Les Billanges

Les Billanges [le bilɑ̃ʒ] (Los Bilanges en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Cet article possède un paronyme, voir Bellange.

Les Billanges

L'église de la Nativité-de-Saint-Jean-Baptiste.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes Élan Limousin Avenir Nature
Maire
Mandat
Manuel Perthuisot
2020-2026
Code postal 87340
Code commune 87016
Démographie
Gentilé Billangeots
Population
municipale
282 hab. (2019 )
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 57′ 53″ nord, 1° 32′ 03″ est
Altitude Min. 280 m
Max. 451 m
Superficie 22,61 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ambazac
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Les Billanges
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Les Billanges
Géolocalisation sur la carte : Haute-Vienne
Les Billanges
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Les Billanges

    Géographie

    Localisation

    La commune des Billanges fait partie des monts d'Ambazac, et borde la rive droite du Taurion qui lui sert de limite sud-est.

    Communes limitrophes

    Situation de la commune des Billanges par rapport aux communes voisines.
    Situation de la commune des Billanges en Haute-Vienne.

    Lieux-dits

    • L'Age, sur le territoire duquel se trouve Majaurde, autrefois propriété dépendante des moines de Grandmont, résidant à Trézin[2] ;
    • le Bas Breuil ;
    • la Bergerie ;
    • la Besse ;
    • la Betoulle ;
    • le Bois ;
    • Chantegros. Une sépulture gallo-romaine y est découverte en 1901 au lieu-dit les Blanchaux[2] ;
    • le Châtelard ;
    • les Égaux ;
    • Entrecolles ;
    • la Gance ;
    • le Gouteix ;
    • les Lilas, où se trouve un pont sur le Taurion[2] ;
    • Lignac ;
    • Maisonnieux ;
    • la Nouaille ;
    • le Péchereau ;
    • Perrassades ;
    • la Planche ;
    • Ponchale ;
    • le Puy Rebourg ;
    • le Rat ;
    • Trézin ; à l'emplacement du village était une chapelle de l'ordre disparu de Grandmont ;
    • Virareix.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 065 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Leger la Montagne_sapc », sur la commune de Saint-Léger-la-Montagne, mise en service en 1998[9] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 415,7 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et à 25 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,4 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Les Billanges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,9 %), zones agricoles hétérogènes (19,4 %), prairies (12,7 %), terres arables (5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,3 %), eaux continentales[Note 8] (0,7 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom des Billanges a d'abord été Albillus, devenant Albillanicos, puis Aubillanges en 1273. Sous l'ancien régime le territoire des Billanges fait partie de l'élection de Bourganeuf[2]. Le nom de la commune se prononce traditionnellement [bilɑ̃ʒ] mais depuis la fin du 20e siècle, la plupart des gens, influencés par le double -l de la graphie adoptée par l'administration, prononcent [bijɑ̃ʒ].

    Histoire

    Le chemin de pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle (GR 654D ou via Lemovicensis), en provenance de Châtelus-le-Marcheix, passe par le bourg des Billanges. Il se poursuit ensuite vers Saint-Laurent-les-Églises où il traverse le Taurion par le pont du Dognon.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[22]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    février 1871 1874 Jean Marcheix Républicain cultivateur
    mars 1876 1878 Jean Marcheix Républicain cultivateur
    mai 1900 mai 1908 Jules Fiacre Marcheix Républicain fils de Jean Marcheix
    mai 1926 mars 1932 Louis Brunetaud    
    octobre 1939 juin 1941 Louis Beaudisson[23] - tailleur
    mars 1971 septembre 1987 Marcel Royère PCF  
    octobre 1987] mars 1989 Henri Japaud PCF  
    mars 1989 mars 2001 Philippe Couderc PCF  
    mars 2001 En cours Manuel Perthuisot[24]    

    Population et société

    Démographie

    Ses habitants sont appelés les Billangeots[25].


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

    En 2019, la commune comptait 282 habitants[Note 9], en diminution de 9,32 % par rapport à 2013 (Haute-Vienne : −0,93 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7057206879299359311 025970979
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9619251 0019951 0391 0091 0861 0651 095
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0791 0891 067903797804742616594
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    515464382313285288301310291
    2019 - - - - - - - -
    282--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Cultes

    La cure dépend de l'archiprêté de Bénévent, dans le diocèse de Limoges. Sa fête patronale est celle de la nativité de la Sainte-Vierge. Le presbytère des Billanges est vendu comme bien national le [30]. Le pape Nicolas IV, dans une bulle datée du , accorde des indulgences pour l'église Sainte-Marie des Billanges.

    L'évêque de Limoges a toujours nommé les curés des Billanges.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Elle possède deux précieux reliquaires[31],[32], qui lui ont été attribués le , lors de la distribution des reliques de Grandmont.
    Le premier est une œuvre d'orfèvrerie représentant saint Étienne de Muret, le second en bois et argent renferme une relique de saint Félicien[2].
    L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 2005[33].
    • Vestiges gallo-romains à Virareix et au Maisonnieux.
    • Château des Égaux.
    • Pont des Lilas.
    • Chapelle du prieuré grandmontain de Trezin, fondée en 1205 par Aimery VI de Rochechouart et son épouse, transformée en grange à la Révolution et détruite en 1905[2].
    • Vestiges du Châtelard.

    Héraldique

    Blason
    D'azur au buste de Saint Étienne d’or.
    Détails
    Le blason des Billanges représente le buste de saint-Étienne de Muret, fondateur de l'ordre de Grandmont dont l'abbaye se trouvait à Grandmont. L'église des Billanges a reçu deux reliquaires de l'abbaye en 1790.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Les Billanges au fil du temps, 253 p., 2013.
      Monographie, édité par la mairie, sur la culture locale, le patrimoine, la démographie, l'histoire, la géographie, des personnalités originaires des Billanges, des mariages, des manifestations culturelles, festives et sportives, des migrants limousins, du château des Égaux, des familles de Bony de Lavergne, des activités anciennes et des souvenirs liés à celles-ci, de l'enseignement, des liens avec la Seconde Guerre mondiale, de la faune et de la flore, etc.
    • André Lecler, Dictionnaire historique et géographique de la Haute-Vienne, 1920-1926, Ducourtieux, Limoges.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sur Géoportail
    2. André Lecler, ibid.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Saint-Leger la Montagne_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Les Billanges et Saint-Léger-la-Montagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Saint-Leger la Montagne_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Les Billanges et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction des Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. (fr) « Les maires de la commune sur francegenweb.org » (consulté le ).
    23. Nommé président de la délégation spéciale des Billanges par décret présidentiel du 16 octobre 1939 sur proposition du ministre de l'intérieur Albert Sarraut, à la suite de la suspension des conseils municipaux jusqu'à la cessation des hostilités. Le président de la délégation remplit les fonctions de maire.
    24. (fr)[PDF]Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires
    25. (fr) « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    30. Archives départementales de la Haute-Vienne, série Q, liasse 150, no 298.
    31. « Statue-reliquaire de la Vraie Croix : diacre dit saint Etienne de Muret », notice no PM87000040, base Palissy, ministère français de la Culture.
    32. « Bras-reliquaire dit de saint Félicien », notice no PM87000041, base Palissy, ministère français de la Culture.
    33. « Eglise de la Nativité de Saint-Jean-Baptiste », notice no PA00100252, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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