Cristine Guinamand

Cristine Guinamand, née en 1974 à Yssingeaux (Haute-Loire), est une artiste française.

Cristine Guinamand
Naissance
Nationalité
Activité
Formation

Elle vit et travaille à Paris et en Auvergne.

Biographie artistique

La biographie artistique de Cristine Guinamand pourrait commencer en 2001, année où, après qu'un incendie a détruit son atelier et tout son travail des années antérieures, et l'a, également, sérieusement blessée, elle repart en quelque sorte de zéro[1]. Auparavant, après des études à l'école régionale des beaux-arts de Saint-Étienne, où elle a obtenu un diplôme national supérieur d’expression plastique ainsi qu'un diplôme national d’arts plastiques, elle a séjourné, en 1997, à l’école des beaux-arts de Porto, dans le cadre d'un échange Erasmus.

D'abord connue pour sa peinture, Cristine Guinamand a toujours travaillé toutes sortes de matériaux : elle pratique le dessin et, à l’occasion, la gravure, fait de la broderie, réalise des installations, des « reliquaires », des sculptures, voire des « machines »… Mais « ses recherches débordent le cadre technique et elle aime être libre d’aller et venir entre les matériaux[1] » : « La coupe et le débitage des surfaces sont pour [elle] un moyen de contrarier la virtuosité du geste et l’épanchement facile[2]. »

« C’est […] à la ferme que Cristine fit ses premières armes de peintre » écrit Louis Bernard[3]. Il poursuit : « […] à la ferme, les mains travaillent – la tête aussi ! On s’endurcit et s’assouplit à la fois, en passant d’une tâche à l’autre ; les doigts s’agitent, on affûte, "daille", "chapuse" […]. C’est peut-être de cette diversité que lui vint sa propension à enfreindre les règles contraignantes de la peinture, à transgresser les usages. Peut-être aussi de ces outils en rondes bosses que lui vint son goût pour les "Reliefs". Car Cristine ne se sent liée par aucune des contraintes de son art, ni par le support, ni par l’obligation de planéité, ni par la forme même des contours ou des châssis. »

Thématiques

Dans son œuvre, que ce soient des peintures, avec ou sans collages, des dessins, des sculptures ou des constructions diverses (série des « Théâtres » en 2012[4]), Cristine Guinamand ne cesse de mettre en scène « les thèmes de la vie et de la mort, et des actes qui s’y rattachent symboliquement : le sexe et ses pulsions, la défécation, le voyage…[1] » Cette imagerie mélange à la fois les figures classiques du fantastique — squelettes, apparitions, monstres divers, feux follets, pendus, revenants lubriques… — et des ébauches de paysages, le plus souvent déserts et menaçants — bord de l’eau, coins perdus de montagne ou de forêt, taillis d'arbres désolés. Ces lieux ne sont pas sans rapport avec ceux de son enfance dans la campagne de Haute-Loire, et plusieurs de ses œuvres y font plus ou moins explicitement référence (par exemple, À Échabrac[5], 2007).

Pour décrire ce travail et le lien entre la thématique des œuvres et la technique de l'artiste, Anne Malherbe écrit, dans sa présentation[6] de l’exposition « Sortilège » à la fondation d'art contemporain Salomon : « Cristine Guinamand déverse sur la toile, dans une peinture fluide, posée avec urgence, un univers obscur de sorciers et d’ombres infernales. Visions nocturnes dans lesquelles on devine l’homme, redevenu bête, accomplissant des actes primitifs. L’artiste délivre dans une secousse des obsessions qui sont le fond inavouable de l’humanité. »

Résidences

  • 2007 et 2003 : Urdla[7], édition de lithographies.

Commentaires

« On est face à ce qui semble être au premier abord […] de la peinture de chevalet raffinée (Gustave Moreau ?) ; mais en s'approchant, on se retrouve devant de l'expressionnisme presque abstrait, du Wols transfiguré. Le surréalisme et la peinture automatique ne sont pas loin, mais "aidés". C'est cette spontanéité formelle qui garantit la force et l'émotion de ces œuvres.
Dernier point : ces tableaux sont très beaux, et cela n'aurait aucun intérêt s'ils ne racontaient pas des horreurs. »

 Stéphane Pencréac'h, texte de présentation de « La mort qui tue »[8]

« Dans ses tableaux au lyrisme flamboyant, Cristine Guinamand arrache aux limbes des fragments épars, pour tenter de reconstituer cette harmonie. Ses images hallucinées deviennent exutoire universel, exprimé par des couleurs sensuelles et juteuses. »

 Gérard Gamand, « L'âme de ombres ! », Azart, n° 38, mai-juin 2009

« La violence est […] plus formelle chez Cristine Guinamand, Ronan Barrot et Youcef Korichi, qui composent tous trois des scènes indéterminées, non manifestes, dont on ne peut affirmer avec précision ce qui s'y passe en raison d'un brouillage de l'image par le travail pictural (adjonction d'objets qui attaquent le support chez Guinamand, […]). »

 Richard Leydier, « La belle peinture est derrière nous », artpress, n° 374, janvier 2011

« Labyrinthe est un mot qui revient souvent dans le vocabulaire de Cristine Guinamand. Il s’agit de labyrinthes de matières et de récits qui foisonnent dans l’univers de cette peintre […]. Car même si son univers est éloigné d’un Jackson Pollock, représentant encore des années plus tard l’exemple de l’artiste se jetant sur sa toile comme dans une arène, Cristine Guinamand s’attaque, avec ses outils, à l’huile. Elle l’empoigne, la découpe, la griffe, la gratte, la perce et y ajoute même des objets pour en accroître la tautologie. Ainsi dans son récit, la reproduction d’une porte est accentuée par l’ajout d’un encadrement, quand la matérialisation de la complexité de la pensée s’enrichit d’un puzzle collé sur la toile. »

 Marie Maertens, journaliste et critique d’art[9], 2012

« Dans l’univers de Guinamand, nous sommes loin de la condition paysanne de Millet. Son territoire, un socle rural peu complaisant s’organise, s’ouvre, se fissure. Subrepticement, un visage immobile nous regarde, frontal. La campagne dessine des silhouettes d’arbres morts, des ombres furtives, souvenirs évanescents, et l’agonie crépusculaire expulse des couleurs incandescentes, d’acides et de feux. […]
L’énergie, la foi dans l’œuvre de Cristine Guinamand forgent le caractère trempé d’une peintre des plus croquantes[10] du XXIe siècle. »

 Jean-Michel Marchais[11], 2014

Expositions

Expositions personnelles

  • 2019 : « Beauté et calamités », galerie municipale Julio-González, Arcueil ; catalogue préfacé par Paul Ardenne
  • 2017 : « Sous le Soleil exactement », Vitrine régionale d'art contemporain (VRAC)[12], Millau
  • 2016 : « ENFER et contre tous », galerie Henri Chartier hors les murs, Lyon
  • 2014 :
    • « Du ciel pendent des cordes »[13], galerie Linz, Paris
    • « Ce serait du moins quelque chose »[14], galerie Le Réalgard, Saint-Étienne
  • 2013 :
  • 2012 : « Heureux les fêlés car ils laisseront passer la lumière »[17], galerie Olivier Houg[18], Lyon
  • 2010 :
    • « Il fait rudement sombre », galerie Hambursin-Boisanté[19], Montpellier
    • « Démons et Merveilles », galerie Le Réalgar[20], Saint-Étienne
  • 2009 :
    • « Au ciel noir »[21], Trafic galerie, Paris
    • « Nous n'irons plus au bois », artroom O3, Thônes
    • « Mondes parallèles », centre culturel Valery-Larbaud, Vichy
  • 2007 : « La mort qui tue », Trafic galerie[22], Ivry-sur-Seine
  • 2003 : « Bourreaux & Co », galerie du Haut-Pavé, Paris

Expositions collectives

Exposition itinérante

Salons

  • 2013 : Drawing Now Paris, Le Salon du dessin contemporain, Édition 7, Carrousel du Louvre, galerie Houg, Lyon, et galerie ALFA, Paris
  • 2012 : Drawing Now Paris, Le Salon du dessin contemporain, Édition 6, Carrousel du Louvre, Olivier Houg Galerie, Lyon
  • 2010 : Salon du dessin contemporain, Carrousel du Louvre, galerie Françoise Besson[38], Lyon
  • 2008 : SLICK Paris
  • 2007 : 1er Salon du dessin contemporain, Paris ; SLICK Paris ; ST’ART Strasbourg avec la Trafic Galerie
  • 2006 : « H2O », 5e Salon d’art contemporain des jeunes créateurs de la ville de Vichy ; SLICK Paris ; ST’ART Strasbourg avec la Trafic Galerie
  • 2005 : Jeune création 2005, Paris
  • 2004 : « H2O », 4e Salon d’art contemporain des jeunes créateurs de la ville de Vichy
  • 2001 : Salon de Montrouge

Œuvres

Sélection issue des expositions personnelles[39]

  • La Fuite[40], hst[41], 150 × 80 cm
  • À Échabrac[40], hst, 92 × 72 cm
  • Pyrrha[40], hst, 162 × 97 cm
  • Le Passeur[40], hst, 130 × 89 cm
  • Le Fantôme[40], hst, 162 × 114 cm
  • Au bord de l'eau[40], hst, 130 × 97 cm
  • Cueilleur de pierres[40], hst, 162 × 97 cm
  • Ça chauffe ![40], hst, 70 × 50 cm
  • L'Ange bleu-vert[40], hst, 130 × 89 cm
  • La Camarde[40], hst, 70 × 50 cm
  • La Dompteuse de maléfices[42], hst, 130 × 89 cm
  • Coupable d'obscurité[42], hst, 195 × 130 cm
  • Amours vipériennes[42], hsp[43], 42 × 29,7 cm
  • Forêt année zéro[42], hsb[44], 41 × 33 cm
  • Visionnaire[42], hsp, 42 × 29,7 cm
  • Dans l'obscurité des caves[42], hsp, 42 × 29,7 cm
  • Les Possédés[42], hsp, 42 × 29,7 cm
  • Témoignage rapporté par l'homme invisible[42], hsp, 42 × 29,7 cm
  • La Légende contredite[42], hsp, 42 × 29,7 cm
  • Pétrification[42], hsp, 42 × 29,7 cm
  • La Prisonnière[42], hsp, 42 × 29,7 cm
  • La Sorcière[42], hsp, 42 × 29,7 cm
  • Le Sourcier[42], hsp, 42 × 29,7 cm
  • Après l'angélus[42], huile sur assiette, diam. 23 cm
  • Les braves gens ne courent pas les rues[42], hsp, 42 × 29,7 cm
  • Quel est donc ce serpent qui siffle dans ma tête[42], hst, 195 × 130 cm
  • Je m'en lave les mains[42], sculpture en savon, 7 × 7 × 8 cm

Séries

  • « Paysages éclatés », 2011
  • « Théâtres », 2012
  • « Intérieurs »[45], 2012-2013
  • « Hangars », 2012-2013

Éditions et publications

Notes et références

  1. (fr) Marie Frétigny, « Cristine Guinamand » sur portraits-lagalerie.fr, 27 juillet 2009.
  2. Marguerite Pilven, texte introductif de l'exposition « Heureux les fêlés car ils laisseront passer la lumière », janvier 2012, galerie Olivier Houg, Lyon.
  3. Texte de présentation de l'exposition « Sur la terre comme en enfer », Polignac, été 2013.
  4. Les « Théâtres » sur le site de la galerie Houg.
  5. Lieu-dit de la commune d'Yssingeaux.
  6. (fr) [PDF] dossier de presse, « Sortilège » sur flowersway.com, consulté le 3 octobre 2009.
  7. Site de l'Urdla.
  8. Stéphane Pencréac, Cristine Guinamand, La mort qui tue : [exposition, Ivry-sur-Seine, Trafic galerie, 17 novembre-23 décembre 2007], Ivry-sur-Seine, Trafic galerie, , 22 p. (ISBN 978-2-9524852-7-2 et 2-9524852-7-5)
  9. Connaissance des Arts, Arts Programme, artpress
  10. Croquants : nom donné aux paysans en révolte (sous Henri IV et Louis XIII).
  11. Texte repris sur le site de la galerie Henri Chartier à l'occasion de l'exposition « ENFER et contre tous » de 2016.
  12. Voir sur la-vrac.com.
  13. Voir sur le site de la galerie Linz.
  14. Planches accompagnant le livre de Lionel Bourg, publié aux éditions Le Réalgard.
  15. Site de la galerie ALFA.
  16. Site du centre Aponia.
  17. D'après un aphorisme d'Yvan Audouard.
  18. Site de la galerie Houg.
  19. Site de la galerie Hambursin-Boisanté.
  20. Site de la galerie Le Réalgar.
  21. D'après son poème en introduction du catalogue de l'exposition :
    « Au ciel noir, obscur prétendant, tu flambes immuablement.
    Au vin blanc, les succursales de ta boîte cranienne
    se consument en gibets, reliques et trophées.
    Hiératiques tremblements annonçant une route de cendre pour une forêt. […] »
  22. Site de Trafic galerie.
  23. Les Quinconces-L'Espal, « Cristine Guinamand - arts visuels », sur Les Quinconces-L'Espal (consulté le ).
  24. Expositions sur le site du centre d'art.
  25. Avec Frédéric Arditi, Anya Belyat-Giunta, Marion Bataillard, Edmond Baudoin, Tamina Beausoleil, Nicolas Bernière, Alison Bignon, Corine Borgnet, Anne Brenner, Michel Castaignet, Collectif Dessins Partagés, Julie Dalmon, Claudie Dadu, Odonchimeg Davaadorj, Ayako David Kawauchi, Gaël Davrinche, Léo Dorfner, Aurélie Dubois, Cornelia Eichhorn, Carole Forges, Madeleine Froment, Aphrodite Fur, Paul-Armand Gette, Camille Goujon, Orsten Groom, Cristine Guinamand, Josef Hofer, Cécile Hug, Cécilia Jauniau, Chloé Julien, Katia Kameneva, Marine Karbowski, Marcus Kreiss, Raphaëlle Lavaud-Bonnard, Cendres Lavy, Frédéric Léglise, Thomas Lévy-Lasne, Claire Loupiac, Eric Madeleine, Laurette Massant, Myriam Mechita, Marc Molk, Camille Moravia, Hélène Mougin, Emilie Moutsis, Maël Nozahic, Julie Navarro, Barbara Navi, Demetra L. Nikolopoulou, Simon Pasieka, Marilena Pelosi, Julie Perin, Eric Pougeau, Marianne Pradier, Vincent Prieur (dessins d’enfants), Jennifer May Reiland, Romuald&Pj, Florence Reymond, Elizabeth Saint-Jalmes, Karine Salmieri, Cheyenne Schiavone, Alice Sfintesco, Chloé Silbano, Alberto Sorbelli, Nathalie Tacheau, Olivier Turpin, Anne Van der Linden, Jojo Wang, Brankica Zilovic.
    Exposition de Vincent Corpet sur les dessins préparatoires de Sade–Corpet.
  26. Avec Dominique Albertelli, Charbel Samuel Aoun, Christophe Avella-Bagur, Jean-Luc Blanchet, Mathieu Boisadan, Jean-Luc Curabet, Nathalie Deshairs, Aurélie de Heinzelin, Hervé Ic, Manuel Léonardi, LiFang, Barbara Navi, Lyzane Potvin, Anne-Claire Schmit, Lise Stoufflet.
  27. Avec Marie-Paule Bargès, Tamina Beausoleil, Nicolas Bernière, Alison Bignon, Gwenael Billaud, Laurent Bouckenooghe, Anne Brenner, Michel Castaignet, Odonchimeg Davaadorj, Joël David, Ayako David Kawauchi, Léo Dorfner, Aurélie Dubois, Vanessa Fanuele, Margotte Garnier, Camille Goujon, Cécilia Jauniau, Chloé Julien, Marine Karbowski, Cendres Lavy, Frédéric Léglise, Thomas Lévy-Lasne, Eric Madeleine, Marc Molk, Camille Moravia, Hélène Mougin, Julie Navarro, Dominique Pallier, Olivier Passieux, Julie Perin, Nazanin Pouyandeh, Romuald&Pj, Christiane Raich, Florence Reymond, Fred Sallaz, Alice Sfintesco, Chloé Silbano, Nathalie Tacheau, Olivier Turpin, Rada Tzankova, Peggy Viallat Langlois, Jojo Wang.
  28. Group DRAWING show avec : Thomas Bouquet, Paul Brainard, Michael Broughton, Juliano Caldeira, Olivier Daquin, Hedwig Eberle, Carola Ernst, Dawn Frasch, Habima Fuchs, Louis Charles Fumery, Cristine Guinamand, JM Hannecart, Blaise Hanquet, Matthias Hesselbacher, Karine Hoffman, Marcel Hüppauff, Stefan Kaminski, Ian Larson, Frédéric Léglise, Myriam Mechita, Orlando Mostyn Owen, Maldo Nollimerg, Pascal Pillard, Humberto Poblete-Bustamante, Abel Pradalié, Eva Räder, Raphaëlle Ricol, Lionel Sabatté, Gwenaël Salaün, Davor Vrankic, Alexis Vzo, Jojo Wang, Gérard Zingg.
  29. Site de la galerie PPC.
  30. Avec Gérard Alary, Dominique Albertelli, Anastas, Lydie Arickx, Francis-Olivier Brunet, Manuel Chauveheid, Fabien Claude, Marc Felten, Zlatko Glamotchak, Jacques Harbelot, Karin, Marcel Katuchevsky, Richard Laillier, Michel Madore, Arié Mandelbaum, Antonio Maro, Henri Morez, Paul de Pignol, Vera Pouw, Jean Rustin, Serge Saunière, Sam Szafran, Béatrice Tabah, Isabelle Vialle.
  31. Site de la galerie Schwab-Beaubourg.
  32. Présentation de l'exposition sur le site de la Commanderie.
  33. Avec Véronique Bourgoin, Abey Charron, Olivier Daquin, Carola Ernst, Vanessa Fanuele, Cristine Guinamand, Julie Lorinet, Blaise Hanquet, Ian Larson, Humberto Poblete-Bustamante, Raphaëlle Ricol et Gwenaël Salaün.
  34. Avec Jérôme Zonder, Vincent Bizien, Régis Gonzalez.
  35. Avec Vanessa Fanuele, Klara Kristalova, Myriam Mihindou, Wangechi Mutu et Stéphane Pencréac'h.
  36. Avec notamment : Ronan Barrot, Julien Beneyton, Romain Bernini, Katia Bourdarel, Alkis Boutlis, Damien Cadio, Nicolas Darrot, Damien Deroubaix, Gregory Forstner, Cristine Guinamand, Youcef Korichi, Kosta Kulundzic, Nicolas P. Ledoux, Élodie Lesourd, Iris Levasseur, Marlène Mocquet, Audrey Nervi, Maël Nozahic, Florence Obrecht, Axel Pahlavi, Raphaëlle Ricol, Lionel Sabatté, Ida Tursic & Wilfried Mille, Jérôme Zonder.
  37. Présentation de l'exposition sur le site du Lieu unique.
  38. Site de la galerie Françoise Besson
  39. Trafic Galerie, 2007 et 2009 ; galerie Houg, 2012 ; galerie ALFA, 2013.
  40. Catalogue d'exposition, 2007 (ISBN 2-9524852-7-5)
  41. Huile sur toile.
  42. Catalogue d'exposition, 2009 (ISBN 978-2-918058-04-5)
  43. Huile sur papier marouflé sur toile.
  44. Huile sur bois.
  45. Série inspirée par la gravure d'Otto Dix Le Suicidé (pendu), 1922.
  46. Voir sur abbaye-auberive.com.

Voir aussi

Bibliographie

  • La mort qui tue, Ivry-sur-Seine, Trafic Galerie, , 22 p. (ISBN 978-2-9524852-7-2 et 2-9524852-7-5)
    Préface : « La sorcière est bleue et belle », texte de Stéphane Pencréac'h
  • Anne Malherbe, Sortilège : Vanessa Fanuele, Cristine Guinamand, Klara Kristalova, Myriam Mihindou, Wangechi Mutu, Stéphane Pencréac'h, Château d'Arenthon, Alex, Fondation pour l'art contemporain Claudine et Jean-Marc Salomon, , 86 p. (ISBN 978-2-914620-14-7, OCLC 429021011)
    Catalogue de l'exposition collective
  • Au ciel noir, Paris, Trafic Galerie, , 32 p. (ISBN 978-2-918058-04-5)
  • Collectif (Aude Lamorelle, Claudine Grammont, Christian Noorbergen, Bruno Chenique, Kheira Mébrak), Inconscients ! Les artistes et la psychanalyse, Paris, galerie ALFA, , 176 p.
    Livre édité à l'occasion de l'exposition collective
  • Athénaïs Rézette, Peinture contemporaine. Essai sur la peinture actuelle, suivi de seize textes critiques, Virton, éditions du Comble, , 160 p. (ISBN 978-2-9601895-0-6)

Presse

  • artpress, no 325, juillet-août 2006
  • Azart, hors-série no 10, novembre 2007
  • Artension no 38, novembre-décembre 2007
  • Azart, no 38, mai-juin 2009
  • artpress, no 356, mai 2009
  • Le Monde, 4 avril 2009
  • Artension no 119, mai-juin 2013

Liens externes

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