Graçay
Graçay est une commune française située à la pointe centre-ouest du département du Cher, en limite de l'Indre et dans la région Centre-Val de Loire.
Graçay | |||||
Mairie de Graçay. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Cher | ||||
Arrondissement | Vierzon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Vierzon-Sologne-Berry et Villages de la Forêt | ||||
Maire Mandat |
Michel Archambault 2022-2026 |
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Code postal | 18310 | ||||
Code commune | 18103 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Graçayais | ||||
Population municipale |
1 432 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 45 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 08′ 37″ nord, 1° 50′ 51″ est | ||||
Altitude | Min. 97 m Max. 164 m |
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Superficie | 31,82 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Vierzon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Vierzon-2 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Cher
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | http://www.gracay.info/ | ||||
Géographie
Localisation
Graçay est située dans l'extrémité ouest du département du Cher, à 6 km au nord de Vatan (Indre). Le village se trouve à 2 km de l'autoroute A20.
Communes limitrophes
Anjouin (Indre) |
Genouilly | |||
Saint-Outrille (Indre) |
N | Nohant-en-Graçay | ||
O Graçay E | ||||
S | ||||
Reboursin (Indre) |
Meunet-sur-Vatan (Indre) |
Luçay-le-Libre (Indre) |
Urbanisme
Typologie
Graçay est une commune rurale[Note 1],[1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2],[3].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vierzon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[4],[5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,4 %), zones agricoles hétérogènes (15,9 %), zones urbanisées (3,4 %), forêts (2,2 %)[6].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 921, alors qu'il était de 917 en 2013 et de 952 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 74,7 % étaient des résidences principales, 15,8 % des résidences secondaires et 9,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 8,5 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Graçay en 2018 en comparaison avec celle du Cher et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (15,8 %) supérieure à celle du département (7,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 67,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (69,4 % en 2013), contre 67,1 % pour le Cher et 57,5 pour la France entière[I 3].
Typologie | Graçay[I 1] | Cher[I 4] | France entière[I 5] |
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Résidences principales (en %) | 74,7 | 79,6 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 15,8 | 7,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 9,5 | 12,9 | 8,2 |
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Graçay est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[7]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[8].
Risques naturels
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[9]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 81,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 901 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 845 sont en en aléa moyen ou fort, soit 94 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[10],[Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2002, 2006, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[7].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[11].
Histoire
Au Moyen Âge, Graçay était une importante seigneurie.
Au traité de Gaillon ratifié en 1196 Philippe Auguste doit renoncer à la forteresse de Graçay qu'il avait conquise[12]. La place est donnée en dot par Jean sans Terre à sa nièce Blanche de Castille, qu'elle apporta, avec de nombreux droits sur le Bas Berry, à son mari le futur Louis VIII, épousé en 1200.
Témoins de l'époque féodale, des remparts médiévaux, une motte seigneuriale, et l'abside Saint-Martin de l'église de la fin du XIe siècle.
La communauté de Coulon, indépendante de Graçay à l’époque, connait un important essor démographique au début du XVIIIe siècle, puisqu’elle passe de 111 feux en 1709 à 162 en 1726[13]. La communauté de Saint-Phallier est elle en crise démographique, comme le reste de l’élection d’Issoudun, puisqu’elle passe de 45 feux en 1709 à 43 en 1726[14]. L’hiver de 1709-1710 notamment cause de nombreuses pertes, ainsi que la grande canicule de 1719 (qui tua beaucoup par dysenterie)[15].
Avant 1806, la commune a absorbé celles voisines d'Avexi, de Coulon et de Saint-Phâlier ; cette dernière porta provisoirement, au cours de la Révolution française, le nom de La Liberté[16].
La commune fut desservie, de 1904 à 1939, par une ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique des tramways de l'Indre qui reliaient Issoudun et Vatan à Vierzon.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans le département du Cher et, depuis 1984, dans l'arrondissement de Vierzon. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription du Cher.
Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Graçay[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Vierzon-2.
Intercommunalité
Graçay et Saint-Outrille ont créé fin 1993 la communauté de communes de Graçay Saint-Outrille, qui a pris la dénomination de communauté de communes des Vallées vertes du Cher Ouest à la suite de l'adhésion de nouvelles communes en 2000.
Cette intercommunalité fusionne avec la communauté de communes Vierzon Pays des Cinq rivières, la nouvelle intercommunalité créée le portant le nom de communauté de communes Vierzon Sologne Berry.
Le , celle-ci a fusionné avec la communauté de communes les Villages de la Forêt pour former la communauté de communes Vierzon-Sologne-Berry et Villages de la Forêt, dont la commune est désormais membre.
Tendances politiques et résultats
Lors des élections municipales de 2014 dans le Cher, la liste FG menée par le maire sortant Jean-Pierre Charles est la seule candidate et est donc élue en totalité avec 450 voix.
Lors de ce scrutin, 43,09 % des électeurs se sont abstenus et 155 d'entre eux ont voté blanc ou nul (25,62 %)[18]
Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans le Cher, la liste menée par le maire sortant Jean-Pierre Charles a obtenu la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 366 voix (66,06 %, 13 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires), devançant très largement celle menée par Pascal Mornet-Grégoire (188 voix, 33,93 %, 2 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin marqué par la Pandémie de Covid-19 en France, 40,65 % des électeurs se sont abstenus[19].
Liste des maires
Distinctions et labels
Dans son palmarès 2016, le conseil national de villes et villages fleuris a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[26].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].
En 2019, la commune comptait 1 432 habitants[Note 3], en diminution de 1,85 % par rapport à 2013 (Cher : −3 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Culture
Économie
La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[30].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Notre-Dame : sur le pilier sud à l'entrée du chœur se trouve la statue de la Vierge d'Avexy, rescapée de deux actes de vandalisme en 1793 et 1905.
Son chœur se prolonge sur le déambulatoire par trois belles chapelles rayonnantes. L'ensemble est éclairé par 122 vitraux plus la rosace, dont 86 sont des dons des diocèses de France à l'image de leur saint patron. Le clocher abrite trois cloches qui datent de 1872.
L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 1992[31].
- L'abside Saint-Martin. Au Moyen Âge, Graçay possédait six églises : quatre extra-muros dont Saint-Outrille et deux intra-muros dont Saint-Martin.
Il reste cette abside qui fut construite à la fin du XIe siècle. C'était un prieuré dépendant de l'abbaye de Massay.
Pillée au moment des guerres de religion, elle servit de club, puis de salpêtrière pendant la Révolution française.
À la fin du XVIIIe siècle, la nef et le clocher s'écroulèrent. Au cours d'une première tranche de travaux, un chantier de fouilles mit au jour des sépultures et permit de définir exactement le plan de l'église. Contrairement à la plupart des édifices, elle est orientée nord-est et non est-ouest. De pur style roman, elle était construite sur le plan bénédictin avec une abside profonde, flanquée de deux absidioles débouchant sur un transept. On en voit les fondations à l'extérieur. L'édifice est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1930[32]. - Musée de la photographie de Graçay, 2 place du marché
- Le dolmen de la Pierre Levée également appelé la Grosse Pierre, il est d'époque néolithique et situé au village Aux Pois.
En grès très dur, sa table mesure 2,40 m de diamètre sur 0,80 m d'épaisseur, appuyée sur deux pierres sur chant. L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 1889[33].
- Château de Coulon classé et partiellement inscrit au titre des monuments historiques en 1994[34].
- Remparts anciennement allée des Tilleuls.
- La Pierre levée
- Musée de la photographie
Personnalités liées à la commune
- Arnaud de Cervole fut administrateur de la Baronnie de Graçay ;
- Jacques Bailly (1629-1679), né à Graçay, miniaturiste et graveur, peintre du roi, arrière-grand-père de Jean Sylvain Bailly, premier maire de Paris ;
- Alphonse Chigot (1824-1917), artiste peintre né à Graçay ;
- Edgard Ballon (1886-1963), athlète international français, y est né.
Selon La Thaumassière[35], les seigneurs princes de Graçay devaient l'hommage à l'abbaye de Massay, et leur famille, au nombre des grandes dynasties féodales du Berry, comporta :
- - Renaud/Regnaud Ier, époux d'Arsende, d'où - Renaud II (fl. en 1002 et 1007), lui-même père de - Sulpice (et aussi d'Arengarde, Milesende et Arsende) ; Sulpice engendre - Geoffroy Ier, mari d'Arengarde, d'où un fils dont le nom reste ignoré mais qui maria Eme et fut père de - Renaud III, fl. 1108, investi de la forteresse de St-Palais sous Louis VII aux dépens de l'archevêque Pierre auquel il finit par la rendre, lui-même père ou frère - d'Etienne Ier, baron de Graçay, fl. 1125 et 1145, un des fondateurs de l'abbaye de Loroy en 1125, et de l'abbaye d'Olivet en 1146 en expiation d'avoir brûlé St-Satur en 1144, mari d'Asceline de St-Palais[36] et père de - Renaud IV, baron de Graçay, qui épousa 1° Gaudrée et 2° Denise ;
- Le fils de Renaud IV et Gaudrée, - Pierre Ier († à la fin du XIIe siècle), prit pour femme Arembour, d'où un fils cadet nommé Geoffroy, et l'aîné, - Etienne II († vers 1220/1223), qui libère en 1204 le prix du vin dans sa baronnie et atténue en /1221 la rigueur du servage en abolissant le droit de mortaille ; de sa femme Marquise de Macé, Etienne II eut - Pierre II, baron de Graçay († ap. 1248), qui donna une charte de franchises à Graçay en et convola avec Luce/Luquette, d'où Guillaume de Graçay (le cadet, vicaire de l'église Notre-Dame de Graçay), et Etienne (III) (l'aîné, † vers 1248 prédécédé, i.e. † avant son père ; époux de Mahaut de Genouilly-La Maisonfort ; - Etienne IV, frère aîné d'un Hervé de Graçay, succéda donc directement à son grand-père Pierre II avant 1285, et, de sa femme Alix de Lisle épousée vers 1310, dame de La Ferté-Nabert, Vouzon et Lamotte-Beuvron, Cléry, vicomtesse de Blois à Lisle (fille d'Isabeau de La Ferté et Renaud de L'Isle), eut probablement :
- - Pierre III († ap. 1340), qui se maria deux fois, avec 1° Adel(a)ine de Lavardin de Savigny (elle teste en 1309), puis 2° Marguerite de St-Palais († vers 1326), et survécut à ses deux conjointes : d'où Renaud V (du 1°), et (du 2°) : Etienne ; Pierre, sire de Sauveterre, souche de la branche de La Maisonfort ; et autre Pierre, sire de l'Isle et de La Ferté-Nabert, marié à Isabeau de Sancerre, fille de Louis II, remariée veuve à Guichard Ier Dauphin de Jaligny ; - Renaud V († ap. 1355) enfanta - Renaud VI et Jeanne de Graçay († 1360 ; mariée sans postérité 1° en 1350 à André (III) de Chauvigny-Châteauroux de Levroux de St-Chartier († 1356) et 2° en 1357 à Arnaud de Cervole).
- Branche cadette de La Maisonfort : Pierre de Sauveterre et La Maisonfort, fils cadet de Pierre III, fl. 1395, épouse 1° Jacquette de La Châtre, puis 2° Perrenelle de Groux-Boust, d'où : (du 2°) Jean de Graçay (x Marguerite de Sully d'Ainay, d'où Jean et Pernelle de Graçay) ; et (du 1°) Jean Ier de La Maisonfort († vers 1422), père de Jean II (sa mère est Jeanne (de) Guisay, fille d'Hugues/Hugonin (de) Guisay et de ladite Pernelle de Groux-Boust qui était donc la belle-mère dans les deux sens du terme de Jean Ier ; la fratrie de Jean II comptait Pierre, Léonard, et Jeanne de Graçay, femme de Pierre de Bonnay) ; Jean II fut père d'Antoine (fl. 1468,1475), Jacques (x Jeanne de Roüy/de Rouhy de Menetou : d'où Olive de Graçay qui lègue en 1498 La Maisonfort à son parent Claude de La Châtre de Nançay, arrière-grand-père du maréchal Claude II), Marguerite (x Jean de Rouy) et Isabelle de Graçay (x Philippe Potin).
Renaud VI, évoqué ci-dessus, dernier baron prince de Graçay et dernier mâle de la branche aînée de sa Maison, vendit sa seigneurie au duc Jean de Berry les et contre 7 500 francs d'or et 300 francs de rente viagère[37], et ce dernier la céda au chapitre de la Ste-Chapelle de Bourges qu'il fonda en 1392 et que ledit chapitre prit en charge en 1405. En 1757, Louis XV transféra cette possession à la cathédrale de Bourges, ladite Ste-Chapelle disparaissant peu à peu physiquement entre 1693, 1756 et 1775.
Héraldique
Blason | D'azur au lion d'or. |
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Détails | Armoiries des anciens seigneurs de Graçay[38]. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de l'Office de Tourisme des Vallées Vertes à Graçay
- « Dossier complet : Commune de Graçay (18103) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Graçay », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Eppeville » sur Géoportail.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Graçay » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Graçay - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Graçay - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Cher » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Graçay », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Stéphane William Gondoin, « Richard Cœur de Lion : « Le diable est déchaîné » », Patrimoine normand, no 119, octobre-novembre-décembre 2021, p. 63 (ISSN 1271-6006).
- Olivier Zeller, « Changement agraire et récession démographique : la première enquête Orry (1730). L'exemple de l'élection d'Issoudun », Annales de démographie historique 2/2007 (n° 114), p. 168
- Olivier Zeller, op. cit., p. 170
- Zeller, op. cit., p. 145 et 153.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Phâlier », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Résultats officiels pour la commune Graçay
- « Cher (18) - Graçay », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- « Un gymnase en hommage à Henri Beaufol », Le Berry républicain, (lire en ligne, consulté le ) « C'était l'inauguration la plus émouvante, samedi. Celle du gymnase qui porte aujourd'hui le nom d'Henri Beaufol, qui fut maire de Graçay de 1988 à 1995 ».
- « Jean-Pierre Charles quitte ses fonctions de maire de Graçay : Jean-Pierre Charles a décidé de démissionner de ses fonctions de maire de la commune de Graçay. Il reste toutefois conseiller municipal, le temps qu’un nouveau maire soit élu », Le Berry républicain, (lire en ligne, consulté le ).
- Benoît Morin, « Le maire Jean-Pierre Charles se représente en mars à Graçay : Jean-Pierre Charles, à la tête de la commune depuis 1998, a annoncé qu'il se représentait en mars prochain dans le cadre des Municipales », Le Berry républicain, (lire en ligne, consulté le ).
- « Jean-Pierre Charles réélu à la mairie de Graçay : Le conseil municipal d’installation de Graçay a été organisé lundi soir. Le maire sortant, Jean-Pierre Charles a été réélu à son poste, et quatre adjoints ont été choisis », Le Berry républicain, (lire en ligne, consulté le ).
- Véronique Pétreau, « Sans regret, Jean-Pierre Charles voit disparaître sa communauté de communes des Vallées vertes », Le Berry républicain, (lire en ligne, consulté le ).
- « Après la démission de Jean-Pierre Charles, Michel Archambault est élu maire de Graçay : Le successeur de Jean-Pierre Charles, à la tête de la mairie de Graçay, Michel Archambault, et ses adjoints, ont été élus ce mardi soir, par douze voix sur quinze », Le Berry républicain, (lire en ligne, consulté le ) « L’ex-premier adjoint de 65 ans, élu depuis 2008 au sein de la majorité municipale, également vice-président de la communauté de communes Vierzon Sologne Berry ».
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 décembre 2016.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
- « Église Notre-Dame », notice no PA00096949, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église Saint-Martin de Graçay », notice no PA00096808, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Dolmen de la Pierre Levée », notice no PA00096807, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château de Coulon », notice no PA00132553, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Graçay et sa Maison, p. 639-648 », sur Histoire de Berry, par Gaspard Thaumas de La Thaumassière, à Bourges et chez Jacques Morel à Paris, 1689.
- Les Saint-Palais qu'on rencontre désormais, à partir d'Etienne († après mars 1227), semblent avoir une étroite parenté avec les Graçay : on rencontre chez eux les mêmes prénoms, Etienne, Renaud, Pierre... Il est tentant de voir en eux une branche cadette des Graçay, St-Palais ayant pu leur venir d'Asceline, la femme d'Etienne Ier de Graçay... Les St-Palais auront Vatan (par échange avec Philippe Auguste en 1220 contre des droits sur Issoudun ; Etienne de St-Palais était l'héritier des Issoudun pour un tiers : cf. Recherches sur la ville d'Issoudun, par Armand Pérémé, 1847, p. 116), et Buxeuil.
- « Graçay, p. 263-278, notamment p. 265-266 », sur Nouvelle Histoire du Berry, t. V, par Félix Pallet, à Bourges, 1785.
- Pallet, Félix, "Nouvelle histoire du Berry", 1785, p.28
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