Conteville (Eure)
Conteville est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie.
Pour les articles homonymes, voir Conteville.
Conteville | |
L'église Saint-Maclou. | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Bernay |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Honfleur-Beuzeville |
Maire Mandat |
Martine Lecerf 2020-2026 |
Code postal | 27210 |
Code commune | 27169 |
Démographie | |
Gentilé | Contevillais |
Population municipale |
1 010 hab. (2019 ) |
Densité | 95 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 25′ 10″ nord, 0° 23′ 44″ est |
Altitude | Min. 0 m Max. 103 m |
Superficie | 10,68 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Le Havre (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Beuzeville |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Géographie
- Localisation
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gatien des B », sur la commune de Saint-Gatien-des-Bois, mise en service en 1949[9] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 916,4 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Deauville », sur la commune de Deauville, mise en service en 1973 et à 24 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 11 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Conteville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].
La commune, bordée par l'estuaire de la Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[21]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[22],[23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (35,7 %), terres arables (30,4 %), zones agricoles hétérogènes (19,2 %), forêts (11,7 %), zones urbanisées (2,4 %), eaux maritimes (0,7 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées Contavilla au XIe siècle (Orderic Vital), Conta villa entre 1059 et 1066 (Fauroux 218)[26], puis Contevillam en 1338[27], Conteville-sur-Mer en 1828 (L. Dubois)[28].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville, dont le premier élément Conte- représente un comte non identifié, peut-être en référence au titre que portaient les premiers duc de Normandie[26].
- Microtoponymie
Au commencement du XVIIIe siècle, l'ensemble des petites seigneuries se trouvèrent réunies, par acquisitions successives, à la baronnie de Conteville, dont elles firent partie jusqu'à la Révolution.
- Les Bois. – Il est fait mention de ce fief dans un titre de 1286 ; Laurent Restant était seigneur des Bois à Conteville en 1641 ; il fut remplacé, en 1692, par Louis de Brinon, qui lui-même eut pour successeur une branche de la famille de Grosourdy.
- La Garenne. – Ce fief est cité dans une charte de 1286. Au XVIIe siècle et au commencement du XVIIIe, il se trouve dans les mains d’une famille Piedelièvre, bourgeois de Pont-Audemer, dont l’un des membres fut curé de Conteville, en 1711. En 1714, Benoît Piedelièvre, sieur de la Garenne, habitait aussi Pont-Audemer.
- Marie. – Appartenait, vers 1770, à Joseph-Barthélemy Morin, seigneur de Conteville.
- Le Guéret et la Hérichère. – en 1768, ils étaient dans les mains de Jean et Charles Bouchard. Une de leurs descendantes, Mme Agathe-Emélie Bouchard, veuve de M. Dominique Cardine, a vu vendre, le 28 août 1868, ses biens par expropriation.
- La Londette « la petite londe », londe signifiant « bois » en ancien normand, terme issu de l'ancien scandinave lundr « bosquet, bois » – Était dans les mains de la famille Lejugeur, à la fin du XVIIe siècle.
- Les Julliens. – Ce fief s’étendait sur dix-sept pièces de terre, sises à Conteville et à Saint-Pierre ; au commencement du XVIIIe siècle, il appartenait à Jean Jullien.
- La Vigne. – Les premiers seigneurs de ce fief sont les hoirs Richard de la Vigne. Vers la deuxième moitié du XVIIe siècle, ce fief appartenait à la famille Lejugeur. IL fut ensuite réuni à la baronnie de Conteville par M. Cousin, qui en fit l’acquisition.
Histoire
Herluin, un chevalier, épousa la concubine du duc Robert Ier de Normandie, Arlette de Falaise, et lui apporta en dot le domaine de Conteville[29].
De son union avec Arlette, le comte de Conteville eut deux fils et une fille : Odon ou Eudes, qui devint évêque de Bayeux, et Robert qui prit plus tard le titre de comte de Mortain. La fille, nommée Emma, épousa Richard Goz.
Conteville fit partie du domaine ducal jusqu'au moment où Richard Cœur de Lion l'échangea, le 18 janvier 1195, avec les moines de Jumièges, contre le Pont-de-l'Arche.
Cette paroisse était alors une vicomté, ainsi que l’apprennent les rôles de l’échiquier de Normandie.
Entre 1180 et 1195, on y trouve Guillaume de la Mare, comme fermier de cette vicomté et de la seigneurie de Boulleville.
Richard Ier de la Mare, abbé de Jumièges, rend compte de 20 livres qu’il s'était obligé de payer annuellement pour le manoir de Conteville.
En 1199, le roi Jean rendit le Pont-de-l'Arche à l'abbaye de Jumièges et reprit possession de Conteville qu’il donna quelque temps après à Gérard de Fornival, pour le service d’un fief de chevalier.
Philippe-Auguste échangea Conteville, en 1210, avec l'abbaye de Jumièges, contre le Pont-de-l'Arche. Saint Louis confirma cet échange en juillet 1246.
En 1238, Thomas du Buisson vendit à l’abbaye de Jumièges un manoir qu’il possédait à Conteville, situé entre le chemin de Grestain et le chemin qui conduit à la Vigne.
Il y avait à Conteville, en 1286, un moulin nommé le moulin de la Croix et trois fiefs qui étaient ; les fiefs de la Garenne, de la Vigne et des Bois. La vavassorerie des Monts n’est connue qu’en 1475.
Les prieur et religieux de Grestain, à cette époque, reconnurent, eux aussi, « que les héritages situés en la paroisse de Conteville, relevant de leurs fiefs et seigneuries, étaient exempts de reliefs et de treizièmes, sauf ceux dont les possesseurs se seraient obligés par titres ou reconnaissances, qui ne sont pas compris dans ladite franchise et exemption ….. »
Ce privilège, qui fut si souvent, dans la suite, contesté aux habitants, devait sans doute remonter au temps où Conteville faisait partie du domaine royal, s’il n’avait pas son origine dans les donations faites par Childebert à saint Samson, évêque de Dol.
Le 22 mars 1526, l'abbé et les religieux de Jumièges rendirent aveu au roi à cause de leur baronnie de Conteville.
Le 3 juin 1676, Guillaume et Élie Lejugeur, père et fils, donnèrent et aumosnèrent une vergée de terre à la confrérie du Rosaire à Conteville.
La tradition rapporte qu'une foire, dite de Saint-Gervais, se tenait à Conteville. La charte de création de cette foire Saint-Gervais remontant à l’époque où ce pays faisait encore partie du domaine royal fut retrouvée le 16 janvier 1784, lors de l’inventaire des titres et papiers du trésor de l’église de Conteville.
Il se tient chaque semaine deux petits marchés dans le bourg de Conteville, l’un le jeudi et l’autre le dimanche. Il y avait jadis une halle pour les grains.
La « brigade Piron » a libéré Conteville le 26 août 1944.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].
En 2019, la commune comptait 1 010 habitants[Note 8], en augmentation de 6,32 % par rapport à 2013 (Eure : +0,75 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune de Conteville compte plusieurs édifices inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :
- L'église Saint-Maclou (XIIIe, XIVe, XVIe et XVIIe)[34] ;
- Le cimetière du XIXe siècle[35] ;
- Le château de la Garenne (XIXe)[36] ;
- La mairie - école (1877)[37] ;
- Un manoir - presbytère du XVIIIe siècle[38] ; l'ancien presbytère bâti en forme d’équerre, dans un endroit aussi humide que malsain et menaçant ruine, fut démoli, en 1773, par le curé de la paroisse, Nicolas Leclerc, qui se chargea de le faire reconstruire à ses frais. Il demanda et obtint, le 3 octobre de la même année, l’autorisation des habitants pour prendre sur les biens communaux tous les matériaux nécessaires pour élever cet édifice.
- Quatre fermes : une première du XVIIe siècle au lieu-dit Hameau Potier[39] ; une deuxième du XVIIIe siècle au lieu-dit Hameau Potier[40] ; une troisième du XIXe siècle au lieu-dit Hameau Julien[41] ; et une quatrième du XIXe siècle au lieu-dit le Douy[42] ;
- Une fontaine de 1832[43].
La Confrérie de Charité
Les confréries de charité sont une tradition encore vivace dans les communes du nord du département. A Conteville, la confrérie du Rosaire fut créée en 1616. Elle prit le nom de charité du Saint-Sacrement en 1907[44].
Zone humide protégée par la convention de Ramsar
- Marais Vernier et vallée de la Risle maritime[45].
Réserve naturelle nationale
Terrain acquis par le conservatoire du littoral
- Risle Maritime[48].
ZNIEFF de type 1
ZNIEFF de type 2
- La basse vallée de la Risle et les vallées conséquentes de Pont-Audemer à la Seine[53].
Sites inscrits
- La rive gauche de l'embouchure de la Seine[54]. Site inscrit (1977) ;
- La rive gauche de la Seine aux abords du pont de Tancarville[55]. Site inscrit (1967).
Personnalités liées à la commune
- François Rever[56] (1753-1828), prêtre, enseignant, homme politique, curé de la commune jusqu'en 1789 où il s'engage dans la politique.
- Jean Revel (1848-1925), écrivain, y est né et mort.
- Francis Mouchet, soldat belge tué pendant la Deuxième Guerre mondiale et dont la tombe est entretenue par la commune.
- Béatrice Galinon-Mélénec est le nom d'auteur de Béatrice Lemaire (de Conteville), Professeur des universités émérite en anthropologie de la communication.
- René Belletto (1945-) situe à Conteville la résidence de l'héroïne de sa Lettre à Mademoiselle Catherine C. parue en 1974 dans le recueil de nouvelles Le Temps mort. L'adresse de Catherine C. étant située au 8 de l'imaginaire chemin des Aubépines.
Voir aussi
Bibliographie
- Louis-Étienne Charpillon et Anatole Caresme, Dictionnaire historique de toutes les communes du département de l'Eure, Delcroix t. I, pp. 834-836.
- Bibliographie de Béatrice Galinon-Mélénec[57],[58] in Who's who in France, Dictionnaire bibliographique des personnalités françaises vivant en France et à l'étranger et des personnalités étrangères résidant en France.
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Gatien des B - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- « Station Météo-France Saint-Gatien des B - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, 1990, Volume 1 - Page 375.
- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 60.
- Dictionnaire historique de toutes les communes du département de l'Eure. t. I, pp. 834-836.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Église Saint-Maclou », notice no IA00054650, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Cimetière », notice no IA00054651, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château de la Garenne », notice no IA00054656, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Mairie, école », notice no IA00054653, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Manoir, Presbytère », notice no IA00054654, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ferme », notice no IA00054658, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ferme », notice no IA00054657, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ferme », notice no IA00054660, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ferme », notice no IA00054659, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fontaine », notice no IA00054652, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Samuel Grente, Promenade historique dans le canton de Beuzeville, Caudebec-lès-Elbeuf, Page de Garde, , 151 p. (ISBN 2-84340-195-X), p. 90.
- « Marais Vernier et Vallée de la Risle maritime », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Risle Maritime », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Marais Vernier, Risle Maritime », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Estuaire et marais de la Basse Seine », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Les prairies alluviales de la basse vallée de la Risle », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Le blanc banc à Saint-Samson-de-la-Roque », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La basse vallée de la Risle et les vallées conséquentes de Pont-Audemer à la Seine », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La rive gauche de l'embouchure de la Seine », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
- « La rive gauche de la Seine aux abords du pont de Tancarville », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
- Sources fascicule 20 personnalités qui ont fait Évreux édité à l'occasion des Journées du Patrimoine 2010 par les Archives municipales d'Évreux.
- WHO'S WHO, « Bibliographie de Béatrice Galinon-Mélénec ».
- Who's who, « Chercheurs universitaires français ».
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