Corbère-Abères

Corbère-Abères (en béarnais Corbèras-Avera ou Courbères-Abére) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Corbère.

Corbère-Abères

L'église Saint-Orens.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord-Est Béarn
Maire
Mandat
Jauffrey Domengine
2020-2026
Code postal 64350
Code commune 64193
Démographie
Population
municipale
98 hab. (2019 )
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 28′ 25″ nord, 0° 05′ 14″ ouest
Altitude Min. 171 m
Max. 306 m
Superficie 7,08 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Corbère-Abères
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Corbère-Abères
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Corbère-Abères

    Géographie

    Localisation

    La commune de Corbère-Abères se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe à 37 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 34 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Bassillon-Vauzé (2,1 km), Bassillon-Vauzé (2,8 km), Escurès (3,0 km), Lembeye (3,1 km), Castillon (Canton de Lembeye) (3,3 km), Séméacq-Blachon (3,6 km), Monpezat (3,7 km), Arricau-Bordes (4,4 km).

    Sur le plan historique et culturel, Corbère-Abères fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Corbère-Abères.

    La commune est drainée par le Larcis, le ruisseau du Boscq et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 13 km de longueur totale[7],[Carte 1].

    Le Larcis, d'une longueur totale de 34,8 km, prend sa source dans la commune de Luc-Armau, et s'écoule vers le nord-ouest. Il se jette dans le Léez à Projan, après avoir traversé 20 communes[8].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]

    • Moyenne annuelle de température : 13 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 072 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lembeye », sur la commune de Lembeye, mise en service en 1972[14] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[15],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 1 059,8 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 29 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[18], à 13,4 °C pour 1981-2010[19], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[20].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[21],[22],[23].

    Urbanisme

    Typologie

    Corbère-Abères est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[24],[25],[26].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[27],[28].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,8 %), zones agricoles hétérogènes (34,1 %), forêts (13,9 %), eaux continentales[Note 8] (0,2 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Lieux-dits et hameaux

    Voies de communication et transports

    Elle est desservie par les routes départementales 139, 142 et 205.

    Toponymie

    Le toponyme Corbère est mentionné au XIIIe siècle[30] (cartulaire de Lescar[31]) et apparaît sous les formes Corberas et Courbères (respectivement vers 1550[30] et 1683[30], réformation de Béarn[32]) et Corbères (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[30]).

    Du latin corbus (corbeau) avec le suffixe –aria aire »)[réf. nécessaire].

    Le toponyme Abères apparaît sous les formes Bere (1402[30], censier de Béarn[33]), Avera et le parsan d'Albère de Courbères (respectivement 1540[30] et 1684[30], réformation de Béarn[32]), Abere prés Corberes (1793[34], ou an II), Abères près Corbère (1801[34], Bulletin des lois) et Abère (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[30]).

    Le nom béarnais de la commune est Corbèras-Avera[35] ou Courbères-Abére[36].

    Michel Grosclaude[37] propose une étymologie latine abellana ou abella ('noisette' et par extension 'la coudraie'). À noter que cet auteur mentionne l'appellation officielle sous la forme Abère.

    Le toponyme Domengeux apparaît sous les formes Domengius et Domenjeus (respectivement 1385[30] et 1402[30], censier de Béarn[33]) et Doumengeux (1748[30], terrier de Bétracq[38]).

    Domengeux s'est unie avec Abères à Corbère et le toponyme correspondant s'appelait Corbères-Abère-Domengeux. En 1833, le nom de la commune prit sa forme actuelle, Corbère-Abères.

    Histoire

    Paul Raymond[30] note qu'en 1385, Corbères comptait treize feux et Domengeux huit ; les deux communes dépendaient du bailliage de Lembeye. La baronnie de Corbères était vassale de la vicomté de Béarn.

    Les Hospitaliers

    Domengeux était une dépendance de la commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem de Caubin et Morlaàs.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1947 1977 André Pédaillé    
    1977 1995 Marcel Loste-Berdot    
    1995 2008 Raymond Sansot    
    2008 2014 Raymond Sansot    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Corbère-Abères fait partie de quatre structures intercommunales[39] :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[41].

    En 2019, la commune comptait 98 habitants[Note 9], en diminution de 11,71 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    93104191388390392366361321
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    277254250251254244220241234
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    237181190183159145136129120
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
    99918085758286108113
    2019 - - - - - - - -
    98--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune fait partie des zones d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du madiran, du pacherenc-du-vic-bilh et du béarn.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Le château[44] date de la fin du XVIIe siècle, il fut occupé par la couturière Coco Chanel dans les années 1930.

    Le pigeonnier[45] du lieu-dit Audipont semble dater du XVIIIe siècle.

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Laurent[46], au lieu-dit Domengeux, date partiellement du XIIe siècle, tout comme l'église Saint-Orens[47], de Corbère. On trouve dans l'église Saint-Laurent du mobilier[48] référencé par le ministère de la Culture. L'église Saint-Orens, quant à elle, recèle du mobilier[49], un tableau[50], des verrières[51], des dalles funéraires[52] et des objets[53] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel.

    Personnalités liées à la commune

    Naissances

    Décès

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Corbère-Abères » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Corbère-Abères », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Corbère-Abères et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Corbère-Abères et Serres-Castet », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Corbère-Abères », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. « Fiche communale de Corbère-Abères », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    8. Sandre, « le Larcis ».
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    11. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Lembeye - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Corbère-Abères et Lembeye », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Lembeye - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Corbère-Abères et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    21. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Corbère-Abères », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Liste des ZNIEFF de la commune de Corbère-Abères », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Liste des espaces protégés sur la commune de Corbère-Abères », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur insee.fr (consulté le ).
    28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    30. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
    31. Cartulaire de l'évêché de Lescar, publié dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
    32. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
    33. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Abères-près-Corbère », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
    35. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
    36. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
    37. Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059)., page 151
    38. Manuscrit du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    39. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    44. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le château
    45. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le pigeonnier
    46. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Laurent
    47. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Orens
    48. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Laurent
    49. Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Orens
    50. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur le tableau de l'église Saint-Orens
    51. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur les verrières de l'église Saint-Orens
    52. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur les verrières de l'église Saint-Orens
    53. Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets référencés de l'église Saint-Orens

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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