Famille Dorange
La famille Dorange ou d'Orange est une famille bourgeoise subsistante d'origine bretonne.
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Histoire
Déjà présente en Bretagne, dès le XIVème siècle, la famille Dorange est une famille d'ancienne bourgeoisie originaire de Bretagne[1], pour laquelle on retrouve des actes et dont les liens certains sont établis depuis Louis Dorange (1652-1732), époux de Jacqueline Malbaut, bourgeois de Fougères, (Ille-et-Vilaine).
Généalogie simplifiée
- Gilles-Louis Dorange (né en 1703), était bourgeois de Fougères.
- Joseph Augustin Dorange (né en 1740), était bourgeois de Fougères.
- Louis Dorange (né en 1763), était bourgeois de Fougères.
- Augustin Dorange (né en 1791), était bourgeois de Fougères.
- Augustin Jean Dorange (né en 1816), était conservateur de la bibliothèque municipale de Tours, (Indre-et-Loire).
- Magloire Georges François Dorange (1827-1898), était avocat près la Cour d'Appel de Rennes, ancien bâtonnier de l'Ordre; avocat-conseil de leurs éminences, les cardinaux Godefroy Brossay-Saint-Marc et Charles-Philippe Place, archevêques de Rennes. Il était propriétaire du domaine d'Orange et des ruines de sa forteresse, dans la commune de Vieux-Vy-sur-Couesnon, (Ille-et-Vilaine)[2]. Certains de ses descendants actuels portent le nom d'Orange, en souvenir de cette possession[3].
- André Thomas Marie Magloire Dorange (1864-1900), était capitaine au 2ème Chasseurs à cheval de Pontivy, chevalier de la Légion d'honneur.
- Georges Marie Joseph Magloire Dorange (1868-1937), était avocat près la Cour d'Appel de Rennes.
- Son fils, Jean Magloire Dorange (1911-1941), chef de l'École de pilotage de Saint-Brieuc, (Côtes-d'Armor), est mort pour la France, fusillé par les Allemands le , lors d'une tentative de traversée de la Manche pour rejoindre les Forces françaises libres du Général de Gaulle en Angleterre.
- Georges Marie Joseph Magloire Dorange (1868-1937), était avocat près la Cour d'Appel de Rennes.
- André Thomas Marie Magloire Dorange (1864-1900), était capitaine au 2ème Chasseurs à cheval de Pontivy, chevalier de la Légion d'honneur.
- Magloire Georges François Dorange (1827-1898), était avocat près la Cour d'Appel de Rennes, ancien bâtonnier de l'Ordre; avocat-conseil de leurs éminences, les cardinaux Godefroy Brossay-Saint-Marc et Charles-Philippe Place, archevêques de Rennes. Il était propriétaire du domaine d'Orange et des ruines de sa forteresse, dans la commune de Vieux-Vy-sur-Couesnon, (Ille-et-Vilaine)[2]. Certains de ses descendants actuels portent le nom d'Orange, en souvenir de cette possession[3].
- Augustin Jean Dorange (né en 1816), était conservateur de la bibliothèque municipale de Tours, (Indre-et-Loire).
- Augustin Dorange (né en 1791), était bourgeois de Fougères.
- Louis Dorange (né en 1763), était bourgeois de Fougères.
- Joseph Augustin Dorange (né en 1740), était bourgeois de Fougères.
Armes de la famille Dorange
« de sable au chevron d'or accompagné de 3 billettes couchées de même : 2. 1 » (de Magny -Nobiliaire universel-1874).
Notes et références
- Henri de La Messelière, Filiations Bretonnes, Prudhomme, Saint-Brieuc, 1913, T.II, p.169-172
- Dans les Mémoires de la Société archéologique d'Ille-et-Vilaine (1899), l'abbé A. Millon a décrit le site romain d'Orange , situé dans la commune de Vieux-Vy-sur-Couesnon, dont les vestiges ont été découverts grâce aux fouilles réalisées par la famille Dorange
- Pierre-Marie Dioudonnat, dans le Simili-Nobiliaire-Français publié aux éditions Sedopols en 2012 , (page 611), indique que cette famille s'est longtemps appelée Dorange et que la graphie d'Orange était encore ignorée d'Henri de La Messelière, lorsqu'il publia le deuxième volume de ses Filiations Bretonnes en 1913
Article connexe
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