István Markó
István E. Markó, né le [1],[2] à Pápa en Hongrie et mort le [3],[4] à Woluwe-Saint-Lambert en Belgique, est un professeur et chercheur en chimie organique à l'université catholique de Louvain (Belgique)[5].
Pour les articles homonymes, voir Marko.
Dans le nom hongrois Markó István, le nom de famille précède le prénom, mais cet article utilise l’ordre habituel en français István Markó, où le prénom précède le nom.
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Biographie
Il est le fils d'un père carrossier-garagiste et d'une mère couturière tous deux hongrois, qui ont fui la répression soviétique en 1956 et s'installent en Ardenne, à Jemelle, un petit village situé près de Rochefort alors qu'il n'est âgé que de 4 mois[6].
À l'université catholique de Louvain, István Markó obtient un BSc (chimie organique) en 1978, puis un PhD (chimie organique) en 1983.
Il passe ensuite quelques années aux États-Unis (à l'université du Vermont et au Massachusetts Institute of Technology dans l'équipe de K. Barry Sharpless) pour y étudier l'osmylation asymétrique des oléfines ainsi que pour y développer la synthèse totale biomimétique d'alcaloïdes rejoignant ses premières recherches sur la synthèse des prostaglandines. Sujet qu'il abordera également lors de son post-doc où il étudiera la cycloaddition intramoléculaire de céténimminium comme une nouvelle voie d'accès aux prostaglandines[7].
En 1988 il devient lecteur à l'université de Sheffield, avant de retourner à l'université catholique de Louvain en 1998 en tant que professeur.
István Markó a épousé Patricia Vandermeuse avec laquelle il a eu deux enfants.
Travaux en chimie organique
Le professeur Markó a comme principaux intérêts de recherche en chimie organique le développement de synthèses totales, courtes, efficaces et stéréocontrolées de produits naturels[8]. Il est également impliqué dans le développement de nouvelles méthodologies telles que la mise au point de nouveaux réactifs organométalliques, la polycyclisation anionique, le développement de nouvelles réactions électrochimiques ainsi que de réactions écologiques[9].
Son nom a été associé à celui de Kevin Lam pour sa contribution à la mise au point de la réaction de Markó-Lam découverte ensemble avec ce dernier[10],[11].
Botanochimie
István Markó s'intéresse également à l'application en synthèse organique de réactions biochimiques catalysées (biocatalyse) par les enzymes contenus dans les résidus de fruits et légumes produits par l'industrie agroalimentaire[12]. L'objectif poursuivi est de synthétiser des molécules organiques à haute valeur ajoutée (p.ex. des alcools optiquement actifs) utilisables dans l'industrie pharmaceutique, agrochimique ou cosmétique tout en valorisant des sous-produits agricoles (légumes hors format, des carottes notamment dans le cadre de l'étude mentionnée en référence) qui autrement seraient perdus[13],[14].
Controverse sur le climat
István Markó s'est fait le défenseur, dans plusieurs médias francophones[15] sur internet, mais aussi sur le site anglophone de Breitbart News et lors de débats publics, d'un point de vue sceptique[16],[17],[18] sur la question du réchauffement climatique. Il dénonce la politique menée en la matière par l'Organisation des Nations unies (ONU) et le groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC)[19].
Climat, 15 vérités qui dérangent
En , paraît sous sa direction le livre Climat : 15 vérités qui dérangent, qui se veut d'après ses auteurs mêmes « la bible du climato-scepticisme »[20]. Contrairement à l'immense majorité des publications scientifiques dans ce domaine et allant à l'encontre du consensus scientifique sur le sujet, il conteste le rôle joué par le CO2 dans l'évolution climatique. Il souligne notamment que l'étude des prélèvements de carottes glaciaires (forage de Vostok en Antarctique) suggèrent que par le passé « la hausse de température a précédé l’augmentation du taux de CO2 dans l'atmosphère survenue à la suite du dégazage des océans »[21] et que, d'une manière générale, le climat évolue indépendamment de la teneur en CO2 dans l'atmosphère.
À l'instar d'autres climato-sceptiques comme le géochimiste Claude Allègre, le géophysicien Vincent Courtillot et les astrophysiciens Willie Soon et Sallie Baliunas (en), les modifications climatiques seraient, selon lui, essentiellement liées aux cycles du soleil et très peu à l'activité humaine[22].
La position immuable de Marko dans la controverse a créé la polémique avec le climatologue Jean-Pascal van Ypersele, ancien vice-président du GIEC, et membre comme lui du corps académique de l'université de Louvain. Les débats animés et les conflits académiques au sein des universités de Louvain (UCLouvain) et libre de Bruxelles (ULB), ainsi que certaines entraves au débat[23], ont décidé Istvàn Marko à fonder The Oyster Club, un groupement de personnalités intellectuelles belges (ingénieurs, juristes, journalistes, etc.) remettant en cause les fondements mêmes des sciences du climat et le fonctionnement du GIEC[24]. Certains membres de l'Oyster Club, comme le juriste et philosophe Drieu Godefridi ne ménagent pas leurs critiques concernant le fonctionnement du GIEC. Ils lui adressent le reproche de scientisme et appellent publiquement à ce titre à son démantèlement[25].
Le livre Climat, 15 vérités qui dérangent a depuis été analysé en détail et fait l'objet de critiques scientifiques étayées[26]. Une association wallone pour l'environnement parle de « manipulation »[27] et de « mensonge »[24], et une note de lecture publiée par Alexis Merlaud (Institut d'aéronomie spatiale de Belgique, IASB) sur le site d'Arxiv présente « quinze contrevérités » qui seraient présentes dans l'ouvrages[26].
À l'argument des données du site de Vostok, selon lequel la hausse de température a précédé l’augmentation du taux de CO2 dans l'atmosphère et a induit le dégazage des océans, Alexis Merlaud répond que cela ne remet absolument pas en cause l'effet de rétroaction positive du CO2 sur la température terrestre dû aux « processus radiatifs » responsables de l'effet de serre. En effet, la série de déglaciations/glaciations mesurées sur le site de Vostok n'ont pas été déclenchées par la hausse du CO2 dans l'atmosphère mais par les variations des paramètres astronomiques terrestres (paramètres de Milanković : excentricité, obliquité et précession, utilisés pour calculer les paléoclimats, voir la théorie astronomique des paléoclimats). Le CO2 relâché ensuite par les océans dont la température s'élevait a cependant renforcé le processus de réchauffement initié par les phénomènes astronomiques et y a contribué.
Alexis Merlaud met aussi en évidence des sources inadéquates en matière d'émission de CO2 par l'activité volcanique sous-marine et démontre des erreurs de calcul. En effet, l'ouvrage de Marko se réfère à des émissions volcaniques de 24,5 GtC/an calculées erronément à la place de 0,03 GtC/an. De telles émissions représenteraient aussi près de deux fois et demie les émissions annuelles produites par la combustion des combustibles fossiles (10 GtC/an).
Alexis Merlaud relève également les liens de Markó avec des scientifiques proches du Heartland Institute[28], un thinktank libertarien et conservateur américain promouvant le climato-scepticisme et s'attachant à réfuter l'origine anthropique du réchauffement climatique.
Le pourquoi et l'origine du livre de Marko sur le climat ont également fait l'objet de recherches dans le cadre d'une thèse de doctorat de la faculté de droit et de criminologie de Université catholique de Louvain (UCLouvain)[29]. Cette thèse analyse sur le plan des sciences humaines les réactions de refus ou d'acceptation vis-à-vis de la question du réchauffement global et des changements climatiques qui y sont liés. Elle s'attache à comprendre les raisons et les motivations humaines profondes susceptibles d'expliquer les opinions de rejet ou d'adhésion face aux conclusions et recommandations du GIEC et aux énormes défis auxquelles notre société est actuellement confrontée. Sans se prononcer sur le fond, la pertinence et la validité des échanges de questions et de réponses scientifiques et techniques, cette étude s'efforce de mettre en perspective suivant différents éclairages psychologiques, sociaux et politiques les attitudes antagonistes reflétées par les tenants d'Istvan Marko et d'Alexis Merlaud.
Articles anglophones
En 2016 et 2017, Istvan Marko a aussi joint sa voix à celles de personnalités anglo-saxonnes s'attachant également à réfuter le réchauffement du climat et ses conséquences. Il a publié avec eux plusieurs billets sur le site de Breitbart News.
Le premier billet co-écrit avec l’astrophysicien Willie Soon remet en cause le rôle joué par le CO2 dans le réchauffement climatique et reproche au présentateur scientifique américain Bill Nye le caractère scientiste des émissions d’éducation qu’il anime sur plusieurs chaînes de télévision[30].
Le second billet publié sous l’égide de Christopher Monckton (en) sur le site de Breitbart en durant la campagne électorale à la présidence américaine reprend le même ton[31].
Lui et Monckton seront les auteurs principaux du billet, Monckton, Marko et al. (2016) qui réplique à une lettre ouverte de 376 membres de l’Académie nationale des sciences (États-Unis), dont 30 lauréats du prix Nobel et le physicien Stephen Hawking, publiée sous la bannière de l'association des scientifiques responsables, et adressée le à Donald Trump alors candidat à la présidence des États-Unis, qui avait annoncé vouloir retirer les États-Unis de l'accord de Paris sur le climat[32]. Le billet de Monckton, Marko et al. (2016) rejette en bloc cette lettre considérant qu’elle ne reflète pas la réalité scientifique mais un dogme quasi religieux et un point de vue erroné et totalitaire. Ils appellent les électeurs à ne pas tenir compte de cette lettre qu’ils considèrent comme regrettable et anti-scientifique. Ils invitent les citoyens américains à choisir en toute connaissance de cause leur président sans tenir compte « des nombreuses erreurs que les activistes totalitaires du climat ont commises depuis des décennies en abusant ainsi de la science du climat et en la défigurant ».
Il est enfin le premier auteur d'un billet collectif paru le sur Breitbart[33]. L'article répondait au professeur Rafael Reif, président du Massachusetts Institute of Technology (MIT), et s'opposait à la lettre que celui-ci avait adressé le [34] à son université, à la suite de l'annonce par le président Donald Trump du retrait des États-Unis de l'Accord de Paris sur le climat. Le Professeur Reif défendait dans cette lettre l'impérieuse nécessité du respect des faits scientifiques et l'importance de continuer les efforts entrepris pour combattre le réchauffement climatique en réduisant les émissions de gaz à effet de serre. Dans ce billet, Istvan Marko et ses co-auteurs dénoncent vivement la notion de consensus sur le rôle joué par le CO2 dans l'effet de serre et le réchauffement actuel du climat et soutiennent la thèse selon laquelle les résultats des modèles surestiment les températures mesurées et que l'on n'observe pas d'augmentation de température globale depuis 1998.
Un dernier billet a été publié en deux parties fin octobre 2017 sur le site de Breitbart News par le journaliste anglais James Delingpole relatant la dernière interview donnée au journaliste français Grégoire Canlorbe par Istvan Marko peu avant sa disparition[35],[36].
Articles francophones
À l'occasion d'événements ou de nouvelles sur le climat, Istvàn Marko s'exprime régulièrement sur des blogs comme ceux de Contrepoints[37] et de l'Institut Turgot[38] (responsabilité et liberté) souvent relayés par des blogs personnels tenant du climato-scepticisme[39].
Dans la lettre ouverte qu'il adresse au pape François sur le climat à propos de son encyclique Laudato si’ (Loué sois-tu) traitant de la nécessité de protéger l'environnement et publiée le , six mois avant la COP21 de Paris, Istvan Marko met en doute le bien-fondé de la position de l'encyclique à propos du réchauffement climatique. Il met en garde le souverain pontife contre le risque de gaspillage de ressources financières et économiques considérables qu'il verrait plus utilement consacrées à la lutte contre la pauvreté[37]. Dans cette même lettre, il déclare également, mais sans citer de source, que des « dizaines de milliers de personnes » sont déjà mortes de froid en Grande-Bretagne lors des hivers récents faute d'avoir pu payer leurs factures d’électricité et de chauffage à cause de la substitution précipitée du charbon par les énergies renouvelables:
« Plus les coûts de l’énergie augmenteront, pire sera la situation des pauvres, y compris ceux des pays « riches ». Certains mourront de froid parce qu’ils ne pourront payer leurs factures d’électricité et de chauffage, comme observé au Royaume-Uni où des dizaines de milliers de personnes sont déjà mortes lors des hivers récents, en raison de la précipitation de la Grande-Bretagne à substituer l’éolien et le solaire au charbon. »
— Istvan Marko, Lettre ouverte au pape sur le climat[37].
Cependant l'affirmation d'une aussi surprenante relation de cause à effet est loin d'être démontrée, le chauffage domestique restant largement basé sur l'utilisation des combustibles fossiles dont les coûts sont indépendants de ceux des énergies renouvelables. En outre, bien qu'un pic inhabituel d'excès de mortalité hivernale ait effectivement été enregistré chez les personnes âgées et en mauvaise santé pour l'hiver 2014-2015 (9 100 décès en excès par rapport à une moyenne glissante de ce paramètre sur les années précédentes[40]), la tendance générale de l'excès de mortalité en hiver en Angleterre et au pays de Galles est stable et à la baisse pour la période 1950/51 à 2015/16 comme le montrent les dernières données publiées par l'Office National des Statistiques (ONS) du Royaume-Uni[40]. L'ONS UK indique également que la relation entre la température, la grippe (influenza) et l'excès de mortalité hivernale est complexe, tandis que les services de santé publique anglais (Public Health England, PHE) attribuent la cause de ce pic isolé d'excès de mortalité hivernale chez les personnes les plus fragiles à la moindre efficacité du vaccin contre la grippe cette année-là (hiver 2014-2015)[41].
Dans cette même lettre, Istvan Marko s'en prend également aux associations de défense de l'environnement:
« Ces tragédies semblent normales pour les mouvements environnementaux qui préfèrent que les êtres humains vivent et soient traités comme de simples animaux se soumettant à la Nature, plutôt que de l’adapter à leur besoin tout en la respectant. »
— Istvan Marko, Lettre ouverte au pape sur le climat[37].
Les arguments de Istvan Marko et Drieu Godefridi contre les énergies vertes[42] (photovoltaïque, éolien) sont repris par les opposants à l'implantation d'éoliennes en Wallonie[43],[44]. Istvan Marko considère également l'énergie éolienne comme un gaspillage absurde de ressources naturelles et une ineptie économique[42],[45].
Références
- Les funérailles.be
- In memoriam.be
- (en) , sur uclouvain.be
- « UCL: chimiste et climato-sceptique, le professeur de l'UCL István Markó est décédé », La Libre Belgique, (lire en ligne, consulté le ).
- Robert Crichton, « In memoriam : Professeur István Markó – István E. Markó – un souvenir. Reproduction du discours prononcé le 7 août 2017 en l'église de Grez par le professeur Robert Crichton », Chimie Nouvelles, vol. 124, (lire en ligne)
- « Qui est István Markó, directeur scientifique de Climat, 15 vérités qui dérangent ? », entretien, contrepoints.org, 3 juin 2013
- Léon Ghosez, Istvan Marko, Anne-marie Hesbain-Frisque (1986) Intramolecular cycloadditions of keteniminium salts. A novel approach toward prostaglandins. Tetrahedron Letters, 27 (43), 5211–5214.
- (en) István E. Markó, « The art of total synthesis », Science, vol. 294, no 5548, , p. 1842-1843 (DOI 10.1126/science.1067545)
- (en) Biographie de Istvan Markó
- (en) « Organic electrosynthesis using toluates as simple and versatile radical precursors », sur www.organic-chemistry.org, Organic Chemistry Portal, (consulté le )
- (en) Kevin Lam et István E. Markó, « Novel electrochemical deoxygenation reaction using diphenylphosphinates », Organic Letters, vol. 13, no 3, , p. 406–409 (DOI 10.1021/ol102714s)
- Projet Agrochim de la région Wallone en Belgique
- Paul Devuyst, « Fruits et légumes, outils de la chimie. pp. 34-37 dans Athena 272: Le mag' scientifique: Recherche et développement technologique. Chimie, Juin 2011 », Athena, (consulté le )
- Alécia Vandenberghe, Botanochimie - Utilisation de matériel comme alternative originale pour la résolution cinétique du 1-phényléthyl acétate, Louvain-La-Neuve, Thèse de l'Université Catholique de Louvain (UCL), (lire en ligne)
- Qui est le climato-sceptique István Markó, lepeuple.be
- Les marchands de l'apocalypse climatique sont de retour, 14 décembre 2014, site www.contrepoint.org
- Le CO2 n'est pas un poison, 21 avril 2015, site www.contrepoint.org
- Photos d'ours polaire ou la manipulation, 2 novembre 2015, site www.contrepoint.org
- COP21 ou l'hypocrisie de l'industrie, 2 décembre 2015, site www.contrepoint.org
- Istvan E. Marko, « Climat : 15 vérités qui dérangent – 2e edition augmentée 2014 (Texquis essais) (Edition en français): Istvan E. Marko (Sous la direction de), Texquis: 9782930650050: Amazon.com: Books », sur amazon.com, (consulté le )
- Échec du sommet climatique de Durban : interview exclusive du chimiste István Markó, entretien, contrepoints.org, 10 décembre 2011
- Réchauffement climatique : "un climat, deux mesures", coauteurs Samuel Furfari, Istvan Marko, Henri Masson et Alain Préat, Institut Turgot, 16 janvier 2013
- Un débat avec Istvan Marko interdit par ses collègues, site www.contrepoints.org, 9 février 2014
- Fédération Inter-Environnement Wallonie, « Climato-scepticisme : le mensonge au service du déni. », sur http://www.iewonline.be/, (consulté le )
- Drieu Godefridi (2010) Le GIEC est mort, vive le débat, lemonde.fr, 1er février 2010.
- Note de lecture: 'Climat: 15 vérités qui dérangent', Alexis Merlaud, sur arXiv:1404.1783 (physics.soc-ph), 7 avril 2014
- Fédération Inter-Environnement Wallonie (IEW): Comment les climatosceptiques vous manipulent. L’intégrale !
- Note de lecture: 'Climat: 15 vérités qui dérangent', Alexis Merlaud, sur arXiv:1404.1783 (physics.soc-ph), 7 avril 2014, p. 35
- Mendicino, Sara (2015) Le mouvement contre le changement climatique: entre panique morale, croisade morale et entrepreneur de morale. Promoteur Fabienne Brion. Université catholique de Louvain (UCLouvain), Faculté de droit et de criminologie, en accès libre. Répertoire, PDF de la thèse.
- (en) Willie Soon et Istvan Marko, « Bill Nye and Scientism - Breitbart », Breitbart, (consulté le )
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- Lettre ouverte au Pape François sur le changement climatique, reprise le 3 août 2015 sur blogturgot.org
- Lettre ouverte au Pape sur le climat, reprise le 11 août 2015 sur Belgotopia
- Office for National Statistics (ONS), « Statistical bulletin: Excess winter mortality in England and Wales: 2015/16 (provisional) and 2014/15 (final) Increased deaths during winter months by sex, age, region and cause, including figures on temperature and influenza. », sur https://www.ons.gov.uk/, (consulté le )
- The Guardian, « Number of deaths in England and Wales hits 12-year high. Public Health England says less effective flu vaccine may have contributed to largest percentage rise in deaths since 1968 », sur https://www.theguardian.com/uk-news/, (consulté le )
- István Markó et Drieu Godefridi (2014) Le piège de l’énergie verte. Publié le 29 août 2014 sur le site www.contrepoint.org
- Belgotopia, 25 octobre 2013 : « L'éolien: un scandale écologique et humanitaire »
- Vent de raison, non à l'énergie éolienne en Wallonie
- Istvan Marko (2013) « Éolien, la maîtrise du coût de l'énergie est une priorité absolue en Wallonie ». Publié le 5 mars 2013 sur le site www.contrepoint.org
Bibliographie
- Climat, 15 vérités qui dérangent, Texquis essais, 2013, 274 pp.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- (en) Page web du groupe du professeur Markó
- Liste des publications d'Istvan Marko sur Researchgate
- Liste des publications d'Istvan Marko donnée par Google Scholar
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