Doulezon
Doulezon est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Doulezon | |||||
La mairie (juillet 2014). | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Libourne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Castillon-Pujols | ||||
Maire Mandat |
Christian Bourdier 2020-2026 |
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Code postal | 33350 | ||||
Code commune | 33153 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Doulezonnais | ||||
Population municipale |
266 hab. (2019 ) | ||||
Densité | 36 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 47′ 35″ nord, 0° 00′ 15″ ouest | ||||
Altitude | Min. 26 m Max. 112 m |
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Superficie | 7,36 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton des Coteaux de Dordogne | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Située à environ 5 km à vol d'oiseau au sud (rive gauche) de la Dordogne, entre Pujols et Pessac-sur-Dordogne, la commune de Doulezon se trouve à 52 km à l'est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 22,8 km au sud-est de Libourne, chef-lieu d'arrondissement, et à 3,5 km au sud-est de Pujols, chef-lieu de canton[1].
Communes limitrophes
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Les communes limitrophes en sont Mouliets-et-Villemartin au nord sur un peu plus de 500 mètres, Sainte-Radegonde au nord-est, Pellegrue à l'est, en quadripoint (point de la surface de la Terre qui touche quatre régions distinctes), Saint-Antoine-du-Queyret au sud-est, Ruch au sud-ouest et Pujols à l'ouest.
Le quadripoint où se rejoignent les communes de Doulezon, Sainte-Radegonde, Saint-Antoine-du-Queyret et Pellegrue se trouve au cœur d'une forêt.
Voies de communication et transports
La principale voie de communication routière est la route départementale D 18 qui passe à environ 500 mètres au nord du village et qui conduit vers l'ouest-nord-ouest à Pujols et au-delà, plus au nord, à Castillon-la-Bataille et vers le ouest-nord-ouest à Gensac et, plus au nord, à Pessac-sur-Dordogne ; le village est traversé par la route départementale D 21 qui mène à cette D 18 vers le nord et vers le sud à Saint-Antoine-du-Queyret.
L'accès, par la route, à la rive gauche de la Dordogne (département de la Dordogne) peut se faire soit au pont de Castillon-la-Bataille sur la route départementale D 17 distant de 8,5 km vers le nord-ouest, soit à celui de Pessac-sur-Dordogne sur la route départementale D 16 distant de 10 km vers le nord-est.
L'accès à l'autoroute A89 (Bordeaux-Lyon) le plus proche est celui de l'échangeur autoroutier avec la route nationale 89 qui se situe à 28 km vers le nord-ouest, tandis que l'accès no 11, dit de Coutras, est distant de 31 km vers le nord et l'accès no 12, dit de Montpon, est distant de 32 km vers le nord-est.
L'accès à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est le no 4, dit de La Réole, distant de 36 km par la route vers le sud.
La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 10 km vers le nord-nord-ouest, de Castillon-la-Bataille, sur la ligne Libourne - Sarlat du TER Nouvelle-Aquitaine.
Hydrographie
Les cours d'eau notables arrosant le territoire communal sont, d'une part, au sud, l'Escouach, né dans la commune voisine de Saint-Antoine-du-Queyret, qui fait office de limite entre les communes de Doulezon et de Ruch, puis continue vers l'ouest vers Pujols, Saint-Pey-de-Castets et Civrac-sur-Dordogne où il se jette dans la Dordogne et d'autre part, au nord, son affluent, le Romédol qui naît en limite des communes de Doulezon et de Sainte-Radegonde, fait office de limite entre ces deux communes, traverse la pointe nord du territoire communal et continue vers l'ouest, entre Pujols et Mouliets-et-Villemartin, jusqu'à rejoindre l'Escouach sur la commune de Saint-Pey-de-Castets.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sauveterre-de-Guyenne », sur la commune de Sauveterre-de-Guyenne, mise en service en 1978[10] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 809,1 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, dans le département de la Dordogne, mise en service en 1988 et à 39 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[14], à 13,1 °C pour 1981-2010[15], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Doulezon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (70,5 %), prairies (13 %), forêts (10,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,3 %), terres arables (2 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom de la commune de Doulezon provient sans doute du nom d’une villa gallo-romaine, la villa Dolatius, propriété de Dolus, ou peut-être du celtique dol qui signifie « eau »[23].
Le nom de la commune est Doleson en gascon.
Histoire
Le site de Doulezon se révèle être, depuis toujours, non seulement propice à la culture puisque situé dans le bassin formé par l'Escouach et son affluent, le Romédol, mais encore un lieu d’habitation aisé à défendre. C'est durant la période gallo-romaine que le coteau se couvre de vignes et que la viticulture devient la principale activité du village qui va se développer rapidement.
De cette époque, Doulezon conserve une importante villa gallo-romaine qui s’étend sur près de trois hectares. Elle est mise au jour en 1972. Un hypocauste (chauffage par le sol), aujourd'hui recouvert, y est dégagé, attestant la présence de thermes[23].
Au Moyen Âge (VIe-XIIe siècles), Doulezon se dote d’une église dépendant de la grande abbaye de La Sauve-Majeure et la paroisse s’agrandissant peu à peu, elle devient un prieuré au XVe siècle[23].
À la Révolution, la paroisse Notre-Dame de Doulezon forme la commune de Doulezon[24].
Politique et administration
Liste des maires
Jumelages
Aucun jumelage n'a existé, n'existe ou n'est prévu pour la commune.
Population et société
Démographie
Les habitants sont appelés les Doulezonnais[25].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].
En 2019, la commune comptait 266 habitants[Note 6], en augmentation de 2,7 % par rapport à 2013 (Gironde : +7,85 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Enseignement
La commune, dépendant de l'académie de Bordeaux, héberge un seul établissement scolaire, une école maternelle qui accueille 24 élèves (année scolaire 2014-2015)[30].
Le collège auquel la commune est rattachée est le collège Aliènor-d'Aquitaine de Castillon-la-Bataille[31].
Le lycée auquel la commune est rattachée est le lycée Élysée-Reclus de Sainte-Foy-la-Grande[32].
Économie
L'activité principale des entreprises et des salariés de la commune relève du secteur primaire et essentiellement de l'agriculture, de la sylviculture et de la pêche.
Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2011[33] | Postes salariés par secteur d'activité au 31 décembre 2011[33] | |||||||||
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Secteur d'activité | Nbre d'entreprises | Pourcentage | 0 salarié | 1 à 9 salarié(s) | 10 à 19 salariés | Nbre salariés | Pourcentage | 1 à 9 salarié(s) | 10 à 19 salariés | |
Agriculture, sylviculture et pêche | 17 | 54,8 | 12 | 4 | 1 | 19 | 70,4 | 9 | 10 | |
Industrie | 1 | 3,2 | 1 | 0 | 0 | 0 | 0,0 | 0 | 0 | |
Construction | 6 | 19,4 | 5 | 1 | 0 | 4 | 14,8 | 4 | 0 | |
Commerce, transports, services divers | 5 | 16,1 | 5 | 0 | 0 | 0 | 0,0 | 0 | 0 | |
Administration publique, enseignement, santé, action sociale | 2 | 6,5 | 0 | 2 | 0 | 4 | 14,8 | 4 | 0 | |
Totaux | 31 | 100,0 | 23 | 7 | 1 | 27 | 100,0 | 17 | 10 |
Lieux et monuments
- L'église Notre-Dame construite au XIe siècle puis agrandie et aménagée aux XIIe, XIIIe et XVIe siècles est inscrite au titre des monuments historiques depuis 2002[34].
- L'église Notre-Dame (juillet 2014).
- Le chevet de l'église (juillet 2014).
- Le monument aux morts contre le mur de l'église (juillet 2014).
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site officiel de la commune
- Page de Doulezon sur le site de la communauté de communes Castillon-Pujols, consulté le 21 août 2014.
- Doulezon sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 45,3 km pour Bordeaux, 27 km pour Libourne et 2,8 km pour Pujols. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 23 août 2014.
- Doulezon sur Géoportail, consulté le 21 mai 2015.
- Doulezon sur Géoportail, consulté le 21 mai 2015.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Doulezon et Sauveterre-de-Guyenne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Sauveterre-de-Guyenne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Doulezon et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Doulezon sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 25 août 2014.
- Historique des communes, p. 19, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 29 août 2014.
- Nom des habitants de la commune sur Habitants.fr, consulté le 25 août 2014.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- L'école maternelle de Doulezon sur le site de l'Éducation nationale, consulté le 25 août 2014.
- [PDF] Secteurs des collèges, p. 3, sur le site de l'académie de Bordeaux, consulté le 25 août 2014.
- [PDF] Lycées d'enseignement général & techologique, p. 3, sur le site de l'académie de Bordeaux, consulté le 25 août 2014.
- Chiffres clés caractéristiques des entreprises et des établissements pour la commune de Doulezon en 2011, consulté le 22 août 2014.
- « Notice MH de l'église Saint-Vincent », notice no PA00083540, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 17 août 2014.
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