Emilia Giuliani-Guglielmi

Emilia Giuliani Guglielmi est une guitariste et compositrice italienne née le à Vienne[1], morte le [2] à Pest (aujourd'hui Budapest)[3]. Elle était la fille et élève du guitariste et compositeur Mauro Giuliani (1781-1829), la sœur de Michele Giuliani (1801-1867), guitariste, compositeur et professeur de chant au Conservatoire de Paris, et la nièce de Nicolas Giuliani (fl. 1847), maître de chapelle à Saint-Pétersbourg, attaché au service de l'Impératrice de Russie. Elle était mariée avec le compositeur Luigi[4] Guglielmi.

Pour les articles homonymes, voir Guglielmi.

Emilia Giuliani GuglielmiEmilie Giuliani Guglielmi
Nom de naissance Emilia Giuliani
Naissance
Vienne (Archiduché d'Autriche, Empire d'Autriche)
Décès (à 37 ans)
Pest, Hongrie)
Activité principale Guitariste
Compositrice
Style
Classique, Romantique
Lieux d'activité Italie, Autriche, Hongrie
Années d'activité 1828-1849
Collaborations Mauro Giuliani
Éditeurs Ricordi (Milan), Artaria (Vienne)
Maîtres Mauro Giuliani
Ascendants Mauro Giuliani
Conjoint Luigi Guglielmi (Chanteur, Compositeur)

Œuvres principales

Variations sur un thème de Mercadante Op. 9 (1837), Six Préludes Op. 46 (1841)

Répertoire

Mauro Giuliani, Emilia Giuliani Guglielmi

Biographie

La famille

Mauro Giuliani par Johann Friedrich Jugel (1772-1833) d'après Stubenrauch [probablement Philipp von Stubenrauch (1783-1848)].
Arbre généalogique
 
 
 
 
Mauro Giuliani
(1781-1829)
Bisceglie
Naples
 
 
 
 
 
 
 
Maria Giuseppa del Monaco
(1779-1826)

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Michele Giuseppe
Giuliani

(1801-1867)
Barletta
 
 
 
 
 
Gaetano Nicola Maria
Giuliani

(1803-1823)
Barletta
 
 
Anna Maria Giuseppa
Giuliani

(1807-? after 1830)
Trieste
 
Emilia
Giuliani
(1813-1850)
Vienne
Budapest

Son père est le célèbre guitariste et compositeur Mauro Giuliani (1781-1829), sa mère est la Viennoise Maria Anna Wiesenberger (1784-1817)[5].

Son demi-frère Michele Giuliani (1801-1867) est guitariste, compositeur et professeur de chant au Conservatoire de Paris[6] de 1850 à 1867[7].

Sa demi-sœur Anna Giuliani (30 July 1807 - ?) épouse en 1828 à Florence le compositeur Luigi Gordigiani (1806-1860), parfois décrit comme le Schubert italien[8]. Ils ont eu plusieurs enfants dont le peintre Michele Gordigiani (1835–1909).

Son oncle paternel Nicolas Giuliani (fl. 1847) est maître de chapelle à Saint-Pétersbourg, attaché au service de l'Impératrice de Russie. Il est l'auteur d'un traité d'harmonie (Introduction au Code d'Harmonie pratique et théorique, ou Nouveau système de Basse Fondamentale en 1847)[9].

Son mari le compositeur Luigi[4] Guglielmi, est peut-être apparenté au compositeur Pietro Alessandro Guglielmi (1728-1804).

Vienne: Enfance

Emilia Giuliani nait à Vienne le 23 avril 1813, à une époque où son père le guitariste virtuose et compositeur Mauro Giuliani rencontre un grand succès. Elle est la troisième fille du Giuliani et sa maîtresse Nina Wiesenberger. Sa mère meurt à Vienne en 1817. Entre 1822, elle vit à Vienne et voyage jusqu’à Palerme avec sa tante Emanuela Lucci et sa sœur aînée de six ans, Maria Willmuth, fille illégitime de Mauro Giuliani, peut-être pour rendre visite à leur père. En 1822 elle va à Palerme depuis Vienne avec sœur Maria Willmuth.

Rome: Adolescence

Par la suite, elle est apparemment restée plusieurs années en Italie. Elle est scolarisée dans l'école privée "L'adorazione del Gesù" à Rome de 1821 à 1826, avec sa sœur Maria.

Naples: Les premiers concerts publics

En 1828-1829 ans elle vit à Naples, restant proche de son père durant la dernière période de sa vie.

1828

Le 6 février 1828, elle participe en Italie à un concert vocal et instrumental au "Teatro Nuovo" de Naples avec son père alors qu’elle n’a que 15 ans: I concerti di chitarra eseguiti da lei e da una sua figliuola per nome Emilia, di anni 12, piacquero tanto, ch’egli e questa fanciulla di ottime speranze vennero replicate volte applauditi e infine chiamati fuori dal Pubblico[10]

Le 8 octobre 1828 elle se produit en solo à Naples au Teatro dei Fiorentini ou au Teatro del Fondo durant un entracte de l'opéra Gianni di Calais (it) de Gaetano Donizetti: "Non solo degna discepola ma emula del padre, merito i pieni applausi delle Auguste Persone e del pubblico"[11].

1829

Son père meurt le à Naples alors qu'elle n'a que seize ans: Egli ha lasciato una figlia di tenere età che mostra di essere erede della sua abilità non comune; circonstanza che solo può rattemperare il dolore di questa perdita[12]

1831

Le 21 avril elle se produit au Teatro del Fondo[13]. La Signora Giuliani eseguì quindi alcune Variazioni sopra un tema Viennese composte dal suo defunto genitore. La sua modestia che giungeva fino alla timidezza e le ardue prove di espertezza nel render soave e dilettevole uno strumento per sé già di poco rilievo, mossero il pubblico ad acclamarla con entusiasmo egualmente che nell’altro suo concerto dopo il secondo atto dell’Opera, essendo stata invitata a ricomparir sul proscenio a piene voci.(Giornale delle Due Sicilie)

1832

En 1832 elle se produit à Foggia en Italie, à une centaine de kilomètres au nord de Bisceglie, la ville natale de son père[14].

Italie et Vienne

Emilia Giuliani Guglielmi mène une carrière de concertiste durant un peu plus de vingt ans, de 1828 alors qu’elle n’a que 14 ou 15 ans, à 1949, moins d'un an avant son décès.

1834

En novembre ou décembre 1834, alors qu'elle n'a que 21 ans, elle publie Cinq variations sur un thème de Bellini opus 1, dédicacées à Antonio Padiglione (lui-même compositeur), à Milan chez Giovanni Ricordi.

1835

En 1835 elle publie à Milan chez Ricordi cinq des six fantaisies sur des thème de Bellini (Bellinianas opus 2, 4, 5, 6, 7, 8).

1836

En 1836 elle publie, toujours chez le même éditeur, la dernière fantaisie sur des thèmes de Bellini (Belliniana opus 11) ainsi que les Variations sur un thème de Bellini opus 3.

1837

En 1837 elle publie les Variations sur un thème de Mercadante opus 9 chez Ricordi à Milan. Ces variations ont été composées à la fin de 1836[15].

Emilia Giuliani se marie entre 1837 et 1839[2].

1840

Dans les années 1840 à 1844, Giuliani Guglielmi entreprend une tournée de concerts en Europe. Durant la même période le guitariste virtuose italien Giulio Regondi (1822?-1872) fait également une tournée dans toute l'Europe (Vienne, Dresde, Prague, etc.).

Elle joue en 1840 à Vienne avec un certain succès[16].

En septembre 1840 elle est à Venise en Italie où elle joue deux moreaux durant l'entracte de la "commedia" au Teatro San Benedetto et a rencontré un grand succès: D’un altro distinto musicale talento dobbiam far parola: la signora Emilia Giuliani Guglielmi di Vienna, la quale portò a tal perfezione la perizia sulla chitarra francese, che a pochi fu dato fin qui di raggiungerla. Ella è figlia di quel Giuliani che s'era reso per egual parte por celebre. La gentil sonatrice diede la promessa accademia lunedì sera fra gli atti della commedia in S. Benedetto, e il ristretto, ma eletto numero di uditori ammirò in lei altamente la facilità con cui ella superò su quel ribelle istrumento le più astruse difficolta, rendendone grato e soave l'effetto. Due furono i concerti eseguiti, tutti e due egualmente difficili, ma il primo più grato per varii piacevoli motivi, resi con molta esprissione. Piacquero e si trovaro no nuovi alcuni armonici che ella frammischa alle variazzioni e singolar veramente la precisione, con cui tocca le corde ne’ passi più celeri acomplicati. Il pubblico le fece gran festa, ed alla dovette più volte comparir sulla scena[14].

Dans le numéro 44 du 29 octobre 1840, le Jahrbücher Des Deutschen Nationalvereins Für Musik Und Ihre Wissenschaft annonce le retour à Vienne le 10 octobre 1840 de Emilia Giuliani Guglielmi: Angekommen so eben ist hier die berühmte Guitarrespielerin Émilie Giuliani Guglielmi, eine Tochter des bekannten Mauro Giuliani. Wer sie hörte, spricht mit außerordentlicher Bewunderung von ihren Leistungen (Vient d'arriver ici la célèbre guitariste Émilie Giuliani Guglielmi, une fille du célèbre Mauro Giuliani. Ceux qui l'ont entendu parlent avec une extraordinaire admiration de ses accomplissements)[17].

Salle de la Musikverein de Vienne (Société philharmonique de Vienne) (1831-1870) rue Tuchlauben

À la fin de 1840 elle publie Six Préludes opus 46 (ou 48) chez Artaria. Ils sont dédicacés au Conte Luigi Moretti, "Egregio dilettante", qui était également dédicataire des Grandes Variations opus 112 de Mauro Giuliani.

Le 8 décembre 1840, elle donne un récital au Musikverein de Vienne (Wiener Musikvereinssaal, Société philharmonique de Vienne (Gesellschaft der Musikfreunde in Wien) où elle montre ses « capacités extraordinaires à la guitare » (Beweise ihrer außerordentlichen Fähigkeit auf der Guitarre)[18]. "Ihre Mechanik verdient Beachtung, wäre sie nur einem dankbareren Gegenstande zugewendet"[19].

Budapest et Nagykomlós

Des études récentes suggèrent qu'elle vit à Budapest et à Nagykomlós durant la dernière partie de sa vie[20].

Vers 1846 elle vit à Groß-Komlosch/Nagykomlós (hu), aujourd'hui commnune de Comloșu Mare (ro) en Roumanie.

1847
Redoutensaale de Pest

Le 17 avril 1847 elle donne un récital à la Redoutensaale de Pest[20].

1849

le 25 septembre 1849 elle donne un concert au Sommertheatre de Pest[20].

1850

Elle meurt le à Pest (aujourd'hui Budapest), à l'âge de 37 ans, d'une fièvre putride. L'avis de décès est daté du 27 novembre.Frau Guglielmi, eine rühmlich bekannte Guitarre-Virtuosin, Tochter des einst so berühmt gewesenenen Guitarrenmeisters Giuliani in Wien, und Gattin des Compositeurs Guglielmi, ist am 27. November in Pesth gestorben[21].

Elle fait partie des rares femmes guitaristes de renom au XIXe siècle, avec Nina Morra[22], Franziska Bolzmann[23], et Marianne Willemer (1784-1860)[24].

Il existe un portrait d'Emilia Giuliani par le peintre allemand Franz Nadorp (1795-1876), signé et daté Rome [18]39, âgée de 26 ans, dans la collection du musée Wasserburg Anholt (de) à Isselburg en Allemagne[25].

Relations personnelles et professionnelles

  • Giovanni Ricordi (1785-1853), éditeur de plusieurs de ses œuvres.
  • Mauro Giuliani (1781-1829), son père, célèbre guitariste et compositeur.
  • Michele Giuliani (1801-1867), son frère, guitariste, compositeur et professeur de chant au Conservatoire de Paris
  • Nicolas Giuliani (fl. 1847), son oncle paternal, maître de chapelle à Saint-Pétersbourg, attaché au service de l'Impératrice de Russie.
  • Luigi Guglielmi, son mari, compositeur.
  • Luigi Gordigiani (1806-1860), mari de sa sœur Anna, compositeur.
  • (Conte) Luigi Moretti (c. 1780-1850), dédicataire en 1841 de ses Six Préludes opus 46 et des Grandes Variations opus 112 de Mauro Giuliani, compositeur, auteur d'une méthode pour guitare et guitariste[26].
  • Antonio Padiglione, dédicataire en 1834 des cinq variations sur un thème de Bellini opus 1, compositeur.

Emilia Giuliani et la technique de la guitare

En mars 1841 un article du Allgemeine musikalische Zeitung décrit un jeu en "Doppelflageolettönen" (double harmonique)[27]. Pendant un temps il lui a ainsi été attribué par erreur la découverte des harmoniques sur la guitare.(Signora Emilia Giuliani-Guglielmi, Tochter und Schülerin des berühnien Mauro Giuliani, ließ sich auf der Guitarre, und sogar mit den von ihr erfundenen Doppelflageolettonen hören; ihre Mechanik verdient Beachtung, wäre sie nur einem dankbareren gegenstande zugewendet.

Œuvres

Emilia Giuliani Guglielmi a commencé à publier ses œuvres dès 1934, à l'âge de 21 ou 22 ans (Op. 1, Cinq variations sur un thème de Bellini). Toutes les compositions de Giuliani Guglielmi connues à ce jour sont pour guitare.

Ses compositions ont été publiées à Milan par Giovanni Ricordi, à Vienne par Artaria, ainsi que par Josef Weinberger à Vienne pour la seconde édition des Préludes, peut-être publiée après le décès du compositeur.

Elle fait partie des rares femmes compositrices de renom au XIXe siècle, avec Clara Schumann (1819-1896), Fanny Mendelssohn (1805-1847), et Louise Farrenc (1804-1875).

Les Variations

Parmi les œuvres connues à ce jour d'Emilia Giuliani Guglielmi il y a quatre variations (Opus 1, 3, 5, et 9). Elles ont été publiées entre 1834 et 1837 à Milan par Giovanni Ricordi. Les thèmes sont de Vincenzo Bellini (1801-1835) pour l'opus 1 et 3, Gioachino Rossini (1792-1868) pour l'opus 5, et Saverio Mercadante (1795-1870) pour l'opus 9.

Sei Belliniane

Couverture originale de la partie 1 de Le Rossiniane de Mauro Giuliani

À l'image de son père Mauro Giuliani qui a composé entre 1822 et 1828 six fantaisies ou "Rossinianas" (Le Rossiniane) sur des airs d'opéras de Gioachino Rossini (1792-1868), Emilia Giuliani Guglielmi a composé six fantaisies ou "Bellinianas" (Le Belliniane) sur des airs d'opéras de Vincenzo Bellini (1801-1835)[28]. Les Six Bellinianas ont été publiées à Milan par Giovanni Ricordi en 1834 (Belliniana n. 1) et 1835 (Bellinianas n. 2 à 6).

Les Préludes

Les Six Préludes Op. 46 (Sei Preludj) sont publiés par Artaria à Vienne en janvier 1841 (imprimés le 22 décembre 1940)[29] et sont dédiés au Conte Luigi Moretti (c. 1780-1850), guitariste et compositeur, membre de l'Accademia Filarmonica de Bologne. Il s'agit de la seule composition d'Emilia Giuliani publiée par le célèbre éditeur viennois et de sa dernière composition connue à ce jour.

Le deuxième Prélude semble reprendre des formules de Johann Sebastian Bach. Le troisième semble reprendre des formules du Caprice 15 Op. 20 de Luigi Legnani publié en 1822. Les Préludes 4 et 5 semblent être comme des prémonitions des Études 1 et 11 de Heitor Villa-Lobos composées près d'un siècle plus tard.

Liste des œuvres

  • Op. 1 - Cinque variazioni e finale sul tema, L'amo ah! l'amo, nell'opera I Capuleti e Montecchi del maestro Bellini. Milano : presso Gio. Ricordi, (novembre, décembre)[30] [1834]. Dedicate al sig.r Antonio Padiglione.
  • Op. 2.da - Belliniana n.1. ossia varii pezzi tratti delle opere di Bellini, ridotti e variati. Milano : presso Gio. Ricordi, (Lib. 2–4. octobre-novembre)[31] [1835]
  • Op. 3 - Variazioni su Ah perchè non posso odiarti (Bellini). Milano : presso Gio. Ricordi, 1836.
  • Op.a 4.a - Belliniana n. 2. Milano : presso Gio. Ricordi, [1835]. (Fa parte di: Belliniana : ossia varj pezzi tratti dalle opere del maes.o Bellini : opera 2.da / ridotti e variati per chitarra sola da Emilia Giuliani)
  • Op. 5 - Variazioni su Non più mesta (Rossini) (septembre 1936)[32]
  • Op.a 6.a - Belliniana n. 3. Milano : presso Gio. Ricordi, [1835]. (Fa parte di: Belliniana : ossia varj pezzi tratti dalle opere del maes.o Bellini : opera 2.da / ridotti e variati per chitarra sola da Emilia Giuliani)
  • Op. 7.ma - Belliniana n. 4. Milano : presso Gio. Ricordi, [1835]. (Fa parte di: Belliniana : ossia varj pezzi tratti dalle opere del maes.o Bellini : opera 2.da / ridotti e variati per chitarra sola da Emilia Giuliani)
  • Op. 8.a - Belliniana n. 5. Milano : presso Gio. Ricordi, [1835] (Fa parte di: Belliniana : ossia varj pezzi tratti dalle opere del maes.o Bellini : opera 2.da / ridotti e variati per chitarra sola da Emilia Giuliani)
  • Op.a 9 - Variazioni per chitarra sopra un tema del m.o Mercadante. Milano : presso Gio. Ricordi, (juillet)[33] [1837]
  • Op. 10 - introuvable
  • Op. 11 - Belliniana n. 6. Milano : presso Gio. Ricordi, [1835]. (Fa parte di: Belliniana : ossia varj pezzi tratti dalle opere del maes.o Bellini : opera 2.da / ridotti e variati per chitarra sola da Emilia Giuliani)
  • Op. 12-45 - introuvables
  • Op. 46 (ou 48) - Six Préludes (Sei Preludj) (Vienne, 1841?) (6 Preludj p. Chitarra. Op. 48 . Wien, Artaria et Co. (Hofmeister: Musikalisch-literarischer Monatsbericht, avril 1843, p. 41)[33]

Références, notes et citations

Références

Notes et citations

  1. Michael Lorenz: "New Light on Mauro Giuliani's Vienna Years", Vienne, 2015.
  2. Nicoletta Confalone, Inseguendo Un'Ombra : Émilie Giuliani-Guglielmi Il Fronimo. 40.159, luglio 2012, p. 19.
  3. Ou en 1844 selon sa fiche GND
  4. Voir Canfalone, p. 24.
  5. Lorenz, 2015.
  6. "Giuliani, Mauro." Encyclopedia of World Biography. 2005. Consulté le 16 novembre 2012 sur Encyclopedia.com : http://www.encyclopedia.com/doc/1G2-3446400079.html
  7. Hondré, Emmanuel, « Le Conservatoire de Paris et le renouveau du « chant français » », Romantisme, Persée - Portail des revues scientifiques en SHS, vol. 26, no 93, , p. 83–94 (DOI 10.3406/roman.1996.3128, lire en ligne , consulté le ).
  8. Cimarusti, Thomas Michael, and Douglass Seaton. The Songs of Luigi Gordigiani (1806-1860) "Lo Schuberto Italiano". Thesis (Ph. D.)--Florida State University, 2007, 2007. p. 21.
  9. Nicolas Giuliani, Introduction au code d'harmonie pratique et théoretique : ou, Nouveau système de basse fondamentale ..., , 120 p. (lire en ligne).
  10. Giornale delle Due Sicilie, 13 février 1828
  11. Peter Schleuning, Giuliani, Emilia, verh. Giuliani-Guglielmi, Sophie Drinker Institut, 2010.
  12. Giornale delle Due Sicilie
  13. NICOLA GIULIANI, Mauro Giuliani, Ascesa e declino del virtuoso della chitarra, Cremona, Edizioni Il Salabue, 2005, p. 67.
  14. LECLAIR, G. (2013). Emilia Giuliani Guglielmi: Nouvelles références et chronologie.
  15. Giuliani Guglielmi, Emilia, and Carlo Carfagna. Variazioni su un tema di Mercadante: op. 9. Ancona, Italy: Bèrben, 1989. Préface de Giovanni Antonioni.
  16. Holecek, Josef. Gitarretyder från 1800 - talet: (antologi). Göteborg: Univ., Musikhögskolan, Avd. för Musikvetenskap, 1996, p. 92.
  17. Jahrbücher Des Deutschen Nationalvereins Für Musik Und Ihre Wissenschaft, numéro 44, 29 octobre 1840. https://books.google.fr/books?id=qApDAAAAcAAJ&pg=PA352&lpg=PA352&dq=NationalVerein+giuliani&source=bl&ots=ZGZurNgJ-y&sig=URqt_-GvDvOjh2Nqchi5p4HSmxA&hl=fr&sa=X&ei=7mInUb7DAaO40QXF1oGACg&ved=0CDUQ6AEwAQ#v=onepage&q=NationalVerein%20giuliani&f=false
  18. Castelli 1840
  19. Allgemeine musikalische Zeitung, 1841
  20. Bozóki Andrea. A magyar gitározás története a. 19. század végéig, 2009, p. 55. http://www.lisztakademia.hu/netfolder/public/PublicNet/Doktori%20dolgozatok/bozoki_andrea/disszertacio.pdf
  21. Wiener Theaterzeitung no. 43 (3 décembre 1850), p. 1144
  22. http://www.sophie-drinker-institut.de/cms/index.php?page=morra-nina
  23. http://www.sophie-drinker-institut.de/cms/index.php?page=bolzmann-franziska
  24. http://www.sophie-drinker-institut.de/cms/index.php?page=willemer-marianne
  25. Nadorp, Franz, and H. W. van Os. Der Zeichner Franz Nadorp, 1794-1876: ein romantischer Künstler aus Anholt : Werke aus dem Besitz der Fürsten zu Salm-Salm in Anholt. Rhede bei Bocholt: N.L. Fürst zu Salm-Salm, 1976. p. 107.
  26. Massimo Agostinelli et Danilo Prefumo, Il Conte Luigi Moretti, Portrait d'un compositeur, guitariste, auteur d'une méthode. Répertoire thématique de son œuvre, Il Fronimo. 37.148, ottobre 2009, p. 16-29.
  27. AmZ 1841: 201.
  28. « Médiathèque de la Philharmonie de Paris. », sur catalogue.philharmoniedeparis.fr (consulté le )
  29. Rosemary Hilmar: Der Musikverlag Artaria & Comp. Geschichte und Probleme der Druckproduktion. Schneider, Tutzing 1977, p. 161.
  30. « Hofmeister XIX: November, December 1834 » (consulté le )
  31. « Hofmeister XIX: October, November 1835 » (consulté le )
  32. « Hofmeister XIX: September 1836 » (consulté le )
  33. « Hofmeister XIX: Juli 1837 » (consulté le )

Bibliographie

Bibliographie à propos de Emilia Giuliani

Bibliographie à propos de Anna Giuliani

Nicola Giuliani La sesta corda, vita narrata di Mauro Giuliani, edizioni Levante Bari 2008

Nicola Giuliani ascesa e declino del virtuoso del virtuoso della chitarra edizione il salabue Torino 2005

Voir aussi

Articles connexes

  • Mauro Giuliani (1781-1829), guitariste et compositeur, père de Emilia Giuliani Guglielmi.
  • Michele Gordigiani (1835-1909), peintre, neveux de Emilia Giuliani Guglielmi.

Liens externes

  • Portail de la musique classique
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