Farges-Allichamps

Farges-Allichamps est une commune française située dans le département du Cher, en région Centre-Val de Loire.

Pour les articles homonymes, voir Allichamps (homonymie).

Farges-Allichamps

Le château de la Brosse.
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Saint-Amand-Montrond
Intercommunalité Communauté de communes du Cœur de France
Maire
Mandat
Edith Michelic
2020-2026
Code postal 18200
Code commune 18091
Démographie
Population
municipale
249 hab. (2019 )
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 45′ 34″ nord, 2° 24′ 04″ est
Altitude Min. 142 m
Max. 222 m
Superficie 8,3 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Amand-Montrond
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Amand-Montrond
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Farges-Allichamps
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Farges-Allichamps
Géolocalisation sur la carte : Cher
Farges-Allichamps
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Farges-Allichamps

    Géographie

    La commune est située à 10 kilomètres au nord-ouest de Saint-Amand-Montrond. Elle est traversée par le Sentier de grande randonnée 41 (GR 41).

    La commune a la particularité d'être placée à l'un des centres calculés de la France. L'aire de repos Centre de la France (Farges-Allichamps) de l'autoroute A71 qui passe à l'est du village, a été construite pour représenter ce point. Elle est située à 6 kilomètres au nord de la sortie 8 (Saint-Amand-Montrond)

    Localisation

    Vallenay N Bruère-Allichamps
    O    Farges-Allichamps    E
    S
    Nozières

    Urbanisme

    Typologie

    Farges-Allichamps est une commune rurale[Note 1],[1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Amand-Montrond, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 36 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[4],[5].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (39,1 %), forêts (31,4 %), terres arables (15,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,4 %)[6].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Farges-Allichamps est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[7]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[8].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Cher et la Vilaine. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[9],[7].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Farges-Allichamps.

    La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[10]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 97,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 143 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 143 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[11],[Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[7].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[12].

    La commune est en outre située en aval du barrage de Rochebut, de classe A[Note 3] et faisant l'objet d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[14].

    Toponymie

    Farges : Du mot latin Făbrĭca, avec métathèse, « atelier d'artisan », à l'origine de notre « fabrique », a principalement désigné une forge.

    Histoire

    Au moment de l'effondrement de la république espagnole, qui provoque la Retirada, d’importantes arrivées de réfugiés espagnols ont lieu. Entre le 30 janvier et le 9 février 1939, 3 002 réfugiés espagnols fuyant devant les troupes de Franco, arrivent dans le Cher[15],[16]. Ils sont acheminés en quatre convois à la gare de Bourges[17]. Le château de la Brosse à Farges-Allichamps, colonie de vacances de Colombes, fait partie des lieux choisis pour les héberger[15],[16].

    Les réfugiés sont essentiellement des femmes et des enfants, les hommes sont retenus dans les camps du Midi[18]. Ils sont soumis à une quarantaine stricte, du fait des risques d’épidémie[19]. Le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[20]. Au printemps et à l'été, les réfugiés sont regroupés au camp de Châteaufer (commune de Bruère-Allichamps)[21].

    Les Templiers et les Hospitaliers

    Farges-Allichamps est le site d'une ancienne commanderie de l'ordre du Temple puis lors de la dévolution des biens de l'ordre du Temple est devenue une commanderie hospitalière qui faisait partie de la langue d'Auvergne. L'ancienne chapelle des Templiers est à l'origine la chapelle du château de la commanderie et est dédiée à saint Jean de Farges. La chapelle est couverte d'une voûte surbaissée en lattes et plâtre. Une arcade relie la nef et le cœur. Le clocher est érigé à l'ouest sur les charpentes apparentes. Au début du XVIIIe siècle, Monsieur de Jouffroy, alors propriétaire du château de la Commanderie, annexe au chevet une grande chapelle. Celle-ci est bâtie, dans le style du XIVe siècle, sur le caveau réservé aux membres de sa famille. Elle est chapelle paroissiale jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, avant de devenir la chapelle privée du château puis est cédée à la commune.

    Un gros tumulus couvert d'arbres centenaires marque l'emplacement d'un château-fort du XIIIe siècle, siège de la commanderie. En 1580, le domaine est acquis par la famille Jouffroy de Gonsans. La forteresse est rasée, ses dépendances sont converties en un manoir, agrandi au XVIIIe siècle.

    De 1879 à 1882 s'accomplit un vaste programme d'extension qui transforme la vieille demeure en résidence d'apparat. Le comte de Jouffroy confie le chantier à Joseph Émile Tarlier (1825-1902), architecte des monuments historiques. Le parc est redessiné, de nouveaux communs sont bâtis et on élève un château entièrement neuf dans le prolongement du manoir.

    En 2002, la Commanderie est vendue. Ses toitures nécessitent de lourds travaux. En 2016, à nouveau en vente et en grand péril, elle est acquise par Claude et Mireille Charrier.

    Le château neuf est de pur style néogothique, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur. L'escalier monumental, réalisé d'après un dessin de Philibert Delorme, est un exceptionnel morceau de bravoure. Il présente une suite de cent marches de grande amplitude tournant autour d'un noyau évidé en colonnade s'achevant sous une voûte à nervures rayonnantes. La rampe est portée par une balustrade à claustras. Tout un bestiaire d'animaux fabuleux s'agrippe aux colonnes et aux retombées des arcs. Les salles de réception, de proportions majestueuses, sont rehaussées par un riche décor de boiseries et de brocatelles. Les cheminées sont finement sculptées en pierre blanche de Charly ; celle du grand salon est une réplique de Palais Jacques Cœur.

    Loisirs

    • Au cœur du bourg se situe le centre équestre poney-club le Rio Javar, proposant notamment des balades à cheval, des stages équestres, etc. Ce club hippique est affilié à la Fédération française d’équitation.

    Politique et administration

    Liste des maires depuis la Libération
    Période Identité Étiquette Qualité
    1947 1965 Marcel Rousset    
    1965 1971 Pierre Louis Maginot    
    1971 1983 Jean Michelic    
    1983 1988 Jean-François Delplancke    
    1988 2001 Yves Barrière GE  
    2001 2007 Raymonde Joliduc    
    2007   Édith Michelic DVG Retraitée Fonction publique
    Réélue pour le mandat 2014-2020[22]
    mars 2014 En cours Edith Michelic[23],[24]   Ancienne cadre

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

    En 2019, la commune comptait 249 habitants[Note 4], en augmentation de 9,21 % par rapport à 2013 (Cher : −3 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    241228275201295271238270285
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    302332383399421455448430453
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    416400370365385340338304355
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    272245248204246214216215225
    2015 2019 - - - - - - -
    245249-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Château de la Brosse (monument historique)

    Dès le XIIIe siècle, le château de la Brosse est une seigneurie, restructuré au milieu du XIXe siècle dans le style du XVe siècle, l'ancienne fortification a laissé place à un château à l'architecture raffinée de l'époque.

    Le marquis Gardye de la Chapelle Crosville a construit cette résidence de chasse monumentale sans sacrifier au confort, eau courante et chauffage central en 1866. L'extrême précision de la sculpture de la pierre et ses décors intérieurs font du château de la Brosse un chef-d'œuvre de l'architecture néogothique.

    En 1863, Paul de Lavenne, comte de Choulot, paysagiste réputé pour ses nombreuses et fameuses réalisations (280 parcs en France, Italie et Suisse, création de la ville-parc du Vésinet en 1858, des villes de Cognac, Clermont-Ferrand et du Mans intervient au château de la Brosse à l'apogée de son œuvre.

    La configuration actuelle correspond au plan laissé par le comte de Choulot. Le parc de la Brosse présente un grand intérêt pour l'histoire de l'art des jardins car il est, sans doute, un des rares parcs dessinés par le comte de Choulot ayant gardé sa lisibilité et son caractère agricole et paysager. En effet, en général, les parcs du comte de Choulot, du fait de leur fonction agricole et de l'emploi d'essences indigènes, ont rarement été conservés en l'état.

    Le comte de Choulot retient : « L'objet qu'on se doit de proposer en créant un parc, c'est de l'harmoniser avec les campagnes qui l'entourent, c'est qu'il paraisse beau, non seulement à l'intérieur, à l'œil du propriétaire, mais encore à l'extérieur, aux regards du voyageur, étonné des rapports qui unissent ce jardin au pays tout entier. »

    Le comte Georges de la Chapelle né le à Farges-Allichamps au château de la Brosse a été médaillé de bronze en double aux Jeux olympiques de 1900 à Paris.

    Le château est acheté par la ville de Colombes en région parisienne, qui y installe une colonie de vacances. Au printemps 1939, des réfugiés espagnols y sont hébergés (voir la partie Histoire).

    L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 2000[29].

    Fontaine-Dieu

    Tout d'abord un peu d'étymologie sur ce nom de Fontaine-Dieu qui peut paraître très simple.

    Le terme Fontaine-Dieu fait effectivement référence à la religion mais pas tout à fait dans le sens habituel.

    Le terme Dieu de cette expression vient de Divona, déesse gauloise des sources sacrées, christianisée par la suite.

    Étymologiquement, la Fontaine-Dieu est donc une source guérisseuse (1).

    On trouve mention de cette fontaine dans un texte de 1540. Elle est née de l'aménagement d'un site de l'époque gallo-romaine. L'eau était redirigée par des tuyaux en terre cuite jusqu'au chemin avant de se jeter dans le Cher.

    Une particularité de cette fontaine a fait qu'elle était souvent utilisée pour faire la lessive. En effet, lorsque la température de l'air avoisine le 0 °C, la température de l'eau, légèrement pétrifiante, est d'environ 19 °C.

    Durant la Seconde Guerre mondiale, les troupes américaines stationnées à Bruère-Allichamps apportent quelques modifications à la fontaine en réalisant la réfection du bassin de la source.

    Grotte de la Loutonnière

    Au cœur de la forêt de la Baume se trouve la grotte de la Loutonnière, vraisemblablement occupée durant la période préhistorique.

    Les bois qui l'entourent fournissent gibier et bois, et le cher tout proche fournit le poisson. La grotte a sans doute été formée par le creusement des eaux sous le plateau calcaire jurassique du Bathonien et du Bajocien.

    Il est fait état de nombreuses légendes locales s'y rattachant.

    Porcelainerie

    L'ancienne porcelainerie de Farges-Allichamps se trouve, hélas, en ruines.

    Cette usine, située à proximité de la voie ferrée reliant Montluçon à Bourges, a employé une centaine d'ouvriers à son apogée.

    Construite en pierre et brique, elle est caractéristique de l'architecture industrielle de cette fin du XIXe siècle. Elle cessa ses activités en 1939 après avoir traversé de multiples difficultés. Son activité est relancée après la Seconde Guerre mondiale avec une quarantaine d'ouvriers. Les problèmes ne cesseront pas de s'accumuler et elle fermera définitivement ses portes en 1951 après un incendie qui la ravagera partiellement.

    Dans les années 1970, livrée au pillage, elle a fait l'objet d'un projet de conversion insensé, initié par des Chinois, mais est retournée à l'abandon après quelques travaux et défrichement.

    Cette usine contient toujours des fours à globe, témoins remarquables de cette fabrique de porcelaine. Ces fours sont d'ailleurs inscrits à l'inventaire des monuments historiques depuis 1985 car très peu de ce type de fours existe encore en France. Cette usine a été démolie en 2016.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[13].
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. « Les risques près de chez moi - commune de Farges-Allichamps », sur Géorisques (consulté le )
    8. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    9. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    10. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    11. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    12. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    13. Article R214-112 du code de l’environnement
    14. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    15. Jeanine Sodigné-Loustau, « L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43.
    16. Didier Arnold, Les réfugiés de la Guerre d'Espagne dans le Cher. 1936-1946, documents disponibles aux Archives départementales du Cher, Archives départementales du Cher, mis à jour en mars 2013, consulté le 25 mars 2013
    17. Alain Gardant, « L’enfance pendant les deux conflits mondiaux », L’enfance dans le Cher (1830-1945), consulté le 25 mars 2013, p. 3
    18. Geneviève Dreyfus-Armand, « Les enfants, ces oubliés de la diaspora républicaine espagnole », in Rose Duroux, Exils, passages et transitions : Chemins d’une recherche sur les marges, Presses universitaires Blaise Pascal, 2008, p. 35
    19. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 44.
    20. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44.
    21. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46.
    22. « Maires et adjoints déjà élus dans le canton », L'Echo du Berry (Édition du Cher), no 3124, , p. 14.
    23. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    24. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    29. « Château de la Brosse », notice no PA18000016, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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