Catillon-Fumechon

Catillon-Fumechon est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Catillonais-Fumechonnais et les Catillonnaises-Fumechonnaises.

Pour les articles homonymes, voir Catillon et Jacques Pierre Aimable Chrestien de Fumechon.

Catillon-Fumechon

La mairie, implantée dans l'ancienne église Saint-Nicolas-et-Notre-Dame de Catillon .
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau Picard
Maire
Mandat
Didier Dupont
2020-2026
Code postal 60130
Code commune 60133
Démographie
Gentilé Catillonnais-Fumechonnais, Catillonaises-Fumechonnaises
Population
municipale
543 hab. (2019 )
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 31′ 05″ nord, 2° 22′ 14″ est
Altitude Min. 108 m
Max. 177 m
Superficie 13,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Catillon-Fumechon
Géolocalisation sur la carte : France
Catillon-Fumechon
Géolocalisation sur la carte : Oise
Catillon-Fumechon
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Catillon-Fumechon
Liens
Site web http://chrbauduin.free.fr

    Géographie

    Description

    Paysage d'orage et éoliennes.

    Catillon-Fumechon est un village périurbain du Plateau picard dans l'Oise, limitrophe au nord-ouest de Saint-Just-en-Chaussée, situé à 24 km au nord-est de Beauvais, 42 km au sud d'Amiens et 34 km au notrd-ouest de Compiègne.

    Le territoire communal est traversé par l'ancienne route nationale 16.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 712 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 20 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Catillon-Fumechon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,4 %), zones urbanisées (4,6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 245, alors qu'il était de 226 en 2013 et de 208 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 91 % étaient des résidences principales, 2,9 % des résidences secondaires et 6,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,4 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Catillon-Fumechon en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,9 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,5 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Catillon-Fumechon en 2018.
    Typologie Catillon-Fumechon[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 91 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,9 2,5 9,7

    Toponymie

    Catillon est attesté sous les formes Castellio vers 1160, Chastillon en 1238, Castillon en Beauvoisis au XIIIe siècle , Galcheri de Castellione au XIVe siècle, Carstillon en 1520 et Catillon en 1667[réf. nécessaire].

    Fumechon est attesté sous les formes Folmuchon vers 1024[21], Famesson en 1388, Fumeson en 1540[réf. nécessaire].

    Les cartes de Cassini établies vers 1750-1780 mentionnent les noms de Castillon et Fumechon comme deux paroisses voisines distinctes. Les registres paroissiaux de Catillon de cette époque l'écrivent Catillon, mais l'appellation Castillon semble encore utilisée [22].

    Histoire

    Catillon et Fumechon relevaient sous l'Ancien Régime du comté de Clermont[23],[24].

    Le vieux château fort de Catillon, qui avait été abandonné pendant une trentaine d'années après la Révolution française, est remplacé vers 1816 par un édifice moderne. Le.domaine a été pendant longtemps la propriété de la maison de Belloy[23]

    Catillon et Fumechon étaient, sous l'Ancien Régime des paroisses, qui ont été instituées par la Révolution française, en communes indépendantes.

    Fumechon est fugacement intégrée à Catillon de 1826 à 1834, et les deux communes fusionnent définitivement en 1960, formant désormais Catillon-Fumechon[25],[26].

    A Catillon et Fumechon, en 1835, une partie de la population vivait du tissage de toiles de chanvre. Un moulin à vent se trouvait près de Catillon et un autre à Fumechon. Une carrière y était exploitée[23],[24].

    À la fin de la Guerre franco-allemande de 1870, lors du siège de Paris, le 24 janvier 1871, le ballon monté Torricelli s'envole de la gare de l'Est à Paris, alors assiégée par les prussiens et termine sa course à Fumechon après avoir parcouru 193 kilomètres[27].

    Catillon a été desservi de 1891 à 1961 par la ligne Estrées-Saint-Denis - Froissy - Crèvecœur-le-Grand, une des lignes de chemin de fer secondaire à voie étroite du réseau des chemins de fer départementaux de l'Oise. Cette ligne a été construite par la compagnie du Chemin de fer d'Estrées à Froissy, qui devient en 1908 la compagnie du Chemin de fer d'Estrée à Froissy et Crèvecœur lors du prolongement de la ligne jusqu'à la gare de Crèvecœur-le-Grand. La compagnie générale de voies ferrées d'intérêt local reprend l'exploitation de la ligne de 1920 jusqu'à sa fermeture.

    Horaires de la ligne en mai 1914.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la première circonscription de l'Oise.

    Elle fait partie depuis 1801 du canton de Saint-Just-en-Chaussée[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 29 à 84 communes.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes du Plateau Picard, créée fin 1999.

    La commune fait partie d'un dispositif de transport solidaire autonome "Le rezo pouce" autostop volontaire" sécurisant et d'un rézo senior pour les ainés, organisé par la communauté de communes du Plateau Picard.

    Liste des maires

    La mairie occupe les locaux de l'ancienne église de Catillon, désacralisée.
    Liste des maires successifs depuis la fusion de 1960[28]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Micheline Vantomme DVD[29]  
    mars 2008 2020 Philippe Trunet    
    mai 2020[30] En cours
    (au 2 décembre 2021)
    Didier Dupont    

    Politique de développement durable

    Un opérateur a demandé en décembre 2018 l'autorisation d'implanter six éoliennes dans la commune. L'autorisation, si elle est accordée, sera précédée par une enquête publique[31].

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux du Mesnil-sur-Bulles, du Plessier-sur-Bulles et de Nourard-le-Franc au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal, doté d'une cantine. Celle-ci, en 2021, se révèle insuffisante pour accueillir tous les enfants qui le souhaiteraient, amenant la direction à instaurer des priorités[32].

    Sports et loisirs

    Un terrain de pétanque a été créé en 2020 par la municipalité et ses agents, pour remplacer un terrain vétuste[33].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

    En 2019, la commune comptait 543 habitants[Note 7], en augmentation de 1,31 % par rapport à 2013 (Oise : +1,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    512567618573800612616618601
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    580603525476494472432410360
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    370360356325352302301318354
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    438432411405460517565579536
    2018 2019 - - - - - - -
    546543-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 271 hommes pour 275 femmes, soit un taux de 50,37 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,1 
    90 ou +
    0,4 
    4,8 
    75-89 ans
    8,0 
    16,6 
    60-74 ans
    16,7 
    25,1 
    45-59 ans
    25,5 
    21,4 
    30-44 ans
    17,8 
    15,1 
    15-29 ans
    14,9 
    15,9 
    0-14 ans
    16,7 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,3 
    75-89 ans
    7,5 
    15,1 
    60-74 ans
    15,8 
    20,9 
    45-59 ans
    20,1 
    19,5 
    30-44 ans
    19,4 
    17,9 
    15-29 ans
    16,5 
    20,8 
    0-14 ans
    19,4 

    Manifestations culturelles et festivités

    • Le festival « Campagne en fêtes », organisé par les jeunes agriculteurs de l'Oise, s'est tenu au village en 2008[39].
    • Le marché fermier médiéval, dont la 10e édition, organisée par l'association La Troupe des sous-bois, a eu lieu début octobre 2018[40].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le village présente une belle harmonie alliant patrimoine traditionnel et éléments contemporains[41].

    On peut notamment signaler :

    • La mairie, qui occupe le bâtiment de l'ancienne église Saint-Nicolas-et-Notre-Dame de Catillon (XIIIe, XVIe et XVIIIe siècles) : Le clocher et la nef datent du XVIe siècle et le chœur en brique a été construit au XVIIIe siècle. L'église fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques en 1951[42].
    Désaffectée depuis le début des années 1960 après la fusion des deux communes, elle a été désacralisée à la suite du refus de l'évêché de la voir transformée en chapelle, les autorités ecclésiastiques estimant qu'un seul lieu de culte catholique suffisait pour cette petite commune.
    L'édifice a donc été réaménagée pour devenir la mairie de la commune en 2007, le bureau du maire se trouvant désormais sous le clocher et la salle du conseil municipal dans la nef, le tout sur 200 m2[43]. Toutefois, le chœur n'a pas été désacralisé et demeure un lieu cultuel[44].
    Une salle culturelle complète l'utilisation du bâtiment. Ses travaux ont commencé en 2014 et s'achèvent à l'automne 2019. Une partie du mobilier liturgique (l'autel, les fonts baptismaux du XIIIe siècle et certaines statues seront réimplantés dans la salle culturelle[31],[45].
    • Église Saint-Lucien à Fumechon.
    • Le château de Catillon, du XIXe siècle, qui a succédé à une forteresse détruite en 1816[46].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Catillon-Fumechon », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Airion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Catillon-Fumechon et Airion », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Airion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Catillon-Fumechon et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Archives de Seine-Maritime, 14 H 145.
    22. Voir acte de décès de Antoine Nicolas Queste - Clermont - 14/01/1742, dans lequel des frères du défunt résident à Remerangles et Castillon.
    23. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Saint-Just-en-Chaussée, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne [PDF]), p. 60-61.
    24. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Saint-Just-en-Chaussée, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne [PDF]), p. 48-49.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. « Catillon et Fumechon fêtent leurs 50 ans de mariage », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    27. Toussaint Coppolani, « Ballon N° 65 : « Le Torricelli » », Les ballons montés, Philéchange, (consulté le ).
    28. « Les maires de Catillon-Fumechon », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    29. Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
    30. « Ils sont vous nouveau élus », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3606, , p. 24.
    31. Céline Sol, « Une salle culturelle dans l’ancienne église », Le Bonhomme picard, édition Montdidier-Roye, no 3527, , p. 19.
    32. Lucien Djani, « La cantine de Catillon-Fumechon victime de son succès, les parents d’élèves sont en colère : Des parents d’élèves ont manifesté ce vendredi 8 octobre face à la surfréquentation du service de cantine qui oblige le syndicat scolaire à donner la priorité à certains enfants. Et tous ne peuvent pas être servis », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    33. « À Catillon-Fumechon, les élus et les agents communaux ont créé un terrain de pétanque : L’ancien terrain de pétanque a tiré sa révérence il y a peu, car il ne répondait plus aux attentes des joueurs », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Catillon-Fumechon (60133) », (consulté le ).
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    39. « La campagne fait la fête à Catillon-Fumechon : C'est devenu le grand rendez-vous annuel des jeunes agriculteurs de l'Oise au moment où ont pris fin les moissons. Courses de moissonneuses, démonstrations de chiens de troupeau… C'est tout le monde rural qui est en fête », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    40. « Le marché fermier médiéval a soufflé ses 10 bougies », Le Bonhomme picard, édition Montdidier-Roye, no 3519, , p. 19.
    41. Lucien Djani, « Catillon-Fumechon, un village parfaitement mis en valeur : Il a su allier patrimoine traditionnel et marqueurs contemporains et a été mis à l'honneur », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    42. « église Saint-Nicolas », notice no PA00114566, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. « A Catillon-Fumechon, les mariages religieux bientôt célébrés… en mairie », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    44. « 44 ans après,le ferronnier de Catillon-Fumechon distingué : Eugène Nagy, le ferronnier d’art qui avait donné la croix du chœur, a été remercié vendredi », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    45. Julien Heylige, « Catillon-Fumechon en quête d’un plâtrier à l’ancienne pour son église-mairie : Le maire désespère de pouvoir trouver un artisan capable de rénover le plafond de deux chapelles. Il lance un appel pour dénicher la perle rare », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    46. Daniel Delattre (préf. Jean-François Mancel), L'Oise : Les 693 communes, Grandvilliers, Editions Delattre, , 316 p., p. 62.
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