Dompierre-sur-Yon

Dompierre-sur-Yon est une commune française, du département de la Vendée dans la région Pays de la Loire.

Pour les articles homonymes, voir Dompierre.

Dompierre-sur-Yon

Le lac de Rortheau.
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement La Roche-sur-Yon
Intercommunalité La Roche-sur-Yon-Agglomération
Maire
Mandat
François Gilet (DVC)
2020-2026
Code postal 85170
Code commune 85081
Démographie
Gentilé Dompierrois
Population
municipale
4 344 hab. (2019 )
Densité 128 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 44′ 14″ nord, 1° 23′ 07″ ouest
Altitude 81 m
Min. 56 m
Max. 94 m
Superficie 33,93 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Dompierre-sur-Yon
(ville isolée)
Aire d'attraction La Roche-sur-Yon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Roche-sur-Yon-1
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Dompierre-sur-Yon
Géolocalisation sur la carte : France
Dompierre-sur-Yon
Géolocalisation sur la carte : Vendée
Dompierre-sur-Yon
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Dompierre-sur-Yon
Liens
Site web Site officiel

    Ses habitants sont appelés les Dompierrois.

    Géographie

    Dompierre-sur-Yon se situe au cœur du bocage vendéen, dans la vallée de l'Yon, affluent du Lay. La ville est située à 8,5 km au nord de La Roche-sur-Yon et à environ 60 km au sud de Nantes. La ville est composée d'un centre-bourg et de nombreux hameaux éparpillés sur les 3 360 ha de la commune.

    Le territoire municipal de Dompierre-sur-Yon s’étend sur 3 393 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 81 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 56 et 94 mètres[1],[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Dompierre-sur-Yon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dompierre-sur-Yon, une unité urbaine monocommunale[6] de 4 244 habitants en 2017, constituant une ville isolée[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Roche-sur-Yon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,9 %), zones agricoles hétérogènes (35 %), prairies (13,1 %), zones urbanisées (6,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %), forêts (1,3 %), eaux continentales[Note 3] (0,2 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Toponymie

    En poitevin, la commune est appelée Dunpiére[13]. De même origine que Dampierre, le toponyme Dompierre vient de "domnus Petrus" c'est-à-dire "saint Pierre", domnus étant la contraction de dominus (seigneur), employé pour "saint" de l'époque mérovingienne jusqu'au Xe siècle[14].

    Histoire

    Des traces de présence néolithique puis celte attestent des premières occupations sur le territoire de la commune. Un cimetière d'urnes a été découvert et fouillé à la Créancière au XIXe siècle[15]. Datant de l'époque romaine (IIe siècle), il prouve la présence d'une communauté à cette époque au sud du futur territoire communal qui restera longtemps sa partie la plus peuplée, comme le montre la forte densité de lieux-dits anciens le long de l'Yon et de ses affluents[16]. Entre le XIè et le XIIIè siècle, une famille "de Dampierre" (écrit aussi "de Dompierre") est attestée par trois actes de donation. Son premier membre connu, Guillaume de Dampierre, vivait vers 1050, ce qui prouve l'existence de Dompierre à cette date. Sur une donation datant d'environ 1230, Jean de Dampierre est qualifié de seigneur de Dampierre près la Roche-sur-Yon. Après la fille de ce dernier, cette famille comme sa seigneurie disparaissent des sources historiques[17]. L'église de Dompierre est cité pour la première fois en 1179 (Ecclesiam Dampetri)[18]. Elle appartient alors à l'abbaye Saint-Jouin-de-Marne (Deux-Sèvres), l'un des plus anciens monastères de France. Un prieuré dessert cette église ; il reste aujourd'hui de ce prieuré un bâtiment daté de 1628[19]. Au XIVè siècle, le territoire de Dompierre apparaît inclus pour l'essentiel dans les seigneuries de la Jarrie (Saligny), de la Ralière (la Merlatière) et de la Merlatière. Les trois seigneuries appartenant au même seigneur (famille de Rezay) et étant vassales indirectes, puis directes après 1503, du même suzerain, le vicomte de Thouars, elles sont réunies en 1504 en une seule châtellenie dont le notaire est installé à Dompierre[20]. Une grande partie du nord de l'actuelle commune semble faire partie d'une vaste forêt dont il ne reste aujourd'hui, à Dompierre, que le bois des Gâts[21]. C'est la présence de cette forêt qui explique l'installation de maîtres verriers à Rortheau (famille Bertrand, puis famille de Rossy) entre le XVe et XVIIIe siècles[22]. A partir du XVIè siècle, les principaux seigneurs résidant à Dompierre sont ceux des Gâts (famille de La Haye-Montbault, puis famille de Guerry de Beauregard)[17]. Pendant la guerre de Vendée (1793-1796), Dompierre est en plein pays insurgé. À partir de juin 1794, elle se trouve de facto sous l'autorité du chef vendéen Charette qui a installé son quartier général à Belleville-sur-Vie[23]. Le bois des Gâts servait parfois de refuge et de lieu de cache des munitions pour les royalistes, particulièrement à partir de novembre 1795 et durant l'hiver 1796 lorsque les troupes du général Travot pourchassaient celles de Charette[23]. Durant la deuxième moitié du XIXè siècle, le bourg de Dompierre se transforme : les propriétaires reconstruisent de nombreuses maisons de ce qui est aujourd'hui la partie ancienne du bourg et une nouvelle église est construite[21] en 1879-1881 dans un style éclectique médiéval associant des éléments néo-roman pour l'extérieur à des éléments néo-gothique pour la voûte intérieure. L'ancienne église est détruite en 1887[24] ; son emplacement est aujourd'hui indiqué par un marquage au sol sur la place du Prieuré. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le bois des Gâts est le lieu de rassemblement du Maquis R1 qui réceptionnera des armes parachutées par les Alliés durant l'été 1944 afin de soutenir le combat de la Résistance vendéenne[25]. Le village se développe doucement jusqu'au XXe siècle (1324 habitants en 1962). La fin du XXe siècle et le début du siècle actuel sont marqués par une croissance du nombre d'habitants du fait de sa proximité avec La Roche-sur-Yon et de la construction de nouveaux lotissements au centre-bourg[26].

    Dompierre de France

    Dompierre fait partie de l'Association des Dompierre-de-France regroupant 23 communes françaises dont le nom comporte Dompierre. Chaque année, une commune différente accueille la fête. Dompierre-sur-Yon a déjà accueilli ses cousins Dompierrois et Dompierrais en 1996 et 2006[27]. En 2013, la fête nationale a eu lieu le 1er week-end de juillet à Dompierre-les-Ormes en Saône-et-Loire.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Aimé Rocheteau    
    [28]
    (démission)
    Gérard Hermouet SE Agriculteur
    Réélu en 1977, 1983, 1989 et 1995[29]
    [30] Dominique François DVD Professeure d'anglais
    Réélue en 2001[31]
    [32] juillet 2020 Philippe Gaboriau PS Cadre dirigeant territorial
    Réélu en 2014[33]
    juillet 2020 en cours François Gilet DVC Cadre territorial
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

    En 2019, la commune comptait 4 344 habitants[Note 4], en augmentation de 4,83 % par rapport à 2013 (Vendée : +4,57 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    1 0065149931 0201 0891 2271 4101 3801 366
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 4111 5321 5001 5931 6101 7141 6861 6691 701
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 6961 6371 4171 4341 4441 4161 3301 3521 354
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
    1 3391 5472 3582 9753 1913 5283 7584 0664 227
    2019 - - - - - - - -
    4 344--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,5 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 2 164 hommes pour 2 130 femmes, soit un taux de 50,40 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,84 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1 
    90 ou +
    0,7 
    4,3 
    75-89 ans
    4,6 
    17,2 
    60-74 ans
    18,2 
    23,2 
    45-59 ans
    23,3 
    19,0 
    30-44 ans
    20,0 
    15,0 
    15-29 ans
    13,2 
    21,2 
    0-14 ans
    20,0 
    Pyramide des âges du département de la Vendée en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ou +
    2,1 
    8,4 
    75-89 ans
    11 
    19,5 
    60-74 ans
    20,4 
    20 
    45-59 ans
    19,4 
    18 
    30-44 ans
    17,1 
    14,9 
    15-29 ans
    13,2 
    18,5 
    0-14 ans
    16,8 

    Lieux et monuments

    • Domaine de la Haute-Braconnière : maison-tour et communs construits vers 1602 par Jean Régnon, un cadet d'une famille noble des Clouzeaux converti au protestantisme. Inscription aux monuments historiques en 2010.
    • Proximité au sud de la commune (au hameau de la Berthelière) du barrage du moulin Papon sur l'Yon.
    • Etangs de Malvoisine, une promenade agréable qui serpente au nord de la commune.
    • La stèle du maquis R1 au bois des Gâts, lieu de la Résistance intérieure française lors de la Seconde Guerre mondiale en 1944.
    • Pont de Pierre-Plate : formé de trois grands blocs monolithes plats et allongés, d'origine inconnue.
    • Château de Rortheau (1844).
    • Église Saint-Pierre (1881).
    • Chapelle de Margerie (1844) : lieu de culte marial (chapelle et source).
    • Logis de l'Eraudière (XVè-XVIè s.) et de Beaumanoir (XVIIè s.).

    Personnalité liée à la commune

    Jumelages

    Événements

    • Tournoi annuel national de football féminin le week-end de Pentecôte.
    • Rassemblement des Dompierre de France chaque année dans une ville ou village différent.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Commune 22265 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
    2. « Dompierre-sur-Yon », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Dompierre-sur-Yon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de La Roche-sur-Yon », sur insee.fr (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Jean-Loïc Le Quellec, Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée, La Crèche, Geste Éditions, coll. « Geste Poche » (no 14), , 3e éd. (1re éd. 1995), 443 p. (ISBN 2-84561-263-X), p. 126.
    14. Jean-Loïc Le Quellec op. cit.
    15. Leroy de la Brière, Note sur les objets gallo-romains découverts en Vendée depuis la création du Musée départemental, Annuaire de la Société d'émulation de la Vendée de 1855, 1856
    16. Carte de Cassini levée en 1766-68. Mise en ligne sur le site de l'Institut Géographique National www.ign.fr
    17. Henri et Paul Beauchet-Filleau, Dictionnaire historique et généalogique des familles du Poitou, Tome troisième, Poitiers, Société française d'imprimerie et de librairie, 1905 (seconde édition)
    18. Bulle du pape Alexandre III du 17 mai 1179 confirmant les possessions de l'abbaye de Saint-Jouin-de-Marne. Texte intégral en latin mise en ligne sur www.pierre-abelard.com
    19. Site de la commune de Dompierre-sur-Yon www.dompierre-sur-yon.fr
    20. François Emmanuel, « Linières et Saint-André-Goule-d'Oie, article "Les seigneurs de la Roche de Chauché" », sur www.linieres-saint-andre.com,
    21. abbé Aillery, Les Essarts, Saint-Fulgent et leurs environs, Paris, Res Universis, 1992 (réédition des "chroniques paroissiales" parues en 1892) (ISBN 2-87760-826-3)
    22. Une activité verrière au Poiré et dans ses alentours, in www.montaiguvendee.fr (article issu de recherches personnelles de l'auteur, non nommé, et d'une exposition de l'Historial des Lucs-sur-Boulogne)
    23. Lionel Dumarcet, François Athanase Charette de La Contrie, Une histoire véritable, Paris, Éditions Les 3 Orangers, (ISBN 2-912883-00-8)
    24. « Délibérations du Conseil municipal de Dompierre AC 81 4 - 1884-1888 (page 36) », sur www.archives.vendee.fr
    25. « Le Maquis R1 », sur www.dompierre-sur-yon.fr (site officiel de la commune), mis à jour le 9 juillet 2021
    26. histoire
    27. Site des Dompierre de France
    28. « Dompierre : le conseil démissionne », Ouest-France,
      « Gérard Hermouet, maire de Dompierre-sur-Yon depuis 1971, a démissionné lundi. ».
    29. « Les élections de maires », Ouest-France,
      « Dompierre-sur-Yon : Gérard Hermouet, 61 ans, retraité, est réélu pour un cinquième mandat de maire. ».
    30. « Une femme succède à Gérard Hermouet, démissionnaire », Ouest-France,
      « Dominique François a été élue, hier soir, au poste de nouveau maire de Dompierre-sur-Yon, au premier tour, avec 22 voix sur 23. ».
    31. « Les élections de maires », Ouest-France,
      « Dominique François, 49 ans, professeur, est réélue, par 22 voix sur 23 et au premier tour de scrutin, maire de Dompierre-sur-Yon. Dominique François est maire depuis 1996, date à laquelle elle avait succédé à Gérard Hermouet, démissionnaire. ».
    32. « Philippe Gaboriau : "Je serai le maire de tous les Dompierrois" », Ouest-France,
      « Philippe Gaboriau est élu par 21 voix (Dominique François, 6 voix). ».
    33. [PDF] Site officiel de la préfecture de la Vendée - Liste des maires
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Dompierre-sur-Yon (85081) », (consulté le ).
    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
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