Famille Bouhon

La famille Bouhon est une ancienne famille belge issue de la Principauté de Liège[1].

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Famille Bouhon

Armes de la famille.

Blasonnement parti, au 1 : d'argent au lion de gueules ; au 2: d'azur à la bande d'or, accompagnée de 3 lis d'argent, deux en chef et un en pointe.
Période XVIIe siècle - nos jours
Pays ou province d’origine Principauté de Liège

Origine du nom

Selon les antroponomystes Jules Herillon et Eugène Vroonen, le patronyme Bou(x)hon dérive du substantif dialectal "bou(x)he" qui signifie buisson.

Généalogie

I. Simon Bouhon (1590-1651) épouse Agnès Grégoire (1600 - )

II. Hubert Bouhon (1621-1698), épouse Jeanne Gilman (1619 - )

IIbis. Dieudonné Bouhon

III. Jean-Charles Bouhon (1652-1752)

IV. Hubert Bouhon (1693-1763), épouse Jeneton Cherin (1704 - 1737)

V. Jean-François Bouhon (1785-1853)

V. Bernard Bouhon (1732- ), épouse Marguerite Kevers (1749-1791)

VI. Charles-François-Xavier Bouhon (°1830)

VII. Maurice Bouhon (°1864)

VIIbis. Charles Bouhon (1871-1945), épouse Marie Agnet

Ils eurent :

  • Maurice Bouhon (1906-1982)
  • Charles Bouhon (1908-1981), épouse Suzanne Lejeune Vincent

Ils eurent une fille :

  • Colette Bouhon

Armes

Armoiries de la famille Bouhon
Blasonnement :

parti : parti, au 1 : d'argent au lion[2] de gueules ; au 2: d'azur à la bande d'or, accompagnée de 3 lis d'argent, deux en chef et un en pointe[3],[4].

Ornements extérieurs[5] :

Bourrelet d'argent, de gueules, d'argent, d'or et d'azur.

Cimier :

Un lion issant de gueules, armé et lampassé d'or.

Bibliographie

Liste non exhaustive :

  • Chev. Philippe de Limourg, Armoriaux liégeois, Liège, 1930-1934, pp. 52-55-56 et 449.
  • Guy Poswick, Armorial d'Abry, Liège, 1956, pp.44 et 47
  • J. van den Berg et M. Bouhon, Armorial liégeois, Liège 1882, pp. 48-88 et 232

Notes et références

  1. Source : Le Parchemin : 1987, pp. 568-571 et 730. FE
  2. Note : Le lion peut apparaitre contourné.
  3. Source : Armorial royal des Pays-Bas, 1825.
  4. Source : Armorial d'Europe par J.B.Rietstap (Gouda, 1884, Berlin, 1934) (Gouda, 1887, Berlin 1937).
  5. Les familles qui se sont vu reconnaître des armoiries par l’intermédiaire du Parchemin (Héraldique vivante) peuvent ajouter les ornements extérieurs puisque l’Arrêté du Gouvernement de la Communauté française du 14 octobre 2010, publié au Moniteur belge du 23 novembre suivant, les prévoit explicitement pour les familles n’appartenant pas à la noblesse du Royaume.

Voir aussi

Article connexe

Liens externes

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