Jean-Baptiste Brunon
Jean-Baptiste Brunon né à Marlhes (Loire) le et mort le dans la même commune est un prélat français, évêque de Tulle de 1970 à 1984.
Pour les articles homonymes, voir Brunon.
Jean-Baptiste Brunon | ||||||||
Biographie | ||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Nom de naissance | Jean Baptiste Brunon | |||||||
Naissance | Marlhes (Loire) |
|||||||
Ordination sacerdotale | ||||||||
Décès | Marlhes (Loire) |
|||||||
Évêque de l'Église catholique | ||||||||
Consécration épiscopale | par Mgr Garonne | |||||||
Évêque de Tulle | ||||||||
– | ||||||||
| ||||||||
Évêque auxiliaire de Toulouse | ||||||||
– | ||||||||
Évêque titulaire de Vagal | ||||||||
– | ||||||||
Autres fonctions | ||||||||
Fonction religieuse | ||||||||
Supérieur général de la Compagnie des prêtres de Saint-Sulpice (Juillet 1966 - Juillet 1972) | ||||||||
(en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org | ||||||||
Biographie
Jean-Baptiste Brunon est ordonné prêtre le , membre de la Compagnie des prêtres de Saint-Sulpice.
Le il est nommé évêque titulaire de Vagal et évêque auxiliaire de Toulouse. Il reçoit l'ordination épiscopale le des mains de Mgr Garonne, archevêque de Toulouse.
Le il est élu Supérieur général de la Compagnie des prêtres de Saint-Sulpice, poste qu'il conserve jusqu'en [1].
Le il est nommé évêque de Tulle et le reste jusqu’au . Il est alors nommé évêque émérite de Tulle.
Mgr Brunon est père conciliaire pour la dernière session du concile Vatican II.
Dès 1976 il introduit la cause de béatification d'Edmond Michelet, ancien ministre, mort le , pour son action à Brive-la-Gaillarde en faveur des Juifs persécutés par les nazis et sa déportation à Dachau où son comportement est exemplaire.
Visitant le Brésil dans les années 1979-1980, Mgr Brunon est marqué par les expériences de vie communautaire.
De 1978 à 1985, il est évêque protecteur de la Fédération sportive et culturelle de France (FSCF)[2]. Dans le cadre de cette fonction, il présente en 1984 à Rome, pour l’assentiment pontifical, l'ouvrage définissant les orientations de cette fédération catholique[3].
Références
- « Archives », sur la-croix.com, La Croix, (consulté le )
- Jean-Marie Jouaret 1999, p. 165.
- Jean-Marie Jouaret 1999, p. 259.
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Jean-Marie Jouaret (préf. Gérard Cholvy), Petite histoire partielle et partiale de la Fédération sportive et culturelle de France (1948-1998), t. 1, Paris, FSCF (à compte d’auteur, imp. Déja-Glmc), , 646 p. (ISBN 2-9528387-0-4, BNF 41363915) .
Articles connexes
- Portail du catholicisme
- Portail de la France
- Portail des patronages sportifs catholiques
- Portail de la Corrèze