La Vieille-Lyre
La Vieille-Lyre est une commune nouvelle située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
La Vieille-Lyre | |
![]() Vue du village de La Vieille-Lyre | |
![]() Héraldique |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Bernay |
Intercommunalité | Communauté de communes Interco Normandie Sud Eure |
Maire Mandat |
Marc Morière 2020-2026 |
Code postal | 27330 |
Code commune | 27685 |
Démographie | |
Gentilé | Lyrois |
Population municipale |
659 hab. (2019 ![]() |
Densité | 34 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 55′ 07″ nord, 0° 45′ 03″ est |
Altitude | Min. 137 m Max. 187 m |
Superficie | 19,63 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Breteuil (Eure) |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Géographie
Localisation
Voisine de La Neuve-Lyre, c'est une commune rurale du pays d'Ouche[1]. Le village en lui-même est petit mais de nombreux hameaux (le Mesnil, Trisay, le Haut Bréau, la Seigleterie, la Mare Plate, la Brumanière, le Chalet...) et des écarts (la Mare Thierry, la Ronce) complètent la population.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Bottereaux », sur la commune des Bottereaux, mise en service en 1978[10] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,3 °C et la hauteur de précipitations de 731,3 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, mise en service en 1968 et à 36 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[14] à 10,8 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[16].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,5 | 0,1 | 2 | 3,1 | 6,6 | 9,4 | 11,4 | 11,1 | 8,6 | 6,4 | 3,1 | 1 | 5,3 |
Température moyenne (°C) | 3,5 | 3,8 | 6,7 | 8,9 | 12,6 | 15,7 | 18 | 17,8 | 14,7 | 11 | 6,6 | 3,9 | 10,3 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,6 | 7,6 | 11,5 | 14,7 | 18,6 | 22 | 24,6 | 24,6 | 20,8 | 15,5 | 10,1 | 6,9 | 15,3 |
Record de froid (°C) date du record |
−18 18.01.85 |
−17,5 11.02.12 |
−12 01.03.05 |
−5,5 08.04.03 |
−3 04.05.16 |
−2,2 05.06.91 |
3,5 04.07.84 |
2,4 25.08.80 |
−0,5 25.09.03 |
−6,5 30.10.97 |
−9,7 26.11.89 |
−12,4 29.12.96 |
−18 18.01.85 |
Record de chaleur (°C) date du record |
15,4 27.01.03 |
18,5 20.02.98 |
23,5 30.03.17 |
29 20.04.18 |
31,3 25.05.10 |
37,5 21.06.17 |
39,5 01.07.15 |
41,2 06.08.03 |
34 13.09.16 |
29 01.10.11 |
21 01.11.14 |
17 06.12.79 |
41,2 06.08.03 |
Précipitations (mm) | 68,4 | 54,3 | 58,4 | 51,8 | 63,3 | 55,9 | 60,2 | 45,5 | 56,8 | 72,8 | 66 | 77,9 | 731,3 |
Urbanisme
Typologie
La Vieille-Lyre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[17],[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].
Habitat
Logements[22] | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Ensemble | 242 | 298 | 337 | 358 | 360 | 393 | 426 | 421 |
Résidences principales | 170 | 193 | 210 | 224 | 250 | 275 | 300 | 302 |
Résidences secondaires et logements occasionnels | 69 | 100 | 104 | 110 | 92 | 89 | 97 | 75 |
Logements vacants | 3 | 5 | 23 | 24 | 18 | 28 | 29 | 44 |
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Vetus Lira vers 1050 ; la Vieu lyre en 1479[23] ; Vieille Lyre, La Lire en 1523 (Rech. de la noblesse)[24].
La première mention (latinisée) est conjointe à celle de La Neuve-Lyre (Nova Lira vers 1050). Il s'agit sans doute de la division d'un primitif Lire, conservé par le nom de l'ancienne abbaye de Lyre[25].
Ce toponyme semble devoir être rapproché du nom primitif de la Risle (fluvius Lirizinus VIIIe siècle, Vie de saint Germer) qui contient le thème hydronymique lera / lira, mis en évidence par les linguistes[25]. Dans le cas du nom de la Risle, on a une double suffixation *Lir-ic-ina, devenu par métathèse *Ricilina > Risle. Les noms de lieux et les hydronymes se déclinent souvent l'un à partir de l'autre dans les faits.
Il n'y a donc pas de rapport direct avec l'instrument de musique ; seule la graphie apparue à la fin du Moyen Âge s'y réfère.
Histoire
Moyen Âge
La Vieille-Lyre émerge de l'histoire en 1046, date de la fondation d'une abbaye sur son territoire. Mais le village existait sûrement avant cette date. Une voie romaine traverse d'ailleurs la commune. La découverte de nombreux silex préhistoriques atteste d'une fréquentation précoce du site[26].
Les moines de l'abbaye Notre-Dame de Lyre possédaient plusieurs fermes dans la paroisse : la Bosselette, la Bourgeraie, la Seigleterie, Melbuc. Ils détenaient aussi une portion de la forêt de Breteuil (la Haie de Lyre). Des défrichements sur cette forêt et sur celle de Conches permirent d'agrandir aux XIe et XIIe siècles les terres cultivables vers l'est[27].
Histoire moderne
Au XVIIIe siècle, si l'essentiel de la population vivait de l'agriculture, on note une proportion notable de travailleurs du fer (serruriers, ouvriers de forge) et du bois (charpentiers, charbonniers).
La vallée témoignait également d'une forte activité à l'époque : quatre moulins utilisaient les eaux de la Risle pour moudre le grain ou foulonner les draps. Il n'en reste pas grand chose : juste des vannages et des canaux. Dans le hameau de Trisay, il est fait référence à un moulin à blé dès 1040, mais il devint une forge en 1489. En 1869 cet ensemble fût démoli et remplacer par une fabrique de clous et de crochets.[28]
L'expulsion des moines et la destruction de l'abbaye lors de la Révolution plongea le village dans l'anonymat[29].
Histoire contemporaine
Lors de la Libération, le centre du village a été ravagé par les bombardements. Quatre habitants y perdirent la vie (Robert Fardois, Louis Fourmot, Raoul Langlois et Henri Lamy). Marcel Boucher (22 ans) et Jacques Berment (18 ans) qui avaient été chargés de transporter des chevaux réquisitionnés par les Allemands à l’autre bout du département, furent arrêtés à leur retour par les Nazis. Sans papier d’identité sur eux, ils furent alignés le long d’un mur et fusillés sans aucune forme de procès le 23 août 1944[30]. Plus tard dans la journée, le village fut libéré par la division des Royal Scots Greys de la IIème armée, dirigée par le comte Edward Spencer. Le 21 août 2019 une stèle commémorative fut inaugurée en présence de Charles Spencer, fils d'Edward Spencer et frère de la princesse Diana[31].
Stèle commémorative de la libération de La Vieille-Lyre Détail de la stèle Stèle commémorative de J. Berment et M. Boucher
Le , la commune absorbe Champignolles par suite de l'arrêté préfectoral du et devient une commune nouvelle[32].
Politique et administration
Administration municipale
Mairie de La Vieille-Lyre
Jumelages
Drapeau | Pays | Ville | Zone | Année |
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![]() |
Royaume-Uni | Eardisland | Herefordshire | 2007 |
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].
En 2019, la commune comptait 659 habitants[Note 7], en augmentation de 4,77 % par rapport à 2013 (Eure : +0,75 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Cadre de vie
- La Vieille-Lyre est une ville fleurie au label des villes et villages fleuris qui a décroché sa première fleur en 2020[37].
- La Vieille-Lyre est le point de départ (et d'arrivée) du chemin de randonnée, dit Chemin des Moines (empruntant une partie du GR 224). D'une distance de 6,7 km et d'une durée de 1 h 45 min à pied, ce chemin offre de traverser La Vieille-Lyre, La Neuve-Lyre, la campagne environnante et d'avoir une vue sur la vallée. (Fiche du circuit)
- Le village a aménagé en parc de loisirs une large pelouse le long de la Risle avec une aire de jeu pour les enfants, des tables pour pique-niquer et des zones de pratique sportive (Panneau de basket-ball, boulodrome)[38].
- Création en 2021 d'un poulailler pédagogique à proximité de l'école des Tourterelles[39].
- Installation en 2022 d'un hôtel à insectes et oiseaux[40].
Fiche du circuit Le Chemin des Moines Parc de loisirs Poulailler pédagogique Hôtel à insectes
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Il ne reste quasiment rien de l'abbaye Notre-Dame de Lyre : juste des murs d'enclos, des caves et une partie du logis abbatial (devenue gîte de groupe).
- Église paroissiale Saint-Pierre (XIIIe siècle) restaurée à la fin du XIXe siècle. À l'intérieur se trouve le gisant (XVIe siècle) d'Adelise de Tosny[41], cofondatrice du monastère.
Église paroissiale Saint-Pierre Gîte Le trou normand, ancienne abbaye Gisant d'Adelise de Tosny, cofondatrice du monastère
Personnalités liées à la commune
- Nicolas de Lyre (La Vieille-Lyre, 1270 - Paris, 1349), théologien et exégète.
- Guillaume Alexis, surnommé le « Bon Moine », fin du XVe siècle / début du XVIe siècle. Savant bénédictin de l'abbaye de Lyre, puis prieur de Bucy-le-Roi. En 1486, il fit un pèlerinage à Jérusalem, où il mourut.
- Louis Le Masson (La Vieille-Lyre, 1743 - Paris, 1829) est un ingénieur des ponts et chaussées et architecte.
- François Masson (La Vieille-Lyre, 1745 - Paris, 1807), frère cadet de Louis, est un sculpteur.
- Simone Sauteur (La Vieille-Lyre, 1921 - Saint-Aubin-lès-Elbeuf, 2012), enseignante, poète et résistante française.
Cinéma
- Le Trou normand, film réalisé par Jean Boyer et sorti en 1952, avec Bourvil et Brigitte Bardot, fut tourné en grande partie dans ce village. Dans le film, l'auberge Le Trou normand se situait au centre du village de La Vieille-Lyre. À l'époque du tournage, c'était un hôtel nommé Hôtel de France. Celui-ci avait été rebaptisé pour les besoins du film. Situé sur la place de l'église, à côté du monument aux morts, Il est devenu aujourd'hui un gîte communal [42]. Le 21 octobre 2021, la commune a inauguré une réplique de la pompe à essence, semblable à celle du film[43].
Le Trou Normand - Gîte communal Pompe à essence comme dans le film Le trou normand
Héraldique
![]() |
Les armes de la famille Annest, propriétaire du village depuis 1324, se blasonnent ainsi : écartelé : au 1) et au 4) de gueules aux cinq fusées d’argent ordonnées 3 et 2 au 2) et 3) de gueules à la rose d’hermine ; sur le tout d’azur à la harpe d’or.
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Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Le pays d'Ouche », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
- « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Les Bottereaux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre La Vieille-Lyre et Les Bottereaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Les Bottereaux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre La Vieille-Lyre et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Dossier complet Commune de La Vieille-Lyre (27685) », sur https://www.insee.fr/,
- François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, éditions Picard 1981. p. 208.
- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 231.
- ibidem
- « Guillaume le Conquérant », sur Encyclopédie Universelle
- Charles Guéry, « Histoire de l'abbaye de Lyre, par M. l'abbé Ch. Guéry », sur BnF Gallica
- Laurent Ridel, « Normandie Web : La Vieille-Lyre », sur http://www.normandieweb.org
- Nadine DELAFOSSE, « Normandie Web : La Neuve-Lyre », sur NormandieWeb
- « La Vieille-Lyre a aussi ses victimes de la Seconde Guerre mondiale », sur https://www.paris-normandie.fr/,
- Sylvie Callier, « La Vieille-Lyre (27) : Le comte Spencer honore la mémoire de son père à la cérémonie des 75 ans de la Libération », sur https://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/,
- Thierry Coudert, « Arrêté préfectoral portant création d'une commune nouvelle La Vieille-Lyre », Recueil des actes administratifs n°27-2018-179, , p. 160-163 (lire en ligne [PDF]).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Rédaction de l'Aigle, « La Vieille-Lyre. La commune décroche sa première fleur au Concours des Villes et Villages fleuris », sur https://actu.fr/,
- Rédaction de l'Aigle, « Vieille-Lyre : Un spacieux parking près de la salle des fêtes », sur https://actu.fr/,
- Rédaction de l'Aigle, « A La Vieille-Lyre, un poulailler pédagogique à l'école des Tourterelles », sur https://actu.fr/,
- Hugo Deshors, « Original en Pays de Rugles, un hôtel à insectes et oiseaux en plein cœur du village », sur actu.fr,
- « Monument funéraire d'Adelise de Tosny (gisant) », notice no PM27001812, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Le Trou Normand : souvenirs de tournage par Laurent Ridel
- « La Vieille-Lyre. La commune acquiert la pompe à essence du film le Trou Normand avec Bourvil », sur Actu.fr,
Voir aussi
Bibliographie
- Laurent Ridel, La Vieille-Lyre et La Neuve-Lyre autrefois, chez l'auteur, , 96 p. (ISBN 978-2-9533572-0-2, lire en ligne)
- Cartes postales sur le village
Articles connexes
Liens externes
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