Frédéric Antonetti

Frédéric Antonetti, né le à Venzolasca (Haute-Corse), est un footballeur français devenu entraîneur.

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Frédéric Antonetti

Frédéric Antonetti en mai 2013, alors entraineur du Stade rennais.
Biographie
Nationalité Français
Naissance
Venzolasca (France)
Taille 1,83 m (6 0)
Période pro. 19821990
Poste Milieu de terrain
Parcours junior
Années Club
1972-1973 AS Vescovato
1973-1979 SÉC Bastia
1979-1982 INF Vichy
Parcours senior1
AnnéesClub 0M.0(B.)
1982-1983 SÉC Bastia002 00(0)
1983-1985 AS Béziers065 00(6)
1985-1987 CO Le Puy055 00(0)
1987-1990 SÉC Bastia057 00(6)
Équipes entraînées
AnnéesÉquipe Stats
1994-1998 SC Bastia64v 45n 56d
1998-1999 Gamba Osaka17v 00n 26d
1999-2001 SC Bastia30v 18n 30d
2001-2004 AS Saint-Étienne55v 30n 35d
2005-2009 OGC Nice62v 55n 55d
2009-2013 Stade rennais75v 43n 65d
2015-2016 LOSC Lille19v 11n 15d
2018 FC Metz14v 04n 04d
2020-2022 FC Metz19v 25n 31d
1 Compétitions officielles nationales et internationales.
Dernière mise à jour : 24 mai 2022

Biographie

Début en Corse puis à l’INF Vichy (1972-1983)

Il prend sa première licence à l’AS Vescovato à l’âge de onze ans avant de rejoindre un an après le SC Bastia où il gravit les échelons jusqu’à l’équipe réserve avec laquelle il évolue en division 3 à partir de la saison 1977-1978.

Après la saison 1978-1979 Frédéric décidera de quitter la Corse pour intégrer le centre de formation de l’INF Vichy. Pendant les trois années de formation, il aura entre autres pour partenaires de futurs grands joueurs comme Pascal Olmeta, Alain Casanova et Jean-Pierre Papin.

Sa formation terminée, Antonetti retourne en Corse afin de réintégrer le SC Bastia mais sa saison 1982-83 est maigre avec seulement deux matchs de D1 joués à cause d'une trop forte concurrence[1].

Départ pour Béziers (1983-1985)

Voyant qu’il aura du mal à se faire une place dans le club, Frédéric Antonetti décide de descendre à l’échelon inférieur pour pouvoir plus facilement percer. Il rejoint l'AS Béziers en même temps que le nouvel entraîneur du club, Jean-Pierre Destrumelle. Là, l’ancien Bastiais devient un titulaire indiscutable en disputant 35 rencontres, mais sans avoir de poste défini entre la défense et le milieu de terrain. Il passe deux saisons dans l’Hérault, le club luttant a chaque fois pour le maintien[1].

Le Puy (1985-1987)

Après deux ans à Béziers, il s'engage avec l'USF Le Puy, en Auvergne qui a accédé à la seconde division l'année précédente. Avec un effectif plus que correct, Antonetti et son nouveau club réalisent une formidable saison 1985-86 qui les verra terminer à une surprenante 7e position, ratant de cinq points la troisième place qui aurait permis de disputer les barrages pour l’accession en D1. La saison 1986-87 est très différente, le club lutte pour éviter le bas du classement[1].

Retour à Bastia (1987-1990)

Pendant l’été 1987, Antonetti réalise son rêve de revenir à Bastia afin de devenir titulaire. L'entraineur Roland Gransart le positionne comme sentinelle devant la défense et il réussit bien à ce nouveau poste, au point de marquer 4 buts en 31 matchs. Pour la saison 1988-89, Frédéric Antonetti perd sa place de titulaire et ne dispute que 22 rencontres, marquant 2 buts. Lors de la saison suivante en 1989-90, il est écarté du groupe professionnel et il évolue toute l’année avec la réserve bastiaise. Le cœur n’y est plus et à la fin de la saison, Antonetti prend la décision de raccrocher, à presque 29 ans, malgré les sollicitations de plusieurs clubs de D2[1].

Formateur puis entraîneur à Bastia (1990-1994)

À la fin de sa carrière, en 1990, Frédéric Antonetti intègre le centre de formation de l'équipe bastiaise, en D2 depuis 4 ans et échouant régulièrement en matches de barrage pour la montée. Beaucoup de jeunes joueurs renforceront l'équipe première, notamment après la catastrophe de Furiani (5 mai 1992) où l'équipe, sans stade et désargentée, doit s'appuyer sur la formation pour avancer : Morlaye et Ousmane Soumah, Mosali, Poggi, Maroselli, Casanova, Anziani, Rool et consorts sortiront l'équipe du piège prévisible, placé en 4e position de son groupe de D2 lui permettant d'accéder en 1993 à la nouvelle « Super D2 », à groupe unique (contre deux groupes auparavant). Pendant ce temps-là, le GFCO Ajaccio, dans le même groupe que le SC Bastia, finira en 11e position et devra redescendre en National. La saison suivante, sous la direction de Léonce Lavagne, le club arrache la 3e place derrière Nice et Rennes après une victoire face à l'AS Nancy, permettant au SCB de réintégrer la D1 alors abandonnée depuis 9 ans. Directeur du centre de formation, Antonetti voit son travail reconnu au plus haut niveau.

Le travail de Frédéric Antonetti ne prend toutefois sa reconnaissance qu'en 1994-1995 : la première saison de D1 du club voit Léonce Lavagne débarqué en octobre, après une défaite à domicile contre le Stade rennais. Le Sporting proche de la relégation, c'est Frédéric Antonetti qui prend le relais pour une aventure longue d'une demi-douzaine d'années. Cette première saison, Antonetti emmène le club en finale de la nouvelle formule de la Coupe de la Ligue, ressuscitée par la Ligue nationale de football avec une défaite jugée injuste (0-2) face au Paris Saint-Germain (avec un but pourtant valable d'Anto Drobnjak qui est refusé). Deux fois maintenu à la 15e place, c'est sous sa direction que le club retrouve ses heures de gloire : avec son nez creux et son association avec Villanova au recrutement, le club arrive à la 7e place du championnat en 1996-97 et accède à la Coupe Intertoto, qu'il remportera durant une finale aller-retour épique contre l'équipe suédoise d'Halmstads BK (1-0 en Suède et 1-1 après prolongation à Furiani sur un but d'Ousmane Soumah qui lui coûtera des fractures des cervicales). Après s'être qualifié contre le Benfica Lisbonne (0-0, 1-0, but de Pierre-Yves André), c'est devant le Steaua Bucarest que le SCB s'arrête, au bénéfice des buts inscrits à l'extérieur (0-1, 3-2) pour les Roumains. Cette saison fut la plus aboutie de Frédéric Antonetti à Bastia, qu'il amène à la 9e place du championnat et qualifie à nouveau pour la Coupe Intertoto, dont il se fera sortir sans gloire en 1/2 finale par les Yougoslaves du Vojvodina Novi Sad (2-0, 0-4).

Une expérience au Japon (1998-1999)

De juillet 1998 jusqu'à juillet 1999, il entraine le club du Gamba Osaka, évoluant en J-League (la première division japonaise). Il y vient en compagnie d'Anto Drobnjak. Soucieux d'une nouvelle expérience, il y coachera Patrick Mboma, attaquant des Lions Indomptables du Cameroun, et retient de cette saison en Asie un souvenir inoubliable malgré l'absence de titre.

Retour en Corse (1999-2001)

Après une saison bastiaise 1998-1999 chaotique, où se succèdent Henryk Kasperczak, Laurent Fournier et José Pasqualetti sur le banc d'un Sporting en pleine déliquescence, Frédéric Antonetti revient à Bastia, après son expérience à Osaka, ramenant avec lui du Japon Nebojša Krupniković et David Mazzoncini. Dès lors, le maintien sera toujours obtenu à quelques journées avant la fin du championnat, offrant de plus quelques matches références et l'intégration de jeunes joueurs actuellement titulaires en D1, formés ou non au club ou non, comme Pascal Berenguer, Nicolas Penneteau, François Modesto, Franck Jurietti, David Ducourtioux :

  • Victoire en prolongations à Lyon, en Coupe de la Ligue 2000, grâce à un but de Frédéric Née et un penalty stoppé à la 123e minute par Éric Durand, lors d'une saison où le Sporting n'a remporté aucun match à l'extérieur depuis 16 mois.
  • Défaite 1-2 contre le Paris-Saint-Germain qui ferme la porte à une participation européenne à deux journées de la fin, alors que le Sporting Club de Bastia était 5e et invaincu à domicile.

Ces matchs démontrent les qualités premières d'Antonetti : meneur d'hommes qui ne mâche pas ses mots et n'hésite pas à engueuler ses joueurs (par exemple Yann Lachuer totalement secoué par un Antonetti fou de rage en 1999-2000), il leur demande un esprit combattant et un comportement guerrier dans lequel les qualités techniques permettent des contres rapides. Tactiquement, il a progressivement glissé du 4-3-3 au 5-3-2 avec deux ailiers de débordement et trois milieux défensifs-relayeurs pour jouer rapidement sur les phases de jeu non arrêtées.

En janvier 2000, face au relégable strasbourgeois, les Bastiais sont menés au score et réduits à 10 après 20 minutes de jeu, à la suite de l'expulsion injustifiée de Pierre-Yves André par l'arbitre, M. Viléo. Peu après ces faits de match, l'arbitre-assistant réprimande Antonetti qui se lève de son banc et lui dit sa façon de penser, le bousculant légèrement l'arbitre-assistant, qui appelle l'arbitre central qui exclut Frédéric Antonetti, obligé de rejoindre les vestiaires. C'est son assistant Jean-Marie de Zerbi qui va alors gérer l'équipe en communiquant avec Antonetti, installé dans les tribunes par talkie-walkie. Les joueurs, eux, se révoltent sur le terrain, avec un Pierre Laurent transformé, qui permet à Bastia de s'imposer 3-1 sur les Alsaciens. La commission de discipline de la Ligue nationale de football suspend l'entraîneur bastiais avec 6 mois d'interdiction de touche, peine ramenée en appel à 3 mois en avril. Durant cette période, l'équipe se délite, malgré une victoire prestigieuse à Rennes (1-2) (sur un magnifique lob de Frédéric Née qui fixe Bernard Lama), et se contente de la Coupe Intertoto après un festival contre Toulouse (5-1) après avoir lutté pour une qualification en Coupe de l'UEFA toute la saison.

Mais au-delà de la sanction disciplinaire, c'est le manque d'ambitions du président François Nicolaï qui pousse Antonetti à quitter Bastia.

Deux ans et demi à Saint-Étienne (2001-2004)

En 2001, l'AS Saint-Étienne est en position de relégable et limoge son entraineur Alain Michel. Le club est aussi dans une mauvaise situation financière. La direction décide alors de faire appel à Frédéric Antonetti. Son arrivée va marquer une mue du club. Il arrive avec Christian Villanova qui va réussir à effectuer un recrutement convaincant à coup de prêts (à cause du déficit du club, les recrutements ayant été interdits par la DNCG). Sauvé de justesse d'une relégation en National à la fin de la saison 2001-2002, le club ne va cependant pas retrouver tout de suite la réussite. En effet, malgré l'électrochoc, la saison suivante n'est pas exemplaire avec en point culminant une défaite 3-0 au stade Geoffroy-Guichard face au Football Club de Gueugnon en janvier 2003. Mais, alors que l'horizon semble de nouveau s'obscurcir, Frédéric Antonetti augmente encore sa pression sur ses joueurs et augmente sa confiance dans les jeunes joueurs (Hérita Ilunga, Julien Sablé et Jérémie Janot notamment). La tactique est payante et l'énergie insufflée par Antonetti à des effets inespérés car les Verts sont champions de L2 dès l'année suivante, la saison 2003-2004, en accrochant notamment une demi-finale de Coupe de la Ligue (20° : (L2) ASSE 2-0 FC Sochaux (L1), 120° : ASSE 2-3 FC Sochaux). Mais la différence de point de vue, jusqu'alors cachée, entre les actionnaires du club (Bernard Caïazzo en tête) et la direction en place Thomas Schmider (président de l'époque), Christian Villanova et Frédéric Antonetti, apparait au grand jour. Le divorce est rapide et la direction sportive quitte le club juste promu malgré les protestations des supporters (plus de 500 d'entre eux manifesteront devant le stade les jours suivants cette décision de départ). C'est le début de l'ère Caïazzo-Baup à l'ASSE. Malgré son départ du club, Frédéric Antonetti vivra à Saint-Étienne jusqu'à fin 2005, date de son départ pour l'OGC Nice.

OGC Nice (2005-2009)

Avec Nice, sa première saison est une réussite puisqu'il permet au club d'une part, d'obtenir son meilleur classement en Ligue 1 depuis plus de 20 ans (8e), d'autre part, d'accéder à la finale de la Coupe de la Ligue (défaite 2-1 contre Nancy). La saison 2006-2007 est moins bonne, le club se sauvant de justesse de la relégation. La saison suivante, le championnat se déroule parfaitement pour Frédéric Antonetti et l'OGC Nice. Les nouvelles recrues s'adaptent très bien au club, notamment David Hellebuyck (recruté pour moins d'un million d'euros) et Vincent Hognon (recruté gratuitement). On peut cependant regretter les départs de Marama Vahirua (pour à peine plus d'un million) et surtout de David Bellion vendu seulement 2 millions à Bordeaux et qui explose sous son nouveau maillot. Mais le club se classe très vite dans les 5 premiers tout le long du championnat. La fin de saison est très serrée et Frédéric Antonetti rate de peu une qualification pour la Coupe Intertoto. La dernière saison au club est plus compliquée avec notamment une élimination en demi-finale de la Coupe de la Ligue contre le Vannes OC.

Stade rennais (2009-2013)

Le 2 juin 2009, Frédéric Antonetti s'engage pour deux ans avec le Stade rennais, succédant ainsi à Guy Lacombe. Lors de sa première saison, Rennes termine à la 9e place au classement de Ligue 1. Lors de la saison 2010-2011, le Stade rennais passe la grande majorité de la saison sur le podium de Ligue 1, mais termine finalement sixième[2] et se qualifie pour la Ligue Europa grâce au report des places européennes des premières équipes déjà qualifiées pour la ligue des champions et vainqueurs des coupes nationales. Le 12 avril 2011, il prolonge son contrat de deux saisons[3]. Pour la saison 2011-2012 il mise sur la continuité. Le Stade rennais termine également sixième, et échoue en demi-finale de la Coupe de France, au stade Michel-d'Ornano de Caen, face aux amateurs de l'US Quevilly, pensionnaires du championnat de France de National.

En 2012-2013, enfin, il dispute une troisième finale de Coupe de la Ligue avec un troisième club différent, la première de l'histoire du Stade rennais mais le le Stade rennais perd cette finale, face à l'AS Saint-Étienne.

Le , l'entraîneur corse annonce qu'il renonce à prolonger son contrat, celui-ci arrivant à échéance en juin 2013[4]. Il est remplacé par Philippe Montanier, 4e de Liga avec la Real Sociedad l'année précédente.

LOSC (2015-2016)

Après presque deux ans et demi sans entrainer, il est nommé le 22 novembre 2015, entraîneur de Lille jusqu'en juin 2017, chargé de relancer le LOSC englué dans le bas du classement. Il succède à Hervé Renard qui n'a pas réussi à convaincre ses dirigeants mais également les spectateurs, en raison d'un jeu jugé trop terne. Antonetti enchaîne une série de trois victoires en quatre matchs, soit plus que Renard, qui n'en comptait que deux sur douze matchs. En avril, Antonetti perd sa quatrième finale de coupe de la Ligue face au Paris Saint-Germain (2-1). Le 14 mai, Lille devient européen, prenant la cinquième place en championnat, à la suite de sa victoire face à Saint-Étienne. C'est le meilleur résultat du club nordiste depuis 2 ans.

En septembre 2016, son contrat est prolongé jusqu'à 2020[5].

Deux mois plus tard, le alors que Lille pointe à la 19e place de Ligue 1 après 13 journées, son contrat est résilié[6]. Il est remplacé par Patrick Collot qui assurera l'intérim, avant que Franck Passi n'arrive à l'hiver pour terminer la saison et surtout préparer la transition et le nouveau projet du club incarné par l'intronisation de Marcelo Bielsa.

FC Metz (2018-2019)

Le , il devient l’entraineur du FC Metz qui évolue en Ligue 2, en signant un contrat de trois ans[7].

Son début de saison commence parfaitement puisque le FC Metz remporte ses sept premiers matchs de championnat respectivement face à Brest, Orléans, Clermont, Ajaccio, Troyes, Lens et Béziers. Par la même occasion, il bat le record de victoires de suite en début de championnat depuis l'instauration de la poule unique en deuxième division en 1992. Le 20 mai 2019, Frédéric Antonetti est remplacé par Vincent Hognon pour rester au chevet de sa femme malade. Il demeure néanmoins manager général du club messin[8].

Retour au FC Metz (2020-2022)

Vingt-trois mois après être reparti en Corse pour s'occuper de sa femme malade et décédée récemment, d’où il avait exercé les fonctions de manager général sportif du FC Metz, Frédéric Antonetti reprend son poste d’entraîneur principal de l’équipe professionnelle le [9].

Le 18 février 2021, il est prolongé officiellement jusqu'en 2024 pour trois saisons. [10]. Le 9 juin 2022, après la relégation de Metz en Ligue 2, le club se sépare de Frédéric Antonetti[11].

Statistiques d'entraîneur

Statistiques d'entraîneur de Frédéric Antonetti au 19 mai 2021
Club Début Fin Résultats
M V N D V. %
SC Bastia 2 octobre 1994 13 mai 1998 165 64 45 56 38,7
Gamba Osaka 14 mai 1998 1er juin 1999 53 16 10 27 30,1
SC Bastia 1er juillet 1999 31 mai 2001 78 30 18 30 38,4
AS Saint-Étienne 9 octobre 2001 2 juin 2004 120 55 30 35 45,8
OGC Nice 1er juin 2005 2 juin 2009 171 62 55 54 36,2
Stade Rennais 2 juin 2009 1er juillet 2013 183 75 43 65 40,9
Lille OSC 22 novembre 2015 22 novembre 2016 45 19 11 15 42,2
FC Metz 24 mai 2018 17 décembre 2018 22 16 2 4 72,8
FC Metz 12 octobre 2020 en cours 59 16 18 25 27,1
Total 896 353 232 311 39,4

Palmarès

Médias

De novembre 2008 à juin 2009 (arrêt de la publication), il est chroniqueur pour le quotidien Aujourd'hui Sport.

Il devient par la suite consultant sportif pour l'émission J+1 sur Canal+ présentée par Stéphane Guy[12].

Entre 2017 et 2018, il est chroniqueur dans le Canal Football Club, émission présentée par Hervé Mathoux tous les dimanches soir sur Canal+.

Notes et références

  1. Fiche de Frédéric Antonetti, sur afterfoot.fr
  2. Classement de Ligue 2010-11
  3. Frédéric Antonetti prolonge son contrat www.staderennais.com 12 avril 2011
  4. « Antonetti partira en fin de saison », sur lequipe.fr, (consulté le )
  5. Joël DOMENIGHETTI, à Camphin-en-Pévèle @jdomenighetti, « Frédéric Antonetti prolongé à Lille : «Un signe de grande confiance» » (consulté le )
  6. P. Iv., « Frédéric Antonetti n'est plus l'entraîneur de Lille », L'Equipe.fr, (lire en ligne, consulté le )
  7. «Officiel : Frédéric Antonetti est grenat»
  8. « Metz : Frédéric Antonetti sera manager général, Vincent Hognon entraîneur - Foot - L1 - Metz », sur L'Équipe (consulté le )
  9. « Frédéric Antonetti reprend sa place », sur fcmetz.com (consulté le )
  10. « Frédéric Antonetti (FC Metz), qui arrive en fin de contrat, va prolonger », sur https://www.lequipe.fr,
  11. https://www.footmercato.net/a8239414729241692525-le-fc-metz-se-separe-de-frederic-antonetti
  12. Antonetti s'éclate sur Canal +, www.metronews.fr

Liens externes

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