Georges-Louis Bouchez
Georges-Louis Bouchez (abrégé GLB), né le à Frameries, est un homme politique belge libéral. Diplômé en droit, il se lance en politique en 2006. Il est conseiller communal de Mons en 2018, ville où il avait déjà assumé la fonction d’échevin. En 2019, il devient sénateur coopté et est élu président du Mouvement réformateur.
Pour les articles homonymes, voir GLB.
Georges-Louis Bouchez | |
Fonctions | |
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Président du Mouvement réformateur | |
En fonction depuis le (2 ans, 9 mois et 6 jours) |
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Élection | |
Prédécesseur | Charles Michel |
Sénateur coopté | |
En fonction depuis le (3 ans, 1 mois et 23 jours) |
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Législature | 55e |
Député au Parlement wallon | |
– (1 an, 5 mois et 24 jours) |
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Prédécesseur | Jacqueline Galant |
Successeur | Jacqueline Galant |
Député de la Fédération Wallonie-Bruxelles | |
– (1 an, 5 mois et 10 jours) |
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Prédécesseur | Jacqueline Galant |
Successeur | Jacqueline Galant |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Frameries (Belgique) |
Nationalité | Belge |
Parti politique | MR |
Diplômé de | Université Saint-Louis - Bruxelles ULB |
Profession | Avocat |
Biographie
Enfance et études
Né à Frameries le de parents commerçants indépendants[1], Georges-Louis Bouchez est le petit-fils d’un mineur et d’un militaire, avec des origines italo-belges[2]. Après avoir vécu successivement à Colfontaine et Quaregnon, il commence son parcours scolaire à l’école des Cannoniers à Mons où il effectue toutes ses primaires de 1992 à 1998.
Il poursuit en réalisant ses études secondaires au Collège Saint-Stanislas à Mons où il est diplômé en 2004. Au sortir de ses études. Il ne parle pas le néerlandais par la faute, selon lui du système éducatif wallon[3].
Après un bachelier en droit et une mineure en sciences politiques à l'Université Saint-Louis - Bruxelles de 2004 à 2007, il obtient deux ans plus tard une maîtrise en droit à l’Université libre de Bruxelles, en finalité droit public[4]. Son travail de fin d’études, sous la direction du professeur Marc Uyttendaele, portait sur l’affaire Fortis[5].
Divers
Depuis mai 2020, Georges-Louis Bouchez est président du club de football Royal Francs Borains (RFB), club de D1 amateurs du Borinage[6].
Parcours politique
Premiers pas
En 2009, il est engagé au Cabinet du Vice-Premier ministre et ministre des Finances, Didier Reynders, comme conseiller. Concurremment, en 2010, il devient assistant en droit aux Facultés universitaires Notre-Dame de la Paix à Namur. Un an plus tard, il est nommé comme chargé d’exercices en droit à l’UMons[5].
En , à la suite de la formation du nouveau gouvernement, Georges-Louis Bouchez devient conseiller au Cabinet du Vice Premier Ministre et Ministre des Affaires Étrangères, Didier Reynders[4].
Les débuts dans la politique locale
En 2006, il est candidat pour la première fois sur la liste communale MR à Mons. Positionné en quatorzième position sur cette liste et obtenant 397 voix[7], il rate de quelques voix un siège au conseil communal montois[8]. En 2010, il est huitième sur la liste du Sénat.
En 2012, il est élu par les membres du Mouvement réformateur de la section de Mons pour être tête de liste aux élections communales de 2012[9]. Grâce au soutien des Montois, qui lui permettent de se prévaloir d’un score personnel de 2 550 voix[10], il devient Échevin des Finances, du Budget, de l’Emploi, du Développement durable et de l’Informatique de la cité du Doudou dans un collège PS-MR mené par Elio Di Rupo.
Lors des élections régionales en 2014, il est candidat à la première suppléance[11] et réalise le deuxième score de la liste MR pour la circonscription de Mons (4 535 voix)[12]. En , il est désigné Député wallon et de la Fédération Wallonie-Bruxelles en remplacement de Jacqueline Galant devenue ministre fédérale chargée de la mobilité.
L'année 2016
Après plusieurs controverses[pas clair], Jacqueline Galant annonce sa démission du gouvernement Michel le [13]. De facto, Georges-Louis Bouchez perd son mandat de député wallon et de la Fédération Wallonie-Bruxelles[14]. Quatre jours plus tard, coup de théâtre à Mons où Georges-Louis Bouchez devait retrouver son mandat d'Échevin: le bourgmestre Elio Di Rupo décide de rompre le pacte de majorité[15] alors que les deux partis étaient en coalition depuis 2000. Il remplace les libéraux par le cdH. Georges-Louis Bouchez redevient simple conseiller communal.
En , il devient le «Délégué général à l’animation et à la prospective» du Centre Jean Gol, le think tank libéral. On parle de lui plutôt comme du 'Délégué général du Mouvement réformateur'[16]. Il est chargé d’organiser le débat dans les sections locales, d'agiter les idées et de trouver des pistes nouvelles pour les bleus[8]. Il défend la suppression du vote obligatoire face à Louis Michel au congrès doctrinal du Mouvement réformateur fin 2016 – perdant par 43% des voix contre 57%[17]. Il prône l’allocation universelle[18]. Il réfléchit à la taxation sur les robots non délocalisables[19]. Il propose un second tour aux élections pour permettre aux citoyens de choisir parmi les coalitions mathématiquement possibles[20]. Il rédige une proposition visant à réprimer la banalisation du régime nazi[21].
En tant que délégué général, Georges-Louis Bouchez doit aussi «vendre» l’action du gouvernement fédéral dans la presse et en télévision[8].
Au niveau local
Lors des élections communales de 2018, le Mouvement réformateur ne se porte pas très bien en Hainaut ni à Mons où les libéraux ne sont crédités que de 18% des intentions de vote[22]. Georges-Louis Bouchez décide de créer la surprise : il ne se présentera pas sous le sigle du Mouvement réformateur. Il élabore une liste pluraliste qu'il baptise «Mons en Mieux!». Des membres du cdH (dont Opaline Meunier[23]), du PS et d'Ecolo le rejoignent. Des délégués syndicaux FGTB et CSC[24] ainsi que 25 citoyens sans appartenance politique font partie de l'aventure[25]. Le pari est réussi. Mons en Mieux obtient près de 22% des voix alors que le cartel PS-Citoyen perd plus de 15% des suffrages comparativement aux résultats des élections communales de 2012[26]. La liste de GLB obtient 11 sièges. Georges-Louis Bouchez réalise le troisième score en termes de voix de préférence de la ville (4 976 voix)[27].
Toutefois, le , le PS et Ecolo décident de former un pacte de majorité et d'écarter ainsi GLB et ses colistiers du collège des bourgmestre et échevins[28].
Au niveau fédéral
Le , le Président du Mouvement Réformateur, Charles Michel, nomme Georges-Louis Bouchez en tant que porte-parole de la campagne électorale du Mouvement réformateur en rappelant qu'il porte déjà régulièrement la parole du MR dans les médias et dans de nombreux débats[29].
Lors des élections fédérales du , Georges-Louis Bouchez est placé en quatrième position sur la liste fédérale du MR pour la circonscription hennuyère. Cette place est considérée par beaucoup comme un ballotage tant les sondages sont en berne pour les libéraux[30]. Il obtient tout de même 16 522 voix dans la province de Hainaut, ce qui constitue le second meilleur score en nombre de voix de préférence, mais n'est pas élu à cause de l'effet dévolutif de la case de tête. Il devient néanmoins sénateur coopté du MR[31],[32]. Il prête serment le [33]. Quatre mois plus tard, il signait et déposait, avec son chef de groupe Gaëtan Van Goidsenhoven, une proposition de loi spéciale vouée à étendre le droit de vote des Belges de l'étranger aux élections régionales[34]. Georges-Louis Bouchez a également cosigné la proposition de résolution visant une meilleure couverture vaccinale en Belgique[35].
Début , Georges-Louis Bouchez se présente à la succession de Charles Michel comme président du Mouvement Réformateur[36]. Cinq candidats sont en lice : Clémentine Barzin, Georges-Louis Bouchez, Denis Ducarme, Christine Defraigne et Philippe Goffin. Le , Bouchez est élu président du Mouvement réformateur avec 62% des votes, après un second tour face à Denis Ducarme[37]. À la tête du MR, il décide de réformer les statuts du parti, inchangés depuis la fusion PRL-MCC-FDF de 2002, afin de le démocratiser et d’instaurer la parité femme/homme dans tous les organes du parti[38]. Il s'engage également à changer le nom du mouvement pour accentuer son identité libérale[39].
2019-2020, suite des élections fédérales
Le , la Belgique votait lors d'élections législatives fédérales. Celles-ci modifient fortement les rapports de forces politiques. Selon la tradition belge, le roi nomme des informateurs pour essayer de former une majorité. Plusieurs équipes se suivent sans aboutir.
Le , Georges-Louis Bouchez est désigné informateur royal par le roi Philippe aux côtés de Joachim Coens, président du CD&V[40]. Ils sont la cinquième équipe chargée de cette mission. Ils doivent résoudre la crise politique qui persiste depuis les élections fédérales du . Joachim Coens et Georges-Louis Bouchez sont déchargés de cette mission le , sans avoir pu trouver de consensus.
Comme président du MR, Georges-Louis Bouchez est le négociateur principal pour ce parti lors des missions d'information menées par les quatre équipes qui ont suivi sa mission. Il accepte le compromis élaboré par Egbert Lachaert et Conner Rousseau[41], ce qui ouvre la voix à la mission de formation menée par Paul Magnette et Alexander De Croo, qui forment un gouvernement dirigé par Alexander De Croo.
Incident sur le casting ministériel
Pour siéger dans le nouveau gouvernement De Croo, Georges-Louis Bouchez propose deux ministres : Sophie Wilmès — ancienne Première ministre — et David Clarinval, anciennement ministre de la Fonction publique, ainsi qu'un secrétaire d'État, Mathieu Michel, président du collège provincial du Brabant wallon, fils de Louis Michel et frère de Charles Michel[42]. Il nomme également Denis Ducarme comme ministre à la place de Valérie De Bue au parlement wallon, mais doit rapidement revenir en arrière car une règle interne impose au moins un tiers de ministres féminines.[43].
Plusieurs élues du MR montrent leur soutien à Valérie De Bue[44]. Cet épisode crée un malaise au sein du MR, certains cadres du parti reprocheront le manque de concertation et de collégialité autour des nominations[45]. Le 6 octobre 2020, Georges-Louis Bouchez présente ses excuses dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux et rappelle la réforme des statuts du parti qu'il avait entreprise avant cette crise[46]. Pour mettre un terme à la crise interne, les cadres du parti décident de mettre sur pied, en accord avec Georges-Louis Bouchez, un «G11» dont le but est de créer une instance de discussion des décisions et assurer un meilleur échange d'information entre les différents acteurs du Mouvement Réformateur[47]. Ce G11 ne s'est plus réuni depuis sa création[48].
Prises de position
Communautarisme
Georges-Louis Bouchez se revendique d’être d’une droite populaire, qu’il oppose à la droite populiste qu’il accuse de n'apporter aucune solutions concrètes et être dans le slogan; il utilise aussi le qualificatif de « droite camping-car »[49]. Il définit la droite populaire comme étant une droite qui assume ses choix et impose ses thèmes, comme celui de la sécurité et de la fiscalité. Il déplore que les débats fassent souvent place à des minorités bruyantes ou enjeux qui ne sont pas ceux ressentis au niveau de la population, comme notamment celui, selon lui, du conflit israélo-palestinien[50].
En juillet 2021, une polémique éclate à Anderlecht, à la suite de la décision d’autoriser le burkini à la piscine publique communale ainsi que d’autoriser des heures réservées aux femmes. Georges-Louis Bouchez s’indigne de cette décision et fustige la « folie communautariste »[51]. Il en appelle à la secrétaire d’État Sarah Schlitz pour que celle-ci intervienne, voyant en cette décision une « mise à mal de nos valeurs »[52].
En août 2021, à la suite du retrait des troupes américaines d'Afghanistan, Georges-Louis Bouchez dit craindre le sort des afghans et plus particulièrement des femmes afghanes. Il qualifie ce retrait par les Etats-Unis de « faute », il redoute également une augmentation de la pression migratoire sur l’Europe qui, selon lui, risque de faire le lit des populistes. À cette occasion, il accuse les médias belges de faire preuve de trop de complaisance à l’égard du président Joe Biden, dont il estime qu’il applique une mauvaise décision en se désengageant d'Afghanistan[53].
Chômage longue durée
En septembre 2021, il propose que les chômeurs de longue durée (plus de deux ans), qui refuseraient une formation et/ou emplois dans un métier en pénurie, doivent pouvoir être sanctionnés. George-Louis Bouchez s’étonne qu’il y ait plus de 200.000 chômeurs en Wallonie alors qu’il y a plus de 125 métiers en pénurie de main-d’œuvre[54]. Quelques jours plus tard, il fait part de sa stupéfaction face aux propos de Thierry Bodson, président du syndicat la FGTB qui avait déclaré : « Les jeunes ne se voient plus travailler après 55 ans »[55]. À la suite de ces propos, Georges-Louis Bouchez s’est interrogé : « Quand je vois les montants que les syndicats reçoivent pour gérer les allocations de chômage et pour faire de la formation professionnelle, je me demande si les syndicats n'ont pas un incitant à maintenir un certain volume de demandeurs d'emploi. Pour le moment la gestion du chômage pour certaines personnes, c'est très rentable ! »[56]. Il affirme aussi que les organisations syndicales devraient moins défendre les chômeurs et davantage inciter les gens à reprendre le travail[57].
Octroi d’une allocation "Capital jeunesse" de 25.000 euros aux 18-25 ans
Il annonce le avril 2022, lors du meeting de son parti en région liégeoise: l’octroi d’un "Capital jeunesse" de 25.000 euros aux 18-25 ans qui serait en partie financée par le transfert des allocations familiales qui permettrait aux jeunes d’accéder à la propriété, de lancer une entreprise ou encore de financer des études[58],[59].
Critiques
En , le quotidien Het Belang van Limburg le décrit comme d’un « maître en sabotage, le Sarkozy de la rue de la Loi qui se voit plus grand qu’il n’est »[60],[61].
Georges-Louis Bouchez est critiqué pour sa mauvaise compréhension et sa pratique du néerlandais en négociations[62],[63].
Le , Georges-Louis Bouchez déclare : « Valérie Pécresse a été chiraquienne, sarkozyste, macroniste et maintenant elle ressort le karcher. J'ai plus de respect pour Zemmour que pour Pécresse. Je préfère quelqu'un dont je combats les idées mais qui au moins a une cohérence dans ses idées que quelqu'un qui selon la courbe du sondage change d'avis tout le temps », avant de préciser : « Je voterais Macron, même s'il m'a beaucoup déçu. »[64].
Cette déclaration est notamment dénoncée quelques jours plus tard par Denis Ducarme qui la qualifie comme créant un profond malaise et regrettant que le président de son parti « encense l'extrémiste Éric Zemmour »[65].
Le vendredi , le député bruxellois Ecolo Ahmed Mouhssin critique également les propos tenus sur Éric Zemmour : « Avec son discours scandaleux qui remet en question l'islamophobie et qui soutient Éric Zemmour, il polarise la société. Ce genre de discours fait que l'on porte atteinte à la solidarité » [66].
Le , le ministre fédéral belge de la Justice Vincent Van Quickenborne déclare dans le journal flamand Het Laatste Niews que « Georges-Louis Bouchez aboie pendant que nous agissons ». Il qualifie Georges-Louis Bouchez comme étant quelqu'un qui « revient toujours au passé » et dit sur le MR que « ce n'est pas le Mouvement réformateur, mais plutôt le Mouvement réactionnaire »[67].
Le 6 mars 2022, lors d’un évènement du MR à Namur, Georges-Louis Bouchez se fait « enfariner » par des militants Gilets Jaunes[68].
Le 21 avril 2022. il débat avec le président du Vlaams Belang au cours de l’émission « Ter Zake » sur la VRT. Ce débat se voulait une sorte de réplique du débat Macron-Le Pen diffusé le jour précédent sur les chaînes françaises avant le deuxième tour de l’élection présidentielle. Le choix de GLB a été immédiatement critiqué car il s’apparente à une rupture du cordon sanitaire médiatique à l’égard de l’extrême droite auquel ont souscrit tous les partis francophones de Belgique[69],[70].
Controverse
En , le journal Le Vif fait remarquer que Georges-Louis Bouchez se trouve dans une situation illégale depuis l'été 2019 en cumulant son poste de président du parc de découverte scientifique le SparkOH! et son poste de sénateur[71].
Alors que GLB déclare que « il y a des dizaines de fonctionnaires qui ont estimé que ce n'était pas un problème », c'est normalement aux élus de vérifier que leur situation est conforme à la loi. Lors de sa campagne pour la présidence du MR, GLB avait d'ailleurs promis qu'il quitterait son poste de sénateur coopté s'il accédait à ce poste, ce qu'il n'a pas fait depuis[71].
Le , Georges-Louis Bouchez décide de renoncer à son mandat de président du SparkOH! afin de rester sénateur coopté. Alors que ce cumul de mandat illégal n'est pas qualifié comme étant « l’affaire du siècle », elle reflète néanmoins les tensions générées autour des actes de GLB. Le député provincial PS Pascal Lafosse déclare notamment que Georges-Louis Bouchez « se place de manière inacceptable au-dessus de la loi et donne le sentiment que celle-ci ne doit s’appliquer qu’aux autres, et non à lui »[72],[73].
Publication
- L'Aurore d'un monde nouveau, Éditions du CEP, (ISBN 978-2390070313)
Notes et références
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- « Qui suis-je? | Georges-Louis Bouchez » (consulté le )
- « Qui suis-je », sur Georges-Louis Bouchez (consulté le )
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- Par Kevin Dupont et Samedi 3 juillet 2021-15:23 Temps de lecture : 0 minutes, « Polémique de la piscine d’Anderlecht: que disent les sociologues sur le burkini? », sur Moustique.be (consulté le )
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- Nicolas De Decker, « Enorme bourde libérale : Georges-Louis Bouchez ne peut pas cumuler la présidence de Sparkoh ! (ex-PASS) et son siège de sénateur », sur Site-LeVif-FR, (consulté le )
- « Georges-Louis Bouchez renonce à la présidence de Sparkoh! à Frameries », sur Le Soir, (consulté le )
- « Georges-Louis Bouchez a choisi : il quitte la présidence du Sparkoh! pour rester au Sénat », sur RTBF (consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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