- Jean-Marie Noël : sévère maquettiste, surnommé « Pitbull »
- Guillaume Nonain
- Serge Olivier : rédacteur en chef
- Jean-Jacques Petit (articles de fond, jeux en encart)
- Pierre Rosenthal : rédacteur en chef des "Hors-Série"
- Jean-Paul Rousset (articles de fond)
- Thierry Ségur : dessinateur (bande dessinée Kroc le Bô)
- Xavier Sené (articles de fond)
- Yann Soitiño (scénarios, articles de fond, rubrique Bâtisses & Artifices)
- Tignous : dessinateur (couvertures, illustrations intérieures)
- Olivier Tubach (tests de jeux sur ordinateur)
- Anne Vétillard : chroniqueuse
- Roland C. Wagner : auteur de science-fiction (rubrique SF de 1985 à 1992)
- Pierre Zaplotny (principalement scénarios)
Notes et références
- Saint Epondyle 2015
- Pour les 30 premiers numéros puis sous-titre remplacé par le suivant « 1er magazine des jeux de simulation » à partir du no 31 de février-mars 1986.
- Pour les six premiers numéros, à l’exception du deuxième où c’était juste écrit « wargames, donjons&dragons ».
- Site web « Magazines :\>Abandonware, le site des anciennes revues informatiques ». Liste de couvertures de Casus Belli.
- Annoncé comme trimestriel sur la couverture du premier numéro, il n’adoptera toutefois le rythme de parution d’un numéro tous les trois mois qu’à partir du deuxième numéro.
- [PDF] Gregory Molle, Paroles d'un Grand Ancien : Entretiens avec Didier Guiserix, Paris, La Scénariothèque, , 68 p. (lire en ligne)
- « Les mondes de Casus », sur Anniceris,
- « Index AD&D2 des magazines Casus Belli » [PDF], sur Le Donjon du dragon (consulté le ), p. 12 et suiv.
- « Pack Préco - Héros & Dragons - Cadre de campagne », sur Black Book Éditions (consulté le ).
- « Laelith, la cité mystique », sur Black Book Éditions,
- Geraud myvyrrian G, « Terres d'Osgild, Royaume de Cobis, Alarian, Laelith, Paorn etc. », sur Black Book Éditions, (consulté le ).
- MRick, « Terres d'Osgild, Royaume de Cobis, Alarian, Laelith, Paorn etc. », sur Black Book Éditions, (consulté le ).
- Téléchargeable gratuitement avec l'accord des auteurs, voir « Manuel pratique du Jeu de Rôle », sur FFJdR,
- Casus Belli, prise 3, Guide du rôliste galactique, 17 juin 2010, lire en ligne (consulté en ligne le 18 juin 2010).
- « TricTrac - Casus Belli revient ! », sur trictrac.net (consulté le ).
- « CASUS BELLI PRESSE (LYON) Chiffre d'affaires, résultat, bilans sur SOCIETE.COM - 519279236 », sur Societe.com (consulté le ).
- « 11 juillet 2011 - Casus Belli : mort et résurrection », legrog.org (consulté le 18 mars 2019).
- « Chroniques oubliées », Casus Belli, vol. 4, no 1, , p. 178-206 (ISBN 978-2-36328-100-5).
Voir aussi
Sources externes
- [Saint Epondyle 2015] Saint Epondyle, « Discussion avec Pierre Rosenthal (1/3) : Les années Casus Belli », sur Cosmo Ørbüs, (consulté le )
- Val Lazare, « Casus Belli - Interview », sur Krinein, (Tristan Lhomme, Arnaud Cuidet, Vincent Kaufmann et Didier Guiserix)
Articles connexes
- Les Aventures de Kroc le Bô, une série humoristique parue dans le magazine.
- Laelith, ville imaginaire.
Liens externes
- Casus Belli quatrième époque, sur le site de l'éditeur, black-book-editions.fr
- Notice bibliographique Casus belli : magazine de simulation stratégique / Fédération des jeux de simulations stratégiques et tactiques | BnF Catalogue général - Bibliothèque nationale de France », catalogue.bnf.fr
- [vidéo] La Petite Interview - Didier Guiserix sur YouTube
- [vidéo] La Petite Interview - Pierre Rosenthal sur YouTube
- Portail des jeux
- Portail de la presse écrite
- Portail des jeux de rôle