Courbillac

Courbillac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine) formée des deux anciennes paroisses de Courbillac et d'Herpes.

Courbillac

La mairie de Courbillac.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté de communes du Rouillacais
Maire
Mandat
Gilles Ripoche
2020-2026
Code postal 16200
Code commune 16109
Démographie
Gentilé Courbillacais
Population
municipale
763 hab. (2019 )
Densité 64 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 46′ 07″ nord, 0° 10′ 46″ ouest
Altitude Min. 25 m
Max. 70 m
Superficie 11,83 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Val de Nouère
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Courbillac
Géolocalisation sur la carte : France
Courbillac
Géolocalisation sur la carte : Charente
Courbillac
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Courbillac
Liens
Site web www.courbillac.com

    Ses habitants sont les Courbillacais et les Courbillacaises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Courbillac est une commune située à l'ouest du département de la Charente, limitrophe de la Charente-Maritime. C'est la plus occidentale des communes du canton de Rouillac.

    Elle est à km à l'ouest de Rouillac, 10 km au nord de Jarnac, 14 km au nord-est de Cognac et 29 km d'Angoulême[2].

    À l'écart des grandes routes, la commune de Courbillac est traversée du sud au nord par la D.1, de Sigogne à Neuvicq-le-Château[3].

    Le bourg de Courbillac est situé dans une large plaine traversée par le Tourtrat.

    Hameaux et lieux-dits

    Le village d'Herpes est situé sur une hauteur, à deux kilomètres au nord du bourg. Il s'est créé à proximité du croisement de deux voies antiques, celle allant de Brioux-sur-Boutonne à Jarnac qui croisait au sud la voie romaine d'Agrippa de Saintes à Lyon.

    Le hameau du Bourg des Dames est situé sur la route de Sigogne à Neuvicq; son nom vient de ce qu'il était une ancienne dépendance d'un couvent de femmes.

    On peut encore citer : Petit Beauvais, sur le Tourtrat, le Pont d'Herpes et le Souterrain[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune occupe une plaine calcaire datant du Portlandien (Jurassique supérieur). Dans une grande moitié à l'ouest du Tourtrat, débute la plaine du Pays Bas, ancienne zone lagunaire du Purbeckien (fin du Jurassique), plus riche en gypse et en argile. La vallée du Tourtrat est occupée par des alluvions du Quaternaire[4],[5],[6].

    Le relief de la commune est celui d'une plaine légèrement inclinée vers le sud-ouest, avec de légères hauteurs au nord-ouest et à l'est. La vallée du Tourtrat qui traverse la commune du nord au sud est faiblement marquée.

    Le point culminant de la commune est à une altitude de 70 m, situé sur la limite orientale. Le point le plus bas est à 25 m, situé sur la limite occidentale. Le bourg est à environ 40 m d'altitude[3].

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de Courbillac.

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le Tourtrat et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[8],[Carte 1].

    Un ruisseau relativement long mais à sec en été, le Tourtrat, qui rejoint la Soloire, affluent de la Charente, à Nercillac, traverse la commune. Ce ruisseau est formé par la réunion de trois sources principales : celle qui sort du Gouffre de Neuvicq, en Charente-Maritime, rejoint, avant d'entrer en Charente, la Garonne de Sonneville, qui vient du hameau du Petit Bordeaux, et se grossit un peu plus bas de la Fontaine de Mareuil[9].

    Quelques sources sont situées dans la commune : la fontaine à Brisson, la fontaine des Pierrières, la fontaine Rouillouse, la fontaine Carrée[3].

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Courbillac est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,7 %), zones agricoles hétérogènes (32,2 %), cultures permanentes (18,3 %), forêts (4 %), zones urbanisées (3,9 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Toponymie

    Une forme ancienne est Corbilhaco au XIVe siècle[18],[Note 2].

    L'origine du nom de Courbillac remonterait à un personnage gallo-romain Corbellius, Corbelius ou Corbius, issu de Corbus, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Corbilliacum, ou « domaine de Corbellius »[19],[Note 3].

    Le nom Herpes est vraisemblablement d'origine germanique.

    Histoire

    En 416, Patrice Constance promet des terres aux Wisigoths qui s'établissent en Aquitaine, en partie dans le territoire des Santons.

    D'où la création du village d'Herpes sur une voie antique allant de Brioux-sur-Boutonne à Jarnac qui croisait la voie romaine Agrippa de Saintes à Lyon, dite Chemin chaussé ou chemin des Romains, située à km au sud. Ils sont chrétiens mais ariens. On leur doit le baptistère octogonal. Le cimetière mérovingien atteste de la présence de guerriers francs, arrivés au VIe siècle et remplaçant les Wisigoths dans toute l'Aquitaine.

    La commune de Courbillac formait autrefois deux paroisses : Courbillac et Herpes. Sur la paroisse de Courbillac se trouvaient le fief de la Vallade, et une partie importante du fief de la Courade. Ces deux fiefs appartenaient à la famille Horric de la Courade.

    Une autre seigneurie, située dans la paroisse de Courbillac, était celle de Pont d'Herpes, qui, aux XVIIe et XVIIIe siècles, appartenait à une famille Laisné, de la robe de Cognac, anoblie par lettres patentes de novembre 1491. Cet anoblissement concernait Jean Laisné, juge-prévôt d'Angoulême, et son frère Jacques Laisné, juge-prévôt royal de Cognac et Merpins, tous deux fils de Guillaume Laisné, juge-prévôt de Cognac et Merpins, et de Sibille Boutaud. Cette famille est aujourd'hui éteinte.

    En 1692, la paroisse d'Herpes constituait une seigneurie, membre de celle de Neuvicq, avec droits de haute, moyenne et basse justice, comprenant une métairie et des prés, avec des cens, rentes et agriers. Elle relevait de la baronnie de Thors, en Saintonge, qui, à cette époque, était possédée par le marquis de Pons[20].

    L'état des paroisses de 1686 nous informe que le marquis de Montespan est « à présent » le seigneur de la paroisse d'Herpes de 37 feux dont la terre ne produit que peu de grains et de vin[21].

    Après la Révolution, Herpes a été commune à part entière avant d'être rattaché à Courbillac en 1837.

    En 1886, Philippe Delamain, négociant en cognac chez Delamain à Jarnac, fouilla à Herpes un cimetière de l'époque franque du VIe siècle. Il y trouva une exceptionnelle collection d'armes, fibules, bijoux, vases datant de cette époque où les Francs s'étaient installés à Herpes. Cette collection a malheureusement été dispersée. Une partie se trouve au British Museum à Londres[22],[23],[24]

    En 1999, le village a souffert quelque peu de la tempête ayant traversé la France à ce moment-là.

    Administration

    La commune de Courbillac a été créée en 1793 dans le canton de Rouillac et l'arrondissement d'Angoulême puis est passée dans l'arrondissement de Rouillac en 1801, et a absorbé Herpes en 1845.

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 2008 Francis Vincent   Agriculteur-viticulteur-éleveur
    2008 2014 Bernard Cote SE Viticulteur retraité
    2014 En cours Gilles Ripoche[25]   Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le 1er janvier 2008, Courbillac passe de l'arrondissement d'Angoulême à l'arrondissement de Cognac[26].

    Fiscalité

    La fiscalité est d'un taux de 23,04 % sur le bâti, 52,84 % sur le non bâti, et 11,41 % pour la taxe d'habitation (chiffres 2007).

    La communauté de communes de Rouillac prélève 10,80 % de taxe professionnelle.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

    En 2019, la commune comptait 763 habitants[Note 4], en augmentation de 9,47 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    535613598612680920950965990
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 034961946884814761706689691
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    653640528553518516457423411
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2019
    400426456473502551685727763
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,1 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 375 hommes pour 372 femmes, soit un taux de 50,2 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,41 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,9 
    6,2 
    75-89 ans
    7,0 
    12,9 
    60-74 ans
    11,6 
    17,1 
    45-59 ans
    18,3 
    23,9 
    30-44 ans
    21,5 
    15,3 
    15-29 ans
    16,7 
    24,1 
    0-14 ans
    23,0 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1 
    90 ou +
    2,5 
    8,9 
    75-89 ans
    11,8 
    20 
    60-74 ans
    20,3 
    21 
    45-59 ans
    20,8 
    16,9 
    30-44 ans
    16,2 
    15,6 
    15-29 ans
    13,7 
    16,6 
    0-14 ans
    14,7 

    Remarques

    Courbillac absorbe Herpes en 1845[29].

    • Herpes
    Évolution démographique
    1793 1800 1806 1821 1831
    267248282285264

    Courbillac et Herpes puis les deux communes réunies ont fait preuve d'une grande stabilité démographique jusqu'au dernier quart du XIXe siècle. La perte de population a duré jusqu'aux années 1960 avec un minimum à moins de 400 habitants soit 39 % de sa population maximale en 1861. Mais depuis la commune a inversé cette tendance et voit sa population augmenter à nouveau constamment.

    Économie

    Il existe un centre équestre ainsi que des exploitations agricoles et viticoles. Il y existe aussi un champ de panneaux solaires.

    Agriculture

    Courbillac est située sur une terre de polyculture. La viticulture occupe une grande partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[33]. Aussi, au cours du XXe siècle des élevages (de chèvres par exemple) existaient dans le hameau d'Herpes notamment.

    Équipements, services et vie locale

    La poste.

    Enseignement

    L'école est un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) entre Courbillac, Sonneville, Plaizac et Mareuil. Courbillac accueille l'école élémentaire et Mareuil l'école primaire[34].

    Présence de l'ESAT la Merci.

    Culte catholique

    Courbillac est rattaché à la paroisse de Sigogne[35]. Deux églises ouvertes au public et aux célébrations : une église dans le bourg de Courbillac et une église à Herpes.

    Lieux et monuments

    • L'église d'Herpes dont le baptistère est du VIe siècle.
    • Le cimetière des Francs d'Herpes.
    • L'église paroissiale de Courbillac.
    • Fontaine d'Herpes.

    De l'ancien logis des Courades il ne reste qu'une tour coiffée d'un toit conique, la seule restant des cinq mentionnées comme existant à l'origine Le logis est plus récent que la tour[36].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. On reconnaît la graphie occitane. Avant les repeuplements du XVe siècle à la suite des ravages de la guerre de Cent Ans en Aquitaine, Angoumois et Saintonge étaient en langue d'oc.
    3. Comme Courbiac, en Lot-et-Garonne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Courbillac » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Matha », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale de Courbillac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    9. Sandre, « le Tourtrat »
    10. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    12. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 131
    19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 219.
    20. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 146-147
    21. Histoire passion
    22. Trésor du cimetière des Francs d'Herpes
    23. (en) « Collection Herpes », sur British Museum (consulté le )
    24. « Histoire Passion - Saintonge Aunis Angoumois », sur www.histoirepassion.eu (consulté le )
    25. http://rouillac.blogs.charentelibre.fr/archive/2014/03/02/courbillac-la-liste-de-gilles-ripoche-est-connue-180717.html
    26. Code Officiel Géographique-Modifications des communes de la Charente
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Courbillac (16109) », (consulté le ).
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
    33. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    34. Site de l'inspection d'académie de la Charente
    35. Paroisse de Sigogne
    36. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne), p. 195
    • Portail de la Charente
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.