Cruzy

Cruzy [kʁy.zi] (en occitan Crusi ['kry.zi]) est une commune française située dans le sud-ouest du département de l'Hérault, en région Occitanie.

Cruzy

Mairie de Cruzy.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté de communes Sud-Hérault
Maire
Mandat
Rémy Affre
2020-2026
Code postal 34310
Code commune 34092
Démographie
Gentilé Cruzyates
Population
municipale
967 hab. (2019 )
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 21′ 24″ nord, 2° 56′ 29″ est
Altitude 92 m
Min. 21 m
Max. 263 m
Superficie 25,85 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Pons-de-Thomières
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Cruzy
Géolocalisation sur la carte : France
Cruzy
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Cruzy
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Cruzy

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le canal du Midi, la rivière de Quarante, le ruisseau de la Nazoure et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (le « Minervois ») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Cruzy est une commune rurale qui compte 967 habitants en 2019. Ses habitants sont appelés les Cruzyats ou Cruzyates.

    Géographie

    Localisation

    Carte

    La commune est limitrophe du département de l'Aude.

    Cruzy se caractérise par sa position au cœur de plusieurs vallons, entouré de collines boisées et de vignes, et traversé par la rivière Nazoure.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[2].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 12,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 718 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villespassans », sur la commune de Villespassans, mise en service en 1980[7]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,4 °C et la hauteur de précipitations de 729,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, dans le département de l'Aude, mise en service en 1948 et à 50 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 14,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[13].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : retenu pour la conservation de rapaces de l'annexe I de la directive oiseaux, en particulier l'Aigle de Bonelli et l'Aigle royal. Mais le Busard cendré, le Circaète Jean-le-Blanc et le Grand-Duc sont également des espèces à enjeu pour ce territoire[15], d'une superficie de 24 820 ha, retenu pour la conservation de rapaces de l'annexe I de la directive oiseaux, en particulier l'Aigle de Bonelli et l'Aigle royal. Mais le Busard cendré, le Circaète Jean-le-Blanc et le Grand-Duc sont également des espèces à enjeu pour ce territoire[16].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[17] :

    • le « bois de Sériège » (95 ha), couvrant 2 communes du département[18] ;
    • les « gorges d'Aymes et de la Cesse » (820 ha), couvrant 5 communes dont une dans l'Aude et quatre dans l'Hérault[19],
    • la « plaine agricole d'Ouveillan » (1 902 ha), couvrant 7 communes dont quatre dans l'Aude et trois dans l'Hérault[20] ;

    et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[17] :

    • le « Haut Minervois » (21 605 ha), couvrant 26 communes dont cinq dans l'Aude et 21 dans l'Hérault[21] ;
    • les « Vignes du Minervois » (9 972 ha), couvrant 13 communes du département[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Cruzy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[23],[I 1],[24]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (66,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (59 %), forêts (27,3 %), zones agricoles hétérogènes (7,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,3 %), zones urbanisées (2,1 %), prairies (0,6 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Politique et administration

    Maires de Cruzy à partir de 1989.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1989 mars 1995 André Espinasse    
    mars 1995 mars 2001 Charles Bruel    
    mars 2001 septembre 2002 Georges Pons PS  
    septembre 2002 mars 2008 Gilles Rouyrenc PS  
    mars 2008 2020 Hedwige Sola DVG  
    2020 En cours Rémy Affre    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

    En 2019, la commune comptait 967 habitants[Note 8], en diminution de 2,81 % par rapport à 2013 (Hérault : +7,63 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8058728579159921 1001 0601 1021 108
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0881 1731 3521 3581 5901 6891 5391 6161 688
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7141 6471 5841 5651 5121 5181 4251 2001 162
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 1581 059905844801830920944957
    2014 2019 - - - - - - -
    1 001967-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Les habitants du village sont des cruzyates.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Carte postale de la mairie (fin XIX - début XX)
      L'église Sainte-Eulalie de Cruzy, dédiée à sainte Eulalie. Église fortifiée de style roman puis gothique, avec de nombreux agrandissements du Xe siècle au XIVe siècle. Classée monument historique en 1913[30]. On peut accéder au clocher qui culmine à 45 mètres par un escalier de près de 100 marches. À l'intérieur, on peut voir une superbe Vierge à l'Enfant du XIVe siècle.
    • La chapelle de Sainte-Foy de Cruzy, peut-être d'origine wisigothique. Il ne reste actuellement pas grand chose de cet édifice situé à deux kilomètres à l'ouest du village car la nef a été détruite. On y accède par une petite route goudronnée menant à Villespassans qui emprunte deux défilés creusés par la rivière Nazoure[31] (défilé de Sainte-Foy, puis plus loin défilé de Marie-Close).
    • Le musée de l'ACAP[32] (Association Culturelle Archéologique et Paléontologique), situé 6 rue de la Poste (entrée gratuite). Ce petit musée contient de nombreux vestiges retrouvés depuis plus de 30 ans sur le territoire de la commune ou de la proche région par les membres de l'ACAP[32] (Cruzy - Creissan - Montouliers - Villespassans). On peut y voir notamment des œufs de dinosaures fossiles, des ossements de dinosaures, des poteries romaines, mais également quatre magnifiques bannières (classées aux Monuments Historiques) réalisées lors des manifestations vigneronnes de 1907. Il existe de nombreux lieux de fouilles sur le territoire de la commune (des ossements de batraciens et de petits reptiles ont été récemment découverts)[réf. nécessaire].
    Château de Sériège en 2007
    • Le château de Sériège, daté du XIXe siècle, ce "château vigneron" construit par la famille d'Andoque de Sériège (qui possédait plusieurs domaines viticoles dans la région), est un bel exemple de folies construites pendant l'âge d'or de la viticulture dans le Biterrois. Il ne fut cependant jamais achevé ni habité.
    • Le canal du Midi, l'œuvre de Pierre-Paul Riquet traverse la commune au hameau de la Croisade. La D36 enjambe le canal par un magnifique pont de la fin du XVIIIe siècle.
    • L'ancien moulin de Sainte-Eulalie, sur la rivière Nazoure, il existait à proximité un établissement d'embouteillage d'eau minérale.
    • Le vieux puits, place de l'Église.

    Héraldique

    Blason
    Écartelé : au 1er de gueules plain, aux 2e et 3e d'azur au lion d'or armé, lampassé et couronné de gueules et au chef cousu du même chargé de trois étoiles d'or, au 4e d'argent à la croix de gueules.
    Détails
    Adopté en 1998.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Villespassans - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Cruzy et Villespassans », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Villespassans - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Cruzy et Carcassonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    15. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Cruzy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « site Natura 2000 FR9112003 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Cruzy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF le « bois de Sériège » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « ZNIEFF les « gorges d'Aymes et de la Cesse » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF la « plaine agricole d'Ouveillan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF le « Haut Minervois » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF les « Vignes du Minervois » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    30. « Eglise Sainte-Eulalie », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    31. Routeyou, Autour de Ruisseau de la Nazoure à vélo
    32. Site officiel de l'A.C.A.P
    • Buffetaut É. & Le Loeuff J., Tong H., Duffaud S. …, 1999. Un nouveau gisement de vertébrés du Crétacé supérieur à Cruzy (Hérault, Sud de la France). Comptes Rendus de l' … Elsevier.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Antoine Auge, Abrégé de l'histoire de Cruzy, Cruzy, Association culturelle et archéologique cruzyate, , 215 p.
    • Marius Cathala, « Excursion du 10 mai 1903 à Montouliers, Cruzy, Quarante », Bulletin de la Société d'études scientifiques de L'Aude, t. XV, , p. 16-51
    • Jean-Louis Escudier, Lutte des classes dans les vignes : ouvriers et propriétaires à Cruzy de 1900 à 1914, Béziers, Association culturelle, archéologique et paléontologique de l'ouest biterrois, , 75 p.
    • Mission Archives 34, Archives communales de Cruzy : répertoire numérique détaillé, Montpellier, Mission Archives 34, , 96 p.
    • Annie Montecinos, « Le site néolithique final de la Gare à Cruzy (Hérault) dans son contexte chronoculturel : l'apport du mobilier céramique », Bulletin de la Société préhistorique française, t. 101, no 1, , p. 91-104
    • Jean-Michel Sauget et Josiane Pagnon, Cruzy, entre vignes et canal, Montpellier, Conseil régional du Languedoc-Roussillon, , 106 p.
    • Jean-Louis Vayssettes, « Notes sur un village de potiers : Cruzy », Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, no 4, , p. 153-157 (lire en ligne)

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Lien externe

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