Lacour-d'Arcenay

Lacour-d’Arcenay est une commune française située dans le département de la Côte-d'Or en région Bourgogne-Franche-Comté en France.

Pour les articles homonymes, voir Lacour et Arcenay.

Lacour-d'Arcenay

Village de Lacour
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Côte-d'Or
Arrondissement Montbard
Intercommunalité Communauté de communes des Terres d'Auxois
Maire
Mandat
Gérard Blandin
2020-2026
Code postal 21210
Code commune 21335
Démographie
Population
municipale
115 hab. (2019 )
Densité 5,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 21′ 47″ nord, 4° 15′ 10″ est
Altitude Min. 355 m
Max. 503 m
Superficie 20,24 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Semur-en-Auxois
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Lacour-d'Arcenay
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Lacour-d'Arcenay
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Lacour-d'Arcenay
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Lacour-d'Arcenay

    Géographie

    Lacour-d'Arcenay se situe dans le Morvan à une dizaine de kilomètres au nord de Saulieu. Arcenay et Franceau sont les deux hameaux de la commune.

    Son territoire, posé sur la ligne séparative du terrain granitique et du sol calcaire est en partie maigre ou fertile. Le chef-lieu est situé dans une vallée, sur un petit ruisseau, affluent du Serein, et près de vastes forêts.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Lacour-d'Arcenay est une commune rurale[Note 1],[1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2],[3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (61 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,9 %), prairies (24,9 %), terres arables (9,8 %), zones agricoles hétérogènes (4,4 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Histoire

    On trouvera un essai d’Emmanuelle de Thy-Dupont (2014) retraçant l’histoire très ancienne du village de Lacour d’Arcenay jusqu’à la Révolution (174 pages).

    Extraits du livre de l’abbé Baudiau « Le Morvand » (1866) :

    Dans un bois voisin de Lacour d'Arcenay, au lieu-dit les Vignes, on a découvert des objets antiques, comme des fragments de mosaïque, des colonnes, des tuiles à rebords, des débris de poterie et des médailles, indices certains de l'existence d'une villa romaine.

    De manière singulière, la commune de Lacour d'Arcenay, bien que située assez avant dans la Bourgogne, dépendait autrefois du Nivernais et relevait de l'élection et du grenier à sel de Vézelay. Sur le plan religieux, elle faisait partie du diocèse d'Autun et de l'archiprêtré de Quarré-les-Tombes. L'évêque avait la responsabilité de la cure et les dîmes étaient partagées entre le curé et le seigneur.

    La terre de Lacour, mouvante du duché du Nivernais, à l'exception d'une partie dite libre qui relevait du marquisat d'Époisses, était une seigneurie en toute justice, ayant titre de baronnie. Alix de Nevers, dame de Coulanges-la-Vineuse et de Lacour, fille de Guillaume III de Nevers (1110-61) et d'Ide de Carinthie, épouse Renard ou Renaud IV, comte de Joigny († entre 1164 et 1179). La seigneurie se transmit, avec Coulanges, à leur arrière-petit-fils Guillaume III de Joigny (né vers 1230-† vers 1261) puis à sa fille Jeanne de Joigny, femme de Guillaume (Ier) d'Antigny de Ste-Croix (neveu d'Hugues IV, comte de Vienne ; † avant son propre père Henri de Vienne d'Antigny de Ste-Croix en 1287 ; parents, entre autres enfants, de Simon de Ste-Croix, dernier comte héréditaire de Joigny).

    Une branche cadette des Ste-Croix, les sires de Savigny-en-Revermont, hérita de Lacour. Elle appartenait en 1367 à Jean de Sainte-Croix de Savigny, un chevalier qui en donna dénombrement la même année à la Chambre des comptes de Nevers. Sa bru Catherine Damas de Couzan (fille de Guy IV Damas de Couzan et femme de Jean le Jeune de Ste-Croix, † vers 1406/1408 sans postérité) reprit le fief vers 1406/1408[8], puis Lacour, Coulanges et Savigny passèrent au neveu maternel de Jean le Jeune, Hugues/Humbert de Luyrieux de la Cueille[9] (Coulanges est alors vendue à Charles de Savoisy pour six mille saluts d'or).

    Alix de Lurieux, fille de Humbert, seigneur de Cueille et de Savigny-en-Revermont, apporta ces terres en dot lors de son mariage, le (1425 n.s.), avec Pierre de La Baume, chevalier d'Hilan et du Mont-Saint-Sorlin (fils du maréchal Jean). Celui-ci fit refaire le terrier en 1445 et mourut peu de temps après. Sa veuve lui survécut jusqu'en 1475, date à laquelle son fils Guy reprit le fief pour la baronnie de Lacour qu'il laissa à son tour à son fils, Marc de La Baume[10], qui se disait, en 1518, chevalier, comte de Montrevel, baron de ChâteauVillain, de Thil-en-Auxois, de Grancey et de Marbos, […]. Il laissa plusieurs enfants : Joachim qui affranchit en 1539 Guy Sallier, doyen de la collégiale de Saulieu, et François son frère ;  Anne, mariée le à noble et puissant seigneur Pierre d'Aumont (fils aîné de Jean V et frère aîné de Pierre III d'Aumont), […] et lui porta la terre de La Cour, en assiette de mariage et à condition de rachat au capital de dix-huit mille livres ; [Le] frère de cette dame, en fit, en effet, retrait et en donna dénombrement au comte de Nevers, en 1541. Un de ses descendants, professeur au collège royal, fut élu en 1729 à l'Académie Française. '

    On retrouve ensuite la trace de Lacour en 1599 dans un dénombrement du chevalier François d'Aidie, chevalier, seigneur de La Quitinière qui en fit hommage en 1599 à la duchesse Henriette de Nevers, et qui laissa le fief à son fils Antoine en 1614. Cette terre appartient quelques années plus tard à Jean de Richeteau, mort en 1636, qui la transmit à son fils Henri qui mourut lui-même neuf ans après sans laisser de postérité bien qu'il eût épousé successivement Claude de Meun de La Ferté et Jeanne de Noyvin. La baronnie passa alors à Françoise de Richeteau, sa sœur, femme de Gabriel de Ruel qui fit aveu en 1645, et accorda à ses sujets le droit de faire paître (champoyer en ancien français) leurs bêtes dans les bois moyennant un boisseau de froment et d'avoine. Il vendit l'année suivante Juillenay et la métairie du Fourneau à Pierre de Sayve, baron de Thil, et, le , il céda la baronnie de Lacour à Claude Espiard, aumônier ordinaire du roi, protonotaire apostolique qui était abbé de Saint-Pierre de Châlons et chanoine de la Sainte-Chapelle de Dijon.

    Au début de l'année 1663, le nouveau seigneur réclama aux habitants de Juillenay le droit d'indire. Il commença la construction du château qu'il n'eut pas le temps d'achever. Par son testament, en 1668, il institua pour héritier universel son neveu, Claude Espiard, qui avait épousé, le , Marthe Jomey, fille d'un bourgeois de Saulieu, dont il eut six enfants. Claude II, l'aîné, se maria le , à Constance Catin, qui lui donna cinq héritiers dont Claude-Bernard qui lui succéda en 1711."''

    Pour la suite nous retournons à l’essai d’Emmanuelle de Thy – Dupont chapitre XII dont voici un résumé :

    Claude-Bernard Espiard de Lacour fait don du domaine de Lacour à son fils Pierre-Bernard lors de son mariage en 1750 avec Barbe Fevret de Fontette. Malheureusement ce dernier meurt 7 ans plus tard sans postérité et le domaine retourne à son père Claude-Bernard, veuf, âgé alors de 70 ans... Celui-ci, dans l’espoir d’avoir un héritier mâle, se remarie avec une jeune personne, Jeanne Pioret, dont il aura 3 filles. Hélas pas de garçons, alors que l’abbé Espiard, 1er constructeur du château en 1649, pour illustrer le nom d’Espiard, avait prévu dans son testament une clause de « substitution aux enfants mâles à perpétuité ».

    À la mort de Claude-Bernard, en 1768, l’ainée de ses filles, Anne-Augustine, alors âgée de 8 ans, hérite du domaine mais devra subir plusieurs procès de la part de plusieurs cousins mâles prétendants au domaine de Lacour d’après la clause de « substitution ». L’un des procès se terminera heureusement par le mariage d’Anne-Augustine avec son cousin issu de germain Jean-Baptiste Espiard de Macon en 1777, les autres par l’abolition de la clause de substitution par la Révolution.

    Le domaine passera ensuite en 1836 à leur petit-fils Louis de Comeau, fils de Sébastien-Joseph de Comeau et Françoise-Xavière Espiard de Macon (fille de Jean-Baptiste et Anne-Augustine), puis à Henry de Thy par son mariage en 1851 avec Mathilde de Comeau.

    Depuis, le domaine est resté dans la famille de Thy qui n’en possède plus maintenant que le château et quelques parcelles.

    Le château a été inscrit à l'Inventaire supplémentaire des Monuments historiques par arrêté préfectoral du [11].

    Lorsque l'abbé Espiard acheta le domaine de Lacour, au début du XVIIe siècle, un certain nombre de droits seigneuriaux y étaient attachés. Comme le montre la transcription de ce document, il existait de très nombreux impôts dus au seigneur caractéristiques de l'ancien régime.

    Voici la transcription de ces documents :

    Politique et administration

    Mairie de Lacour-d'Arcenay.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1983 mars 2001      
    mars 2001 en cours Gérard Blandin DVG Fonctionnaire
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    La commune de Lacour, malgré l'adjonction de celle d'Arcenay, qui lui a été unie en 1860, ne compte encore qu'une centaine d'habitants.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[13].

    En 2019, la commune comptait 115 habitants[Note 2], en diminution de 12,88 % par rapport à 2013 (Côte-d'Or : +0,82 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    77306321314330367374372467
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    347468461421330312321325310
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    307286255234231191178183152
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1561331218187107122129130
    2014 2019 - - - - - - -
    134115-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[15].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune compte 3 monuments inscrits à l'inventaire des monuments historiques[16] et 6 monuments ou édifices répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[17]

    Extrait du "Morvand" de l'Abbé Baudiau (1866) :

    • L'église, sous le vocable des Saints Innocents, est ancienne mais peu remarquable. Elle se compose d'un chœur, de deux chapelles latérales, voûtées à nervures, et d'une nef sans caractère, agrandie en 1864. Le nouveau portail, bâti dans le style du XIIe siècle, ne manque pas d'élégance. Sur le milieu du toit s'élève un mauvais clocher en bardeaux d'un triste aspect. La chapelle du sud appartenait jadis à la maison de Conyngham. Le presbytère est petit et mal bâti.
    • À côté de la place publique, on voit une maison d'école, construite en 1841 et une croix de pierre qui date de 1407.
    • Le château de Lacour, précédé d'un longue avenue, fermée d'une grille de fer et communiquant avec cette place, se dresse à l'est et domine de sa masse tout le village. Il est composé d'un principal corps de logis, flanqué de deux ailes qu'entourent des fossés toujours inondés que l'on franchit sur un pont-levis. Les ligueurs le prirent et le ruinèrent au XVIe siècle. Au XIIIe siècle, il se trouvait dans le potager actuel. Tous les sujets de la baronnie, ceux de Juillenay, en partie, du Fourneaux, comme retrayants de cette maison forte, étaient tenus au guet-et-garde, aux réparations des fossés, du pont-dormant, des barrières… S'étant refusés à ce devoir en 1631, ils y furent contraints l'année suivante par un décret du parlement."  Inscrit MH (1993)[18]
    • La chapelle Saint-Martin, à Arcenay, est le reste de l'église de ce hameau, du temps où celui-ci était encore un village paroissial indépendant de Lacour. Détruite à une date inconnue, l'église a été rebâtie plus petite autour du chœur resté debout et consacrée en 1841[19]. À la réunion des deux communes, l'église de Lacour devient l'église de la paroisse, Saint-Martin reste alors simple chapelle[20]. Le petit clocher carré couvert en bardeaux de terre cuite colorée et le petit porche charpenté en bois font l'esthétique de ce petit bâtiment.  Inscrit MH (2020)[21]
    • Le château d'Arcenay date aussi du XIVe siècle, il a également été reconstruit au XVIIIe siècle par l'architecte Jean-Baptiste Caristie[22]. Il est composé d'un corps principal flanqué de deux ailes, selon un plan en H, le tout couvert de hauts toits à lucarnes. Les dépendances sont constituées d'une grange et d'un pigeonnier, en partie détruit, qui a gardé ses boulins. Le parc est inscrit M.H. depuis le 29 mai 2020[23]

    Sources

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. « Guy IV de Damas de Couzan : & XIV », sur Généalogie de la Maison de Damas, Archives généalogiques et historiques de la Noblesse de France, t. V, par Pierre-Louis Lainé (1836), mise en ligne sur brionnais.fr
    9. « D'Etienne et Jean de Ste-Croix à Catherine de Cousant », sur Geneanet Pierfit
    10. Marc était le fils de Guy de La Baume et de Jeanne de Mouy, comtesse de Chateauvillain, dame de Selongey
    11. « Le château de Lacour », notice no PA00125316, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    12. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    13. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    16. « Liste des monuments historiques de la commune de Lacour-d'Arcenay », base Mérimée, ministère français de la Culture.
    17. « Liste des lieux et monuments de la commune de Lacour-d'Arcenay à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Mérimée, ministère français de la Culture.
    18. Notice no PA00125316, base Mérimée, ministère français de la Culture
    19. Le Morvan, essai géographique, topographique et historique de l'abbé Jacques Baudiau, librairie Guénéraud - Paris, 1854.
    20. C'est l'édifice désigné par l'évêché pour les offices qui est nommé "église", ce n'est pas une question de taille du bâtiment (voir page église).
    21. Notice no PA21000103, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    22. ibid.
    23. Notice no PA21000102, base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Liens externes

    http://bdethy.free.fr/histoire_de_lacour/sommaire.html

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