Christian Wasserfallen
Christian Wasserfallen, né le à Berne (originaire de Wileroltigen) est une personnalité politique suisse, membre du Parti libéral-radical. Il est député du canton de Berne au Conseil national depuis décembre 2007.
Christian Wasserfallen | |
Portrait officiel, 2019. | |
Fonctions | |
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Conseiller national | |
En fonction depuis le | |
Législature | 48e à 51e |
Groupe politique | libéral-radical (RL) |
Commission | CEATE, CSEC CdG (2007 à 2011) |
Vice-président du Parti libéral-radical | |
– | |
Président | Philipp Müller Petra Gössi |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Berne (Suisse) |
Nationalité | Suisse |
Parti politique | PLR |
Diplômé de | Haute école spécialisée bernoise |
Profession | Ingénieur |
Biographie
Fils de l'ancien conseiller de ville bernois et conseiller national Kurt Wasserfallen, Christian Wasserfallen étudie l'ingénierie des machines à la Haute École spécialisée bernoise. Il termine ses études en 2007.
Sa carrière politique débute en 2000 en tant que délégué des Jeunes libéraux radicaux suisses. Il préside les Jeunes libéraux radicaux de la ville de Berne de 2002 à 2005. En 2003, il est élu au législatif de la ville de Berne.
En 2007, il est élu conseiller national pour le Parti libéral-radical. Il est réélu lors des élections fédérales de 2011, 2015 et 2019. Il est membre de la Commission de l'environnement, de l'aménagement du territoire et de l'énergie (CEATE) depuis 2009 et président de la Commission de la science, de l'éducation et de la culture (CSEC) depuis 2011, après avoir fait partie de la Commission de gestion (CdG) de 2007 à 2011.
Christian Wasserfallen est l'un des 5 vice-présidents du parti libéral-radical de 2012 à 2019[1]. Un temps pressenti en 2015 pour reprendre la présidence du parti[2], il renonce finalement début 2016[3]. Cette même année, il est candidat à la présidence de l'Automobile Club suisse : son élection est cependant contestée, des plaintes sont déposées et il finit par renoncer au poste[4],[5]. L'année suivante, en 2017, il déclare son intérêt pour le gouvernement du canton de Berne[6], mais il n'est pas retenu par son parti[5], qui lui préfère Philippe Müller[7].
Pro-nucléaire[8],[9] (il est membre du Forum nucléaire suisse), détracteur de la SSR[10],[5] (il a été vice-président de l'Action pour la liberté des médias jusqu'en 2020[11]) et opposant à la nouvelle politique verte de son parti[12], il est marqué très à droite au sein de son parti[5].
Christian Wasserfallen a le grade d'appointé à l'armée. Il est en couple avec Alexandra Thalhammer, qui a siégé sous les couleurs du PLR au parlement de la ville de Berne de 2015 à 2018[13].
Notes et références
- (de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Christian Wasserfallen » (voir la liste des auteurs).
- « PLR: Christian Wasserfallen quitte son poste de vice-président », sur SWI swissinfo.ch (consulté le )
- « Christian Wasserfallen semble favori pour reprendre les rênes du PLR », sur rts.ch, (consulté le )
- « Le Bernois Christian Wasserfallen pas candidat à la présidence du PLR », sur rts.ch, (consulté le )
- « L'ACS miné par des intrigues dignes d'un polar », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
- « Christian Wasserfallen ou la chute du «Macron bernois» », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
- « Le PLR Christian Wasserfallen veut être candidat au Conseil d'Etat bernois », sur rts.ch, (consulté le )
- (de) Marcello Odermatt, « Die FDP setzt auf Müller – und nicht auf Wasserfallen », Der Bund, (ISSN 0774-6156, lire en ligne, consulté le )
- « Le vote sur la sortie du nucléaire se précise pour 2014 », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
- « Pourquoi je suis là. «Je militerai pour une nouvelle centrale nucléaire» », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
- « La SSR supprimera 250 postes », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
- (de) « Verstärkung im Vorstand der Aktion Medienfreiheit », sur medienfreiheit.ch, (consulté le )
- (de) Lukas Mäder, Christof Forster, « Wasserfallens leiser Klimaprotest », NZZ, (lire en ligne)
- (de) « Thalhammers Rücktritt mit Ansage », Berner Zeitung, (ISSN 1424-1021, lire en ligne, consulté le )
Liens externes
- Site officiel
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