La Séguinière

La Séguinière est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire en région Pays de la Loire.

La Séguinière

Église Notre-Dame de La Séguinière, monument historique de la commune.
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Cholet
Intercommunalité Agglomération du Choletais
Maire
Mandat
Guy Barré
2020-2026
Code postal 49280
Code commune 49332
Démographie
Gentilé Ziniérais
Population
municipale
4 192 hab. (2019 )
Densité 133 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 03′ 49″ nord, 0° 56′ 19″ ouest
Altitude 66 m
Min. 48 m
Max. 139 m
Superficie 31,48 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine La Séguinière
(ville isolée)
Aire d'attraction Cholet
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sèvremoine
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
La Séguinière
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La Séguinière
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La Séguinière
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
La Séguinière
Liens
Site web Site de La Séguinière

    Géographie

    Localisation

    Commune angevine des Mauges, La Séguinière se situe à l'ouest de Cholet, sur la route D 753, La Romagne / Cholet, et à proximité de la N 249, qui va de Nantes à Bressuire[1].

    Géologie et relief

    La commune de La Séguinière se trouve sur un haut plateau[2].

    Hydrographie

    La Moine (rivière) traverse son territoire d'Est en Ouest[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 754 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cholet », sur la commune de Cholet, mise en service en 1965[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 777,5 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, dans le département de la Loire-Atlantique, mise en service en 1945 et à 53 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 12,5 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    La Séguinière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Séguinière, une unité urbaine monocommunale[19] de 4 192 habitants en 2019, constituant une ville isolée[20],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cholet, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,2 %), prairies (26,3 %), zones agricoles hétérogènes (19,6 %), zones urbanisées (5,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4 %), forêts (4 %), mines, décharges et chantiers (1,9 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Point stratégique sur le cours de la Moine, la commune sépare les provinces historiques d’Anjou et de Poitou. C’est sans doute pour cette raison que La Séguinière tire son nom du latin « sequinaria », qui signifie frontière.[réf. nécessaire]

    Formes anciennes du nom : Seguinaria en 1080, Seguineria au XIIIe siècle, Parochia de la Seguinere en 1259, Ecclesia Beate Marie de Seguineria alias de la Seguyniere en 1563, Beata Maria de Seguinieriis[26].

    Ses habitants sont appelés les Ziniérais[27].

    Histoire

    Du Ve au IXe siècle, le territoire fait partie de l'antique Tiphalie, le pays de Tiffauges. Le premier acte qui cite le nom de La Séguinière fait mention vers 1080 d'un Gautier, prêtre, qui, lui et sa famille, donna le bordage de l'Elinière près d'Aubigné à l'abbaye de Marmoutiers[28],[29].

    La Séguinière est au Moyen Âge une châtellenie située en Marches communes de Poitou et d'Anjou et relève de la baronnie de Mortagne, pour le Poitou, et de la baronnie de Montfaucon, pour l'Anjou. Un important château est édifié au nord du bourg, sur la rive droite de La Moine. Incendié, il est en ruine au XVIIe siècle[30].

    La terre est mise en bail judiciaire à la fin du XVIIe, avec le château de la Treille à Cholet. Il en dépend un moulin à eau et plusieurs métairies. La châtellenie est unie aux seigneuries de la Treille, Saint-André-de-la-Marche, la Rivière-Sauvageon, etc. et devient le marquisat de Beauveau[31],[32].

    La Séguinière, située en marches communes d'Anjou et de Poitou, relève jusqu'à la Révolution du diocèse de La Rochelle, du pays d'élection et des aides de Montreuil-Bellay, de la sénéchaussée et du présidial d'Angers, du district de Cholet[31].

    Durant la guerre de Vendée, les habitants du pays rejoignent à Cholet les troupes insurgées de Jacques Cathelineau. Un combat est livré en février 1794 à La Séguinière. Le mois suivant le village est incendié et la colonne du général Cordellier massacre des habitants[31].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
      1973
    (décès)
    Marcel Luneau    
    1973 juin 1995 Roger Dronneau[33]   Inséminateur
    Président de la communauté de communes de l'Ouest choletais (1986-1995)
    juin 1995 mai 2020 Jean-Paul Boisneau[34] UMP-LR Retraité
    Conseiller général (2004-2015)
    Conseiller départemental (depuis 2015)
    mai 2020 En cours
    (au 28 mai 2020)
    Guy Barré[35]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune est membre de l'agglomération du Choletais. Elle était précédemment membre de la communauté d'agglomération du Choletais[36].

    Population et société

    Évolution démographique

    Sa population est de 226 feux en 1689, 217 feux en 1709, 230 feux en 1720, 264 feux en 1787, 30 feux en 1789, 1 903 habitants en 1790[37].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].

    En 2019, la commune comptait 4 192 habitants[Note 7], en augmentation de 5,67 % par rapport à 2013 (Maine-et-Loire : +2,26 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1741 0141 1831 2681 3131 3771 3241 5501 538
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6041 6311 6041 5701 5951 6131 7061 6901 640
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5711 4241 3611 2711 2471 2561 2111 3241 533
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 5931 6722 2253 1083 4823 5063 5933 6303 765
    2015 2019 - - - - - - -
    4 0414 192-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,3 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 2 063 hommes pour 2 110 femmes, soit un taux de 50,56 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ou +
    1,4 
    5,8 
    75-89 ans
    8,0 
    19,5 
    60-74 ans
    19,3 
    20,2 
    45-59 ans
    20,2 
    19,6 
    30-44 ans
    19,3 
    11,5 
    15-29 ans
    11,3 
    22,8 
    0-14 ans
    20,5 
    Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2018 en pourcentage[43]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ou +
    2 
    6,9 
    75-89 ans
    9,5 
    15,5 
    60-74 ans
    16,3 
    19,4 
    45-59 ans
    18,8 
    18,6 
    30-44 ans
    17,7 
    18,6 
    15-29 ans
    17,5 
    20,2 
    0-14 ans
    18,2 

    La population a fortement augmenté dans les années 1970, ce qui a entraîné un fort développement de l'habitat. Le nombre de jeunes ménages est maintenu à un niveau raisonnable ce qui permet aux effectifs scolaires de se maintenir.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    Le revenu fiscal médian par ménage sur La Séguinière est en 2018 de 22 930 , pour une moyenne sur le département de 21 110 [44].

    Population active et emploi

    La population âgée de 15 à 64 ans s’élève en 2017 à 2 533 personnes (pour 2 414 en 2007), parmi lesquelles on comptait 78 % d'actifs dont 71 % ayant un emploi et 7 % de chômeurs[45].

    En 2017 on comptait 2 243 emplois dans la commune, contre 2 090 en 2007. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune étant de 1 809. L'indicateur de concentration d'emploi est de 124 %, ce qui signifie que la commune offre un nombre important d'emploi par rapport au nombre d'actifs, indicateur en augmentation (117 % en 2007)[45].

    Activités économiques

    Au XVIIe siècle on y cultive le froment, le seigle et le lin. L'industrie du textile se développant dans le Choletais, on trouve également plus d'une trentaine de métiers à tisser[30]. Au XIXe, les habitants vivent principalement de l'agriculture, mais aussi du tissage. Une blanchisserie, installée au XVIIIe, y fonctionne encore. Plusieurs fours à briques et à carreaux sont en activités, ainsi qu'une dizaine de moulins à eau ou à vent[31].

    Au XXe siècle, dans les années 1960, La Séguinière est une petite commune rurale qui vit toujours principalement de l'agriculture et de l'artisanat. Un plan de développement vise à se doter de zones industrielles et artisanales[46].

    En 1990, on compte une cinquantaine d'exploitations agricoles, majoritairement tournées vers l'élevage de bovins. Des carrières d'agile sont exploitées pour la fabrication de briques pour la construction[46].

    Au XXIe siècle, sur les 407 établissements présents sur la commune à fin 2010, 12 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 12 % du secteur de l'industrie, 9 % du secteur de la construction, 59 % de celui du commerce et des services et 8 % du secteur de l'administration et de la santé[47]. Fin 2015, sur les 457 établissements actifs, 7 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 12 % du secteur de l'industrie, 10 % du secteur de la construction, 63 % de celui du commerce et des services et 8 % du secteur de l'administration et de la santé[48].

    Zones d'activités

    Trois zones industrielles sont implantées à La Séguinière :

    • La zone de La Ménardière, avec les magasins de déstockage Marques Avenue (plus de 80 magasins) et les magasins d'usine et de négoce Circuit des marques (25 magasins) ;
    • La zone de la Bergerie ;
    • La zone des Grands Bois[49].

    D'autres activités sont présentes sur la commune, comme des services de proximité et des professionnels de la santé[49].

    Située dans le bassin de vie de Cholet, la ville fait partie de la communauté d'agglomération du Choletais.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine :

    • Chapelle Notre-Dame-de-Toute-Patience, des XVe, XVIe, XVIIIe, XIXe et XXe siècles[50] ;
    • Église Notre-Dame[51] ;
    • Ferme des Landes-Pesseaux, des XVe, XVIe et XVIIe siècles[52] ;
    • Manoir de la Forêt, des XVIe et XIXe siècles[53] ;
    • Manoir de la Marche, des XVe et XVIe siècles[54] ;
    • Manoir de la Renolière, des XVe, XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles[55] ;
    • Mégalithe dit le rouler des Châteliers[56] ;
    • Vieux pont du XVe siècle au pied du vieux bourg.

    Sentiers de randonnée :

    • Un sentier d’interprétation, le long de la Moine à partir du Moulin de la Cour, pour valoriser la faune, la flore et l’histoire locale a été inauguré en  ;
    • Deux autres sentiers balisés parcourent le territoire communal : Sur les Pas du père de Montfort, itinéraire de quelques kilomètres à la découverte du patrimoine architectural de la commune, et le chemin de Tiffauges à l’Étang Ruiné, itinéraire de 14 km à travers les paysages de campagne ziniéraise.

    Personnalité liée à la commune

    • Louis-Marie Grignion de Montfort dit le père de Montfort (1673-1716) est venu à La Séguinière en 1713 et 1715 où certains vitraux de l'église Notre-Dame de l'Assomption retracent sa vie ;
    • Ron Anderson, né le à Chicago, ancien joueur professionnel de basket-ball dans les championnats NBA et français, évolue quelque temps au sein du club de La Séguinière Saint-Louis Basket.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. 4 (S-Z), Angers, H. Siraudeau & Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 35857376), p. 371-376.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. IGN et BRGM, Géoportail La Séguinière (49), consulté le 11 novembre 2012.
    2. Célestin Port 1996, p. 372.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Cholet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre La Séguinière et Cholet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Cholet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre La Séguinière et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 de La Séguinière », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. Célestin Port 1996, p. 371-372.
    27. « Mot du maire », sur Mairie de la Séguinière (mairie-laseguiniere.fr) (consulté le ).
    28. Célestin Port 1996, p. 373.
    29. Célestin Port 1996, p. 530, Tiphalie.
    30. Célestin Port 1996, p. 374.
    31. Célestin Port 1996, p. 375.
    32. Célestin Port 1996, p. 570-571, La Treille.
    33. Ouest-France, La Séguinière : Roger Dronneau est décédé, article du 23 juin 2013.
    34. Ouest-France, Sans surprise, Jean-Paul Boisneau réélu maire, article du 30 mars 2014.
    35. « La Séguinière. Guy Barré : le nouveau maire ziniérais », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
    36. Insee, Composition de l'EPCI du Choletais (244900700), consulté le 28 septembre 2013
    37. Célestin Port 1996, p. 372, Population.
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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    54. « Manoir de la Marche », notice no IA49004116, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    55. « Manoir de la Renolière », notice no IA49004117, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    56. « Mégalithe dit le rouler des Châteliers », notice no IA49003903, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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