La Trinité-sur-Mer
La Trinité-sur-Mer [la tʁi.ni.te syʁ mɛʁ] est une commune française, créée en 1864, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.
La Trinité-sur-Mer | |
La Trinité-sur-Mer. | |
Blason |
Logo |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Bretagne |
Département | Morbihan |
Arrondissement | Lorient |
Intercommunalité | Auray Quiberon Terre Atlantique |
Maire Mandat |
Yves Normand 2020-2026 |
Code postal | 56470 |
Code commune | 56258 |
Démographie | |
Gentilé | Trinitains |
Population municipale |
1 622 hab. (2019 en diminution de 1,22 % par rapport à 2013) |
Densité | 262 hab./km2 |
Population agglomération |
7 859 hab. |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 35′ 10″ nord, 3° 01′ 42″ ouest |
Altitude | Min. 0 m Max. 31 m |
Superficie | 6,2 km2 |
Type | Commune rurale et littorale |
Unité urbaine | Carnac (banlieue) |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Quiberon |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.la-trinite-sur-mer.fr |
La Trinité-sur-Mer est connue pour son port et pour ses compétitions nautiques.
Géographie
Localisation
Bâtie sur une hauteur, la ville de La Trinité-sur-Mer s'étire sur 800 mètres en bordure de la rivière de Crach dont le vaste estuaire, bien abrité, accueille les nombreux parcs à huîtres destinés à la récolte du naissain. Un petit port de pêche, un port de plaisance très fréquenté et des chantiers navals apportent une grande animation à la cité balnéaire qui possède de belles plages le long de la presqu'île de Kerbihan.
Communes limitrophes
Géologie et relief
- La pointe de Men Du et l'île de Stuhan vus depuis la plage du Men Du.
Voies de communication et transports
Le premier pont de Kerisper permettant de franchir la Rivière de Crac'h et de relier La Trinité-sur-Mer à Crac'h et Locmariaquer via Saint-Philibert fut construit entre 1899 et 1901[1] (sa construction était réclamée par les habitants de la région depuis des décennies[2]). Ce pont était constitué d'arches en pierres à ses deux extrémités, avec un tablier métallique (type Eiffel) de 100 mètres de long et à voie unique dans sa partie centrale. Ce pont fut détruit par les Allemands le . Le nouveau et actuel pont de Kerisper a été inauguré en 1956 et a connu une rénovation importante en 2009-2010[3].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Carnac », sur la commune de Carnac, mise en service en 1993[10] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,1 °C et la hauteur de précipitations de 832,8 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Vannes-Séné », sur la commune de Séné, mise en service en 1998 et à 22 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 12,3 °C pour 1981-2010[14] à 12,4 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
La Trinité-sur-Mer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Carnac, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[19] et 12 856 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20],[21]. La commune est en outre hors attraction des villes[22],[23].
La commune, bordée par l'Océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[24]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[25],[26].
En 2020, 67,7 % des logements de La Trinité-sur-Mer étaient, selon l'INSEE, des résidences secondaires[27].
Selon le baromètre de l'immobilier, La Trinité-sur-Mer était en 2021 la commune de Bretagne où le prix médian des maisons était le plus élevé (627 500 euros) [28].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (41,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (33,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (34,4 %), zones agricoles hétérogènes (27 %), forêts (18,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,8 %), zones humides côtières (5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,8 %), eaux maritimes (2,1 %), terres arables (0,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,2 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[30].
Toponymie
Le nom de la localité tire son nom de la chapelle du village édifiée en 1682 en remplacement d'une ancienne chapelle Saint-Gildas. Avant 1864, elle s'appelait encore Locqueltas, en breton Lokeltaz, « lieu de Gweltas (Gildas) »[31].
Le nom de la commune en breton est An Drinded-Karnag, ce qui traduit en français donne La Trinité-Carnac. An Drinded rappelle La Sainte Trinité des Chrétiens.
Histoire
Moyen-Âge
C'est à partir du XIIIe siècle que l'on trouve des traces du village et de son port. L'activité saline est très importante pendant plusieurs siècles. Une maison de douanier postée en vigie à l’entrée du chenal témoigne de cette époque.
La Trinité-sur-Mer comprend 15 des 70 villages recensés dans la paroisse de Carnac en 1475. Parmi ceux-ci, Locqueltas (frairie de Larmor) ; une chapelle de la Sainte-Trinité y est construite en 1682, succédant à une chapelle Saint-Gildas. Locqueltas devient alors le village de la Trinité (bourg actuel).
Le XIXe siècle
La commune de la Trinité-sur-Mer est créée en 1864, la paroisse en 1865.
La Belle Époque
Un vœu en faveur d'un projet de construction d'une ligne de chemin de fer à voie étroite allant d'Étel à Vannes en passant par La Trinité-sur-Mer, Crach, Le Bono, Baden et Arradon, qui aurait nécessité la construction de plusieurs ouvrages d'art, fut voté en 1916 par le Conseil général du Morbihan, mais ce projet n'aboutit pas[32]. Seule la ligne de tramway allant de la Trinité à Étel fut construite en 1901, mais elle ferma en 1915 et réouvrit, transformée en ligne de chemin de fer à voie étroite, entre 1922 et 1935[33].
L'Entre-deux-guerres
Le village se développa autour du commerce maritime et la petite communauté prospéra. Mais en 1931, le gouvernement prit une mesure protectionniste pour favoriser les Charbonnages de France. Le commerce maritime s'arrêta à la Trinité-sur-Mer. Le village se tourna alors vers la pêche. L'ancienne criée, démolie en 1923, fut reconstruite, et les goélettes laissèrent la place aux bateaux de pêche.
La Seconde Guerre mondiale
L'épave d' un bombardier de la Royal Air Force, qui s'abima en mer à l'entrée du chenal du port de La Trinité pendant la Seconde Guerre mondiale a été retrouvée en 2015 par le Groupement de recherche archéologique, historique et maritime de Bretagne Sud (GRAHMBS)[34].
Le XXIe siècle
Aujourd'hui, le port de pêche s'est transformé en port de plaisance avec l'essor du tourisme nautique. L'ostréiculture est aussi bien présente à la Trinité-sur-Mer.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1866. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].
En 2019, la commune comptait 1 622 habitants[Note 6], en diminution de 1,22 % par rapport à 2013 (Morbihan : +2,97 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
En 2018, selon l'Insee, 67,3 % des logements étaient des résidences secondaires à La Trinité-sur-Mer.
Enseignement
La ville possède une école publique maternelle et primaire baptisée Les Crevettes Bleues. Elle se compose de deux classes : une maternelle-CP et une CE1-CM2. L'école possède aussi 3 cours de récréation. La ville possède également une école privée baptisée " Notre Dame", comprenant 3 classes.
Sports
En complément au tourisme terrestre, La Trinité a développé son port à flot, qui est aujourd'hui un des principaux ports de plaisance en Bretagne. Sa position privilégiée au fond d'un estuaire lui permet d'accueillir les multicoques (catamarans, trimarans) qui viennent se préparer pour les courses autour du monde.
Mais La Trinité-sur-Mer est surtout un des lieux de régate les plus importants d'Europe. La Société Nautique de La Trinité-sur-Mer organise de nombreuses régates, forme les marins à travers son école de voile et de sport. Toutes les séries de course-croisière s'y retrouvent le weekend de Pâques où plus de 400 bateaux peuvent se retrouver dans une quinzaine de séries différentes, pour les régates du Spi Ouest-France.
La situation géographique de La Trinité permet d'organiser des régates complexes mais équitables dans la baie de Quiberon ainsi que des courses hauturières le long des côtes de Bretagne sud et autour des îles du Ponant.
La ville avait aussi un casino qui complétait l'offre en terme d'activités de loisirs et de tourisme ; il contribuait à financer une partie des équipements de la ville et leur entretien. Fermé depuis le , le Casino sert maintenant d'hôtel sous le nom "Hôtel de la Trinité".
Patrimoine, personnalités et héraldique
Lieux et monuments
- Le pont de Kerisper rejoint Saint-Philibert en franchissant la rivière de Crac'h. À l'origine, il s'agissait d'un pont en acier, conçu par Gustave Eiffel et inauguré en 1901. Il fut détruit en 1944 par les Allemands et reconstruit entre 1956 et 1958, sous la forme d'un pont en arc de 203 mètres de long. La structure attaquée par la corrosion due à l'environnement marin, des travaux de réfection ont été engagés fin 2009[40]. Après avoir été interrompus et reportés de plusieurs mois, ils ont repris en , pour une durée prévue d'un an[41].
- La Trinité-sur-Mer possède plusieurs sites mégalithiques, tous classés aux monuments historiques :
- Alignements du Petit-Ménec ( Classé MH (1889))
- Allée couverte d'Er-Roh ( Classé MH (1929))
- Dolmen de Kermarker ( Classé MH (1899))
- Dolmen de Mané Rohr ( Classé MH (1947))
- Dolmens de Mané-Kervilor ( Classé MH (1927))
- Tumulus d'Er-Velenc-Losquet ( Classé MH (1931))
- Les deux grandes plages exposées au sud sur la baie, celle de Kervillen surveillée par un poste de secours de la SNSM et celle du Men-Dû face à l’île de Stuhan à laquelle elle est reliée à marée basse par un tombolo, accueillent les baigneurs et amateurs de pêche à pied à marée basse ; avec leurs clubs de loisirs, et équipées de toilettes publiques et douches, elles sont accessibles aux personnes à mobilité réduite et bordées de parkings.
- De plus petites plages exposées à l’est s’ouvrent sur le chenal du Crac’h, traversé par les nombreux bateaux de plaisance qui rejoignent le port : elles permettent également la pêche à pied dans la vasière de la Vaneresse, découverte à marée basse et qui s’étend tout le long du chenal jusqu’au port, mais aussi la baignade à marée haute dans des espaces réservés interdits à la navigation.
- Église Saint-Joseph.
Personnalités liées à la commune
- La Famille Le Pen, dont le patriarche Jean-Marie Le Pen est né à La Trinité-sur-Mer, et dont d'autres membres comme Marine Le Pen et Marion Maréchal-Le Pen y ont leurs habitudes[42],[43],[44]
- Alain Barrière (1935-2019), chanteur français, auteur-compositeur, né et enterré à La Trinité-sur-Mer ;
- Alain Souchon (1944-), chanteur français, possède une résidence secondaire à La Trinité-sur-Mer ;
- Jacques Botherel (1946-), coureur cycliste français, champion du monde amateur sur route en 1965[45] ;
- Philip Plisson (1947-), photographe, établi à La Trinité-sur-Mer ;
- Thomas Coville (1968-) navigateur français.
Héraldique
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Les armoiries de La Trinité-sur-Mer se blasonnent ainsi :
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Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- "Rapports du Préfet et délibérations du Conseil général / Conseil général du Morbihan", n° du 22 août 1898, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57791490/f205.image.r=Crach?rk=128756;0
- « Une lettre de Bretagne.. », sur Journal Le Rappel, (consulté le ).
- http://locmariaquer.info/f221_%20le%20pont%20de%20Kerisper.htm
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Carnac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre La Trinité-sur-Mer et Carnac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Carnac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
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- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- Martin Vaugoude, « Limiter les résidences secondaires : le sujet qui divise la Bretagne. », sur https//www.letelegramme.fr, (consulté le ).
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- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Étymologie et Histoire de La Trinité-sur-Mer », sur infobretagne.com (consulté le ).
- « Nos futurs chemins de fer », L'Ouest-Éclair, , p. 5 (lire en ligne sur Gallica, consulté le )
- « Voies ferrées d'intérêt local. Ligne de La Trinité-sur-Mer à Étel », sur Rapports du Préfet et délibérations du Conseil général / Conseil général du Morbihan, (consulté le ).
- Sophie Paitier, « Une nouvelle carte bretonne des épaves de la Seconde Guerre mondiale », JournalLe Télégramme, (lire en ligne, consulté le ).
- « Municipales à La Trinité-sur-Mer. Yves Normand élu », sur Ouest-France, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Conseil général du Morbihan, Morbihan Hebdo no 165, du 9 au 15 novembre 2009. Page consultée le 4 juin 2010.
- Le Télégramme.com, Pont de Kerisper. 12 mois de réfection, 7 août 2010. Consulté le 29 octobre 2010.
- François Krug, « A La Trinité-sur-Mer, la demeure historique du clan Le Pen », sur Le Monde, (consulté le ).
- Thierry Charpentier, « À La Trinité-sur-Mer, « les Le Pen, des citoyens lambda » », sur Le Télégramme, (consulté le )
- Tugdual Denis, « Voyage à la Trinité: le fief du clan Le Pen », sur L'Express, (consulté le )
- Le Télégramme, « Tour de France : Jacky Botherel, le Trinitain au cœur arc-en-ciel battant pour la Grande boucle », Le Télégramme, (lire en ligne)
Voir aussi
Bibliographie
- Xavier Dubois, Histoire de Carnac et de La Trinité-sur-Mer, Éditions du Menhir, Carnac, 2010
Articles connexes
- Liste des communes du Morbihan.
- La bataille des Cardinaux ayant opposé en 1759 durant la guerre de Sept Ans les flottes française et britannique, au sud de la Trinité-sur-Mer, dans la baie de Quiberon contrôlant l’entrée du golfe du Morbihan, et s’est poursuivie après la défaite française jusqu’aux estuaires de la Vilaine et de la Loire.
Liens externes
- Site de la ville
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de l'office de tourisme
- Carte de Cassini de La Trinité-sur-Mer sur le site de GenCom
- La Trinité-sur-Mer sur le site de GenCom
- Architecture de La Trinité sur Mer - Base Mérimée
- La Trinité-sur-Mer sur le site de l'Institut géographique national
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