Jean Urbaniak

Jean Urbaniak est d'abord professeur de lettres au collège Rabelais d’Hénin-Liétard. Parallèlement, il continue ses études et obtient une maîtrise de lettres, puis un DEA en sciences de l’Education en 1978. Doctorant en linguistique, il devient en 1979 inspecteur de l'Éducation nationale. Il est nommé l’année suivante à Valenciennes[1]. À l’issue de son mandat de député, il assurera la gestion de la circonscription de Lille et sera chargé de mission auprès du recteur d’académie( Évolution des ELCO).^{[Laquelle ?]}.

Après un mandat d'adjoint, Jean Urbaniak devient maire de Noyelles-Godault en 1983. Il est élu député du Pas-de-Calais sous l'étiquette DVD pour la X^e législature, après avoir battu au second tour le député sortant, Albert Facon[2].

Il est également conseiller général du canton d'Hénin-Beaumont de 1992 à 2015.

Il perd son mandat de député, lors des élections législatives de 1997 au profit d'Albert Facon, dans le cadre d'une triangulaire avec Steeve Briois[3]. Il se représente à plusieurs reprises sans se faire élire[4]^,[5].

Il se présente aux élections départementales de 2015 dans le nouveau canton d'Hénin-Beaumont-2, en tandem avec Sabine Van Heghe, mais est battu au second tour par le binôme du Front national[6].

Il décide de ne pas se présenter aux élections municipales de 2020 et de se retirer de la vie politique, changer de région (Tarn-et-Garonne) et s’engager dans le secteur associatif (SMLH82). Durant ses années en politique, il a également occupé d'autres fonctions, et était notamment vice-président de la Communauté d'agglomération d'Hénin-Carvin chargé de l'habitat, président du syndicat intercommunal du canton de Leforest ou encore vice-président du SYMEVAD[1].