Jean Roque de Filhol
Jean Roque (ou Roques) est un militant républicain et homme politique français né le à Fillol, lieu-dit de Sainte-Colombe (Gironde)[1] et mort le à Puteaux (Seine)[2].
Député de la Seine Deuxième législature de la Troisième République française Troisième législature de la Troisième République française Quatrième législature de la Troisième République française | |
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Maire de Puteaux | |
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Simon-Hyacinthe Blanche (d) Arthur Guillaumet (d) |
Naissance | |
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Décès |
(à 65 ans) Puteaux |
Sépulture | |
Nom de naissance |
Jean Roque |
Nationalité | |
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Lieu de détention |
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Biographie
Il ajoute le nom de son hameau de naissance pour se distinguer de ses homonymes. Il s'ajoute également un deuxième prénom : Théoxène. Il s'appelle alors Jean-Théoxène Roque de Fillol[3].
Républicain, il s'oppose au coup d’État du 2 décembre 1851. Maire de Puteaux en janvier 1871, il est accusé de soutenir la Commune de Paris et est condamné aux travaux forcés à perpétuité en Nouvelle-Calédonie en dépit du soutien de son conseil municipal. Rentré en France en 1879 au moment de l'amnistie, il est député de la Seine de 1881 à 1889, siégeant à l'extrême gauche, avec les radicaux intransigeants.
Il est enterré au cimetière ancien de Puteaux (Hauts-de-Seine)[4].
Notes et références
- Archives départementales de Gironde, cote E DEPOT 4712 ; E 10
- Archives départementales des Hauts-de-Seine, cote E_NUM_PUT_D1889 - 1889
- Le Dictionnaire des parlementaires français orthographie le nom dans sa première édition (1889) « Roque de Filhol », mais le livre Histoire de la presqu'île de Gennevilliers et du mont Valérien est signé « Roque (de Fillol) »
- Philippe Landru, « Puteaux (92) : ancien cimetière », sur landrucimetieres.fr, (consulté le ).
Article connexe
Liens externes
- « Jean Roque de Filhol », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition]
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