La Poudre d'escampette (film)

La Poudre d'escampette est un film franco-italien réalisé par Philippe de Broca, sorti en 1971.

Pour les articles homonymes, voir Poudre d'escampette.

La Poudre d'escampette

Réalisation Philippe de Broca
Scénario Philippe de Broca
Jean-Loup Dabadie
Musique Michel Legrand
Acteurs principaux
Sociétés de production Les Films Ariane
Columbia France
Vides Cinematografica
Pays de production France, Italie
Genre Comédie dramatique
Durée 110 minutes
Sortie 1971

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Synopsis

En 1942, en Afrique du Nord, une jeune femme (Marlène Jobert) aide un officier anglais (Michael York) à échapper aux Allemands, avec l'aide d'un escroc (Michel Piccoli) et d'un Tunisien (Amidou). Ils vivront mille aventures dans le désert.

Fiche technique

Distribution

Autour du film

Cette section « Anecdotes », « Autres détails », « Le saviez-vous ? », « Autour de... », « Divers », ou autres, est peut-être inopportune.
En effet, en tant qu'encyclopédie, Wikipédia vise à présenter une synthèse des connaissances sur un sujet, et non un empilage d'anecdotes, de citations ou d'informations éparses (février 20222).
Pour améliorer cet article il convient, si ces faits présentent un intérêt encyclopédique et sont correctement sourcés, de les intégrer dans d’autres sections.

Accueil

« Alors que le "comique" du film est assez lourd et utilise les stéréotypes, les relations du trio échappent totalement à la vulgarité et atteignent même une nuit de Noël à une sorte de poésie candide. On retrouve là un certain Philippe de Broca. Ailleurs, dans quelques scènes comiques, il cède à la facilité. Le dialogue manque de verve, le scénario est tissé d'invraisemblances. Le film n'a pas un rythme qui puisse pallier d'évidentes faiblesses. »

 Jacqueline Lajeunesse, La Saison cinématographique 1972

« Entre Valentin, Lorène et Basil, c'est à l'amitié, à la mort... Un peu à l'amour, aussi, le temps de quelques jours, quelques dunes, d'une gauloise fumée à trois sous la mitraille. Oasis de complicité qui finit en réveillon de Noël improvisé dans un fort abandonné. Car même si les Anglais ne sont pas loin, même si les Allemands arrivent, même si on ne se reverra peut-être jamais, ce qui prime, pour de Broca, c'est la légèreté. Un divertissement pétaradant à la poudre de mélancolie. »

 Guillemette Odicino, Télérama, 12 juin 2010

Notes et références

Liens externes

  • Portail du cinéma français
  • Portail du cinéma italien
  • Portail des années 1970
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.