Jacques-André Maire
Jacques-André Maire, né le à Neuchâtel (originaire des Ponts-de-Martel et de Brot-Dessous), est un homme politique suisse, membre du Parti socialiste. Il est député du canton de Neuchâtel au Conseil national de à .
Pour les articles homonymes, voir Maire (homonymie).
Jacques-André Maire | |
Portrait de Jacques-André Maire | |
Fonctions | |
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Conseiller national | |
– | |
Législature | 48e, 49e et 50e |
Groupe politique | socialiste (S) |
Commission | CdG (2009-11) CSEC (2011-2015 et 2017-19) CER (2012-15) CTT (2015-19) CdF (2015-17) |
Prédécesseur | Gisèle Ory |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Neuchâtel |
Nationalité | Suisse |
Parti politique | Parti socialiste |
Conjoint | Monika Maire-Hefti |
Profession | Biologiste Enseignant |
Biographie
Jacques-André Maire naît le à Neuchâtel. Il est originaire de deux autres communes du canton, Ponts-de-Martel et Brot-Dessous[1].
Titulaire d'un Master of Public Health, il est chef du service cantonal neuchâtelois de la formation professionnelle et des lycées. Après son élection au Parlement en 2007, il devient en 2010 conseiller stratégique du Département neuchâtelois de l’éducation, de la culture et des sports. Il démissionne de ce poste en 2013, à la suite de l'élection de son épouse au gouvernement[2].
Il est marié à Monika Maire-Hefti, conseillère d'État neuchâteloise socialiste de 2013 à 2021, avec qui il a trois fils[2].
Protestant pratiquant[2], il a le grade de soldat à l'armée[1].
Parcours politique
Il acquiert ses convictions politiques socialistes au contact de Pierre Gilliand[2].
Il est député au Grand Conseil neuchâtelois de à [1].
Candidat au Conseil national en 2007, il n'est initialement pas élu, mais accède au Parlement le à la suite de l'élection de Didier Berberat au Conseil des États[3]. Il siège au sein de la Commission de gestion (CdG) de 2009 à 2011, à la Commission de la science, de l'éducation et de la culture (CSEC) de à et de à , à la Commission de l'économie et des redevances (CER) de à , à la Commission des transports et des télécommunications de à et à la Commission des finances (CdF) de à [1].
Il est réélu sans difficulté en 2011. La même année, il manque de peu son élection au Conseil d'État neuchâtelois, terminant à 511 voix de sa colistière élue Monika Dusong[2].
Références
- « Biographie de Jacques-André Maire », sur le site de l'Assemblée fédérale suisse.
- Serge Jubin, « Les Maire, au Château et au Palais », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
- « Didier Berberat accède au Conseil des Etats, J.-A. Maire au National », sur Arcinfo.ch, (consulté le )
Liens externes
- Site web officiel de Jacques-André Maire : http://j-a-maire.ch
- « Biographie de Jacques-André Maire », sur le site de l'Assemblée fédérale suisse.
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