Les Poings dans les poches

Les Poings dans les poches (titre original  : I pugni in tasca) est un film italien de Marco Bellocchio, sorti en 1965. Avec Prima della rivoluzione, est considéré comme un film précurseur des mouvements sociaux de 1968.

Les Poings dans les poches
Lou Castel
Titre original I pugni in tasca
Réalisation Marco Bellocchio
Musique Ennio Morricone
Acteurs principaux

Lou Castel
Paola Pitagora
Marino Masè
Liliana Geraci
Pierluigi Troglio
Jenny MacNeil
Irene Agnelli

Sociétés de production Doria Cinematografica
Pays de production Italie
Genre drame
Durée 105 minutes
Sortie 1965

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Synopsis

Perdu dans l'admiration de son frère Augusto qui rêve de départ, et l'amour coupable qu'il voue à sa sœur Giulia, Alessandro, entre crises d'épilepsie et débilité congénitale, tente de détruire l'oppression familiale.

Fiche technique

  • Titre original : I pugni in tasca
  • Titre français : Les Poings dans les poches
  • Titre anglais : Fists in the Pocket
  • Réalisation : Marco Bellocchio
  • Décors : Rosa Sala
  • Costumes : Gisella Longo
  • Photographie : Alberto Marrama
  • Montage : Silvano Agosti
  • Musique : Ennio Morricone
  • Production : Enzo Doria
  • Société(s) de production : Doria Cinematografica
  • Pays d'origine : Italie
  • Langue : italien
  • Format : Noir et Blanc
  • Genre : drame
  • Durée : 105 minutes
  • Dates de sortie : ( Italie)
Paola Pitagora.

Distribution

Critique

Sur le site « Allociné », ce film obtient, comme treize autres (à savoir : Les Moissons du ciel de Terrence Malick, Le Dictateur de Charles Chaplin, Les chaussons rouges de Michael Powell et Emeric Pressburger, Il était un père de Yasujiro Ozu, L'Éventail de Lady Windermere d'Ernst Lubitsch, ET l'extra-terrestre de Steven Spielberg, Le Mécano de la « General » de Clyde Bruckman et Buster Keaton, El Topo d'Alejandro Jodorowsky, In girum imus nocte et consumimur igni de Guy Debord, Mon oncle de Jacques Tati, Voyage au bout de l'enfer de Michael Cimino, Kagemusha, l'ombre du guerrier de Akira Kurosawa, et Aguirre, la colère de Dieu de Werner Herzog) la note critique maximale de 5 étoiles de la part de la presse. Dans ce "classement des meilleurs films de tous les temps" (un classement très provisoire, car il peut être remis en cause à chaque nouvelle prise en compte d'un titre de presse), il arrive en huitième position, n'ayant été, lui, noté que par 5 journaux (par comparaison, le premier de la liste Les Moissons du ciel s'est vu décerner 5 étoiles par 10 titres de presse).

Notes et références

    Voir aussi

    Bibliographie

    Liens externes

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