Jalesches

Jalesches est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine.

Jalesches

La Pierre-Ebue.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Guéret
Intercommunalité Communauté de communes Portes de la Creuse en Marche
Maire
Mandat
Nicolas Cornette
2020-2026
Code postal 23270
Code commune 23098
Démographie
Gentilé Jaleschois
Population
municipale
90 hab. (2019 )
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 18′ 07″ nord, 2° 05′ 48″ est
Altitude Min. 348 m
Max. 537 m
Superficie 8,45 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Guéret
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Boussac
Législatives Circonscription unique
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Jalesches
Géolocalisation sur la carte : France
Jalesches
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Jalesches
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Jalesches

    Les habitants sont les Jaleschois, Jaleschoises.

    Géographie

    Le village s'étend sur 8,45 km2.

    Les habitants du village de Jalesches vivent sur une superficie totale de 8,45 km2 avec une densité de 10 hab/km2 et une moyenne d’altitude de 400 m.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Autour de Jalesches se trouvent Clugnat à 1,6 km, Châtelus-Malvaleix à 6,1 km, Boussac (Creuse) à 12 km à 30 km de Guéret.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 990 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Boussac_sapc », sur la commune de Boussac, mise en service en 1994[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 922,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Châteauroux Déols », sur la commune de Déols, dans le département de l'Indre, mise en service en 1893 et à 66 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[11], à 11,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Jalesches est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Guéret, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (43 %), forêts (32,3 %), zones agricoles hétérogènes (24,5 %), terres arables (0,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Climat

    • Climat océanique avec été tempéré
    • Les hivers sont frais et humide parfois neigeux.
    • L'été est doux et parfois chaud.
    • L'automne peut certaines années observer un été indien.

    Histoire

    Trois hypothèses expliqueraient le nom de Jalesches :

    • Les gaulois parlaient un langage celte pouvant différer suivant les régions mais gardant tout de même ses racines celtiques. Ce langage a disparu vers le VIIe siècle. Or la traduction du mot Gaulois en langue celtique n’est autre que : GALESCHES ou GALLISCA. Il faut avouer que de JALESCHES à GALESCHES il n’y a qu’un pas (voire qu’une lettre). Ainsi on peut imaginer que le village ait pu être baptisé GALESCHES pour désigner un village gaulois. Si c’était le cas le village daterait donc d’avant le VIIe siècle puisque cette langue a disparu à cette époque. On peut aussi imaginer qu’un défaut de prononciation entre GA et JA ait transformé le nom en JALESCHES.[style à revoir][réf. nécessaire]
    • Avec Jalesches, nous serions en présence du nom d'un fondateur romain, un certain « Gallicus ». Au fil des siècles le nom s'est orthographié « Jaleychas » (vers 1315), « Jaleschas » (XVe siècle), Jalleyches et Jalesches-le-pauvre.

    La découverte au début du XXe siècle d'un trésor composé principalement de pièces de monnaie romaines sur le territoire de la commune, par un cultivateur du hameau de Marcillat, semblerait aller dans le bon sens de cette hypothèse[20].

    Sources d'après Monsieur Bernard. Héraud : la « Chronique des noms d'ici et d'ailleurs », du journal Centre France - La montagne – édition de la Creuse du 6 mars 2005.

    Jalesches, avant 1789, faisait partie de la Marche, de la généralité de Moulins, de la sénéchaussée de Guéret et de l'archiprêtré d'Anzème.

    Il y avait une communauté de prêtres, connue depuis 1564.

    Une partie des dîmes de la commune était perçue par le commandeur de Blaudeix.

    En 1628, il existait encore au village du Chézeau des hommes serfs, dépendant de Jean de Cluys, seigneur de Batisse. Ils furent affranchis, le 31 décembre 1628, moyennant 200 livres tournois, qu'ils payèrent comptant à leur seigneur.

    En 1771, le rôle de la taille de Jalesches s'élevait à 3.432 livres et 4 deniers; il comprenait 80 feux vifs, sur lesquels 2 domaines à 4 bœufs et 10 particuliers à 2 vaches.

    D'après M Bernard Héraud. Source: Nouveau dictionnaire - Historique, géographique & statistique - Illustré de la Creuse, par P Valladeau, instituteur. Ed. 1892

    Catégorie

    • JALE : sorte de grande jatte ou baquet utilisé pour les récoltes de raisin destinées à la vinification. (Pluriel JALES) Une habitation (proche de la mairie) possède une magnifique cave de vigneron. Il est évidemment un peu facile de conclure de la sorte, mais on peut imaginer que Jales était l’endroit où étaient entreposées les Jales et que le patois local au cours des siècles ait rajouté le che pour enfin devenir Jalesches.
    • Le village de Jalesches est adossé au flanc d’une montagne dont le sommet a pour couronnement un énorme rocher qu’on nommait le Péreybus (aujourd'hui Pierre Ebue).

    Deux roches principales forment le Péreybus ; elles sortent du sol dans une situation faiblement oblique, et leur ligne de séparation, à peine sensible à la base, s’élargit peu à peu jusqu’au sommet. Sur ce double et monstrueux pilastre repose une pierre énorme, dont la surface lisse est arrondie comme celle d’un caillou longtemps roulé par les eaux. Le Péreybus a sa légende qui mérite d’être conservée. Nous la redirons telle qu’on nous l’a contée.

    Au temps du roi saint Louis, le fils unique du seigneur de Péreybus partit pour la croisade ; il se nommait Raoul.

    Enguerrande, la fille du châtelain de Toulx, lui était fiancée. Elle habitait, seule, avec son père, le manoir aux six tourelles qu’il avait fait bâtir pour ses six fils, les gentils damoiseaux de Toulx.

    La mort les avait moissonnés en peu de temps, l’un après l’autre, dans la guerre de Terre-Sainte, et la châtelaine leur mère les avait suivis au tombeau. Quelques mois après le départ de Raoul, le père d’Enguerrande mourut à son tour. Elle resta seule et vécut dans la retraite.

    Un jour qu’elle reçut la visite d’un prétendu chevalier, disant venir de Terre-Sainte et apporter un message de Raoul, elle disparut. On la crut enlevée par Satan lui-même.

    Deux ans après ce mystérieux événement, la veille du dimanche des Rameaux, Raoul entra dans la ville de Toulx, revenant de la croisade, et fit don à la cathédrale d’un morceau de la vraie croix, contenu dans un riche reliquaire. Depuis lors Toulx porta le nom de Toulx-Sainte-Croix.

    En apprenant la disparition d’Enguerrande, Raoul resta comme pétrifié, sans paroles et sans larmes, mais roulant dans sa pensée de terribles projets de vengeance. Le matin du dimanche des Rameaux, il partit pour le château de Péreybus. Comme il arrivait près du rocher, la procession de Jalesches allait rentrer dans l’église, et le curé prononçait les paroles du rituel : Attollite portas (Ouvrez les portes.)

    À ce moment-même, il se fit dans le rocher un grand bruit, comme d’un vent violent qui brise un vieux chêne, la pierre se fendit par le milieu du haut en bas, et les deux moitiés, tournant sur elles-mêmes comme une porte sur ses gonds, un clair rayon de soleil éclaira l’intérieur d’une grotte. Enguerrande y était couchée sur un lit de mousse.

    « Que vous avez tardé ! dit-elle. Que je vous attendais avec impatience ! Hier, j’ai eu la visite d’un traître qui voulait me ravir l’honneur ; mais au moment où cet homme discourtois, qui se prétendait chevalier, me menaçait de sa violence, j’ai fait m’a prière à Notre-Dame, et j’ai cru la voir elle-même venir à moi, qui me disait : « Dormez en paix. » Je me suis endormie et je m’éveille.

    Le sommeil d’Enguerrande, sous le rocher de Péreybus, avait duré deux ans. On célébra dans toute la contrée par de grandes fêtes le mariage de Raoul avec la jeune châtelaine. Le rocher de Péreybus s’était refermé de lui-même au moment où le curé de Jalesches prononçait l’Ite, missa est. Suivant la tradition, il se rouvrit, chaque année, pendant plusieurs siècles, lorsque la procession des Rameaux rentrait à l’église, pour se refermer chaque fois à la fin de la messe.

    • La famille Robert est originaire de Glenic, où naquit vers 1544 Jean Robert, fils de Herald Robert, aussi seigneur de la Chassagne et de Jalesches. Hérald, appelé aussi Evrard Robert, était le fils d'Antoine Robert, seigneur de Jalesches de la Ville-telle et de Glénic.

    Jean devint lieutenant-général de la juridiction de la Basse-Marche en 1580. Il a laissé plusieurs écrits.

    Son fils, Pierre Robert; né au Dorat en 1589, a laissé de nombreux manuscrits pour l'histoire de la Marche qui sont conservés à la bibliothèque de Poitiers.

    Sources d'après M Bernard Héraud: Nobiliaire du diocèse et de la généralité de Limoges, tome 1, par l'abbé Joseph Nadaud. Ed. 1863-1882. Généalogie historique de la maison Robert du Dorat, par Henri Aubugeois de la Ville du Bost. Ed. 1877

    ******************

    L'administration communale:

    Liste des maires de la commune de JALESCHES depuis la Révolution française jusqu'en 1971

    Périodes: Identités :

    An II - An III (1793-1795) Jean-Baptiste, Amable GIRAUD

    An IV - An XIV (1795-1806) Jean-Marien DEMAY

    1806-1807 Vincent GIRAUD

    1807-1808 Jean TACQUENET

    1809-1825 Jean COUCHY

    1826-1832 Etienne BOURDEAUD

    1833-1843 Jacques BROSSET

    1843-1846 Julien DEMAY

    1846-1865 Michel BOURDEAUD

    1865-1881 Jean-Baptiste BOURDEAUD

    1881-1892 Joseph GUILLON

    1892-1897 René AUPY

    1897-1909 Etienne TALLOT

    1909-1925 Toussaint TURQUET

    1925-1935 Jean-Baptiste MAYET

    1935-1944 Auguste JEAN-BAPTISTE

    1944-1947 Jean-Baptiste MAYET

    1947-1970 Auguste PHELY

    1970-1971 Gustave LEPRAT

    Liste établie par Bernard HERAUD, d'après les registres de l'état-civil et les registres des délibérations.

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1971 1995 Alphonse Gesset PS  
    juin 1995 mars 2008 Bernard Héraud   Greffier
    mars 2008 mars 2014 Claude Braibant PCF  
    mars 2014[21] En cours
    (au 23 avril 2014)
    Nicolas Cornette SE Chargé d’études au Conseil général de la Creuse

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

    En 2019, la commune comptait 90 habitants[Note 7], en augmentation de 3,45 % par rapport à 2013 (Creuse : −3,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    457357342441463480480510507
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    500473495474458438458421420
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    428397401305284259244232166
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    17316114211810077818187
    2017 2019 - - - - - - -
    9090-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • La commune de Jalesches comprend de nombreuses fontaines et croix en granit.
    • Église Saint-Léger de Jalesches
    • Le château de la Terrade, château du XIVe siècle avec sa chapelle XVe siècle.
    • Le site de Pierre Ebue et son histoire (situé sur la route de Marcillat dans un bois de Sapin).
    • Le site des Pierres en crochets (randonnée).

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Notes

      Références

      1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
      2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
      3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
      4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
      5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
      6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
      7. « Station Météo-France Boussac_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
      8. « Orthodromie entre Jalesches et Boussac », sur fr.distance.to (consulté le ).
      9. « Station Météo-France Boussac_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
      10. « Orthodromie entre Jalesches et Déols », sur fr.distance.to (consulté le ).
      11. « Station météorologique de Châteauroux Déols - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      12. « Station météorologique de Châteauroux Déols - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      13. « Station météorologique de Châteauroux Déols - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
      18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      20. Précisions de Monsieur B. Héraud, d'après la « Chronique des noms d'ici et d'ailleurs », du journal Centre France - La montagne – édition de la Creuse du 6 mars 2005
      21. A. A., « Nicolas Cornette est le nouveau maire de Jalesches », L'Echo du Berry (Édition de l’Indre), no 3127, , p. 24.
      22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.

      Liens externes

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