Fos (Hérault)

Fos [fɔs] (en occitan Fòs ['fɔs]) est une commune française située dans le centre du département de l'Hérault, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Fos.

Fos

Façade du château.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté de communes Les Avant-Monts
Maire
Mandat
Francis Vabre
2020-2026
Code postal 34320
Code commune 34104
Démographie
Gentilé Fosséens
Population
municipale
126 hab. (2019 )
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 34′ 01″ nord, 3° 14′ 47″ est
Altitude Min. 171 m
Max. 464 m
Superficie 6,58 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Cazouls-lès-Béziers
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Fos
Géolocalisation sur la carte : France
Fos
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Fos
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Fos

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Thongue et par divers autres petits cours d'eau.

    Fos est une commune rurale qui compte 126 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. .

    Géographie

    Carte.

    Fos est un petit village datant du XIe siècle situé près d'un ravin. Il fait partie du canton de Roujan.

    • Superficie : 6.58 km2
    • Altitude minimale : 171 mètres
    • Altitude maximale : 464 mètres[1]

    Communes limitrophes

    Pézènes-les-Mines au nord, Roquessels au sud-ouest et Montesquieu au sud-est[Carte 1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[2].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 12,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 928 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bedarieux », sur la commune de Bédarieux, mise en service en 1991[7]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 008,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 41 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[11], à 15,4 °C pour 1981-2010[12], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[13].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[14],[15],[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Fos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[17],[I 1],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,9 %), zones agricoles hétérogènes (24,2 %), cultures permanentes (10,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Histoire

    Les premières mentions archivistiques de Fos remontent au milieu du XIème siècle (Foz en 1048 dans le cartulaire de la cathédrale de Narbonne, cité par Eugène Thomas dans son Dictionnaire topographique de l'Hérault paru en 1865). Au Moyen-Age et à l'époque moderne, la vie économique de la communauté s'articule autour des cultures vivrières, surtout les céréales mais aussi plus tardivement la châtaigne. Le territoire de la commune se compose en effet de collines et de plateaux sur lesquels s'épanouissent taillis et châtaigneraies. Les récoltes se voient ponctionnées dans le cadre de l'acquittement de la dîme par le chapitre de Cassan.

    La présence d'un château fortement remanié au centre du village rappelle l'existence des anciens seigneurs comme par exemple Pontius de Fos qui participe aux croisades au début du XIIème siècle ou Gabriel de Gep qui est fait chevalier de l'Ordre de Saint-Michel en 1576. En 1230, le seigneur cède une partie de ses droits à la communauté.

    La communauté de Fos est aussi identifiée sous la variante Foix en 1693. A noter également, que l'église du hameau de Paders, partie intégrante du territoire de Montesquieu, est rattachée à la paroisse de Fos (Dictionnaire topographique du département de l'Hérault d'Eugène Thomas, paru en 1865).

    A partir de 1790, la commune est dotée d'un conseil municipal et la communauté traverse la Révolution française et les changements de régimes politiques du XIXème siècle sans difficultés particulières. La vie politique s'organise autour de maires d'abord nommés puis élus

    La vie économique reste surtout liée à l'agriculture avec un essor de la viticulture au XIXème siècle. On produit par exemple 1150 hectolitres de vin en 1856. Mais seulement 500 hectolitres en 1892 signe que la crise viticole causée par le phylloxéra affecte le vignoble de la commune. Du début du XIXème et jusque dans les années 1970, la population décline progressivement : les habitants sont 229 en 1831 mais seulement 66 en 1982. Les évènements majeurs de l'Histoire de France au XXème siècle semblent n'affecter la commune qu'à la marge : Guerre de 1914-1918, crise Néanmoins, les progrès techniques portés par la Révolution industrielle modernisent le village. Dès la fin du XIXème siècle, de nombreux chemins sont aménagés et les réseaux d'adduction d'eau potable, d'assainissement ou d'électricité sont réalisés à partir des années 1950[1].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1989 En cours Francis Vabre SE-DVG Retraité Fonction publique
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].

    En 2019, la commune comptait 126 habitants[Note 5], en augmentation de 15,6 % par rapport à 2013 (Hérault : +7,63 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    160133164203229223212200189
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    182181173161162160146147134
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    167158149128127125133116116
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    10992696680968588110
    2014 2019 - - - - - - -
    103126-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Cheminée [du château] 1894

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 4]14,5 %19,1 %16,9 %
    Département[I 5]10,1 %11,9 %12 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 71 personnes, parmi lesquelles on compte 74 % d'actifs (57,1 % ayant un emploi et 16,9 % de chômeurs) et 26 % d'inactifs[Note 6],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 7]. Elle compte 22 emplois en 2018, contre 20 en 2013 et 27 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 42, soit un indicateur de concentration d'emploi de 51,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,6 %[I 8].

    Sur ces 42 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 12 travaillent dans la commune, soit 28 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 93,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    11 établissements[Note 7] sont implantés à Fos au [I 11]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 36,4 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 11 entreprises implantées à Fos), contre 14,1 % au niveau départemental[I 12].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations181186
    SAU[Note 8] (ha)12811812074

    La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[24]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la viticulture[Carte 3]. Six exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 10] (18 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 74 ha[26],[Carte 4],[Carte 5].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Chevet de l'église Saint-Jean.
    • Source de la Thongue.
    • Four banal.
    • Château.
    • Église Saint-Jean de Fos.
    • Fourches patibulaires de Fos

    Héraldique

    Les armoiries de Fos se blasonnent ainsi :

    De sable, au pairle losangé d'or et de sinople.


    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    8. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    9. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    10. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[25].
    • Cartes
    1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. « Fos - Accès thématique Communes de l'Hérault », sur Archives départementales de l'Hérault (consulté le )
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Bedarieux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Fos et Bédarieux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Bedarieux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Fos et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Fos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « Liste des ZNIEFF de la commune de Fos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Liste des espaces protégés sur la commune de Fos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    24. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    25. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    26. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Fos - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean-Pierre Blésès, Les effets de Fos en Languedoc-Roussillon, [s.l.], [s.n.], , 141 p.
    • Alfred Crouzat, Histoire de la ville de Roujan et du prieuré de Cassan : suivie d'une notice sur les diverses communes du canton, Béziers, Veuve Millet, , 284 p.
    • Luc Dejean, « Fos, à travers son compoix de 1636 (première partie) », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 7, , p. 98-121
    • Luc Dejean, « Fos, à travers son compoix de 1636 (deuxième partie) », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 8, , p. 57-68
    • Albert Fabre et Paul Rouville (de), Histoire de Fos, Montpellier, Firmin et Cabirou, coll. « Histoire populaire des communes du département de l'Hérault », , 24 p.
    • Albert Fabre, Roujan et les communes du canton : Fos - Fouzilhon - Gabian - Magalas - Margon - Montesquieu - Neffiès - Pouzolles - Roquessels - Vailhan, Montpellier, Impr. centrale du Midi-Hamelin frères, coll. « Histoire des communes de l'Hérault » (no XXVI), , 32 p. (lire en ligne)
    • Simone Maluski, « Saint-Jean-de-Fos : village de potiers », Cahiers d'Arts et traditions rurales, no 16, 2003-2005, p. 3-8

    Fonds d'archives

    Article connexe

    Liens externes

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