Médiation culturelle

La médiation culturelle est une forme particulière de médiation qui regroupe l'ensemble des actions visant à mettre en relation des gens  un public, des participants  avec une œuvre artistique (tableau, installation, pièce de théâtre, performance artistique, œuvre littéraire ou cinématographique, œuvre musicale, etc.) ou une proposition culturelle (exposition, concert, thématique, etc.)[1],[2].

Ses finalités sont éducatives, récréatives, sociales et citoyennes. Voulant œuvrer tant sur le registre du sens, de l'appropriation culturelle que sur celui du vivre-ensemble, la médiation culturelle s'inscrit dans une double perspective de démocratisation culturelle (accès du plus grand nombre au patrimoine, à la création artistique, aux ressources culturelles) et de démocratie culturelle (appropriation symbolique, valorisation des expressions culturelles des populations et de la culture des gens, développement social et émancipation des citoyens)[3].

Histoire

En France, l'expression « médiation culturelle » apparaît au milieu des années 1990 pour désigner de nouvelles formes de relations entre publics et œuvres[4],[5] qui se développent alors dans les musées principalement. Ceux que l'on commence alors à désigner comme des médiateurs culturels inscrivent alors leur action dans le cadre des politiques culturelles publiques alors en plein développement en France après les « années Lang », par la création de formes de rencontres entre les œuvres ou propositions culturelles légitimées et valorisées dans les institutions culturelles publiques (ou bénéficiant de subventions publiques)[6] et les publics de ces institutions.

En 1999, en Rhône-Alpes, la création de l'association Médiation culturelle Rhône-Alpes[N 1] par des professionnels de musée contribuera à défendre ce terme et celui de médiateur culturel qui seront progressivement adoptés par l'ensemble d'une profession naissante.

Dans les musées labellisés musée de France, la présence d'un « service ayant en charge les actions d'accueil du public, de diffusion, d'animation et de médiation culturelles » a été rendu obligatoire par loi du , dite « loi musée »[7], codifiée en 2004 au code du patrimoine.

De 2004 à 2007, une trentaine de professionnels de la médiation culturelle se retrouvent régulièrement pour rédiger une Charte déontologique de la médiation culturelle qui sera soumise à un collège d’universitaires partenaires avant d'être présentée le à l'occasion d'une journée de réflexion à la Grande Halle de la Villette à Paris[8]. Elle propose sept principes éthiques :

  1. Se fonder en éthique ;
  2. S'inscrire dans un contexte ;
  3. Investir le temps, perdurer ;
  4. Accueillir la compétence culturelle de chacun ;
  5. Composer par le truchement de l'objet ;
  6. Exprimer une dynamique transversale ;
  7. Des professionnels engagés.

Cette charte est le support de nombreux débats et échanges entre acteurs culturels entre 2008 et 2018[9],[10].

Les lieux de la médiation culturelle

Médiation culturelle : La force de l'art au Grand Palais

La médiation culturelle s’exerce dans les musées d'art, les lieux d’art contemporain, les institutions qui présentent les arts de la scène, les lieux du patrimoine, les bibliothèques et tout lieu qui propose la découverte d'objets culturels ou artistiques. Tissant des liens avec les partenaires éducatifs, sociaux, etc, les médiateurs culturels tendent à développer des actions dans les milieux scolaires ou périscolaires, les organismes communautaires, les structures d'éducation populaire et les services publics de toutes sortes autour de projets communs[11]. Ses manifestations varient selon les objectifs, les contextes et les moyens, mais elle est principalement là pour :

  • faciliter l'accès à des formes culturelles à des personnes qui en sont éloignées[12] ;
  • favoriser l'appropriation d'un lieu culturel, d'une œuvre ou projet artistique par des publics existants ou potentiels ;
  • développer la curiosité, la sensibilité et le sens critique face aux manifestations culturelles ;
  • encourager la participation citoyenne par la culture.

Souvent pensée et financée comme stratégie dans des contextes de revitalisation de territoires en difficulté, la médiation culturelle construit avec quiconque veut entreprendre un projet incluant la participation et l'émancipation citoyenne à travers ou à partir d'une approche culturelle[13]. À partir de 2004, la Ville de Lyon a mis en place une Charte de Coopération Culturelle[14] qui contractualise l'engagement des institutions culturelles municipales dans la Politique de la Ville et fait la part belle à la médiation culturelle comme levier et outil. En 2005, la Politique de développement culturel de la Ville de Montréal adopte la médiation culturelle comme action prioritaire afin de favoriser l’accès à la culture pour tous ses citoyens[15].

La médiation culturelle en musée

La médiation muséale est confrontée à plusieurs défis :

  • L'œuvre qu'elle expose ne peut être comprise hors de l'espace pour lequel elle a été faite, ce qui rend paradoxale la position qu'elle occupe dans le musée où son contexte d'origine (exposition dans une église, un château, une maison, une galerie d'art, un espace public… où elle pouvait être vue de près ou de loin avec un éclairage particulier) est oublié[16] ;
  • La révolution numérique permet au public de personnaliser et d'enrichir sa visite (consultation de contenus spécifiques sur son smartphone) mais peut aussi l'éloigner des musées, la dématérialisation entraînant une rupture du rapport à l'œuvre (les médiateurs sont amenés à s'interroger sur l'articulation ente visite physique et visite virtuelle)[17].

Cette médiation se situe entre deux conceptions extrêmes : privilégier la consommation apparemment passive, voire consumériste, de nouveaux publics en masse, ou favoriser leur implication, leur participation, sans souci d'objectifs quantitatifs[18] :

« La place est difficile à identifier entre l’action pédagogique, l’action culturelle issue de l’éducation populaire et le marketing qui gagne progressivement l’ensemble des institutions culturelles. À ces conflits s’ajoute une vieille opposition entre les institutions qui travaillent avec des créateurs et des interprètes – médiateurs en quelque sorte entre leurs œuvres et leurs publics (théâtre, musique) – et celles qui mettent les publics face aux œuvres, sans véritables clés pour l’interprétation (beaux-arts, arts plastiques) »

 Marie-Christine Bordeaux & Élisabeth Caillet, La médiation culturelle : Pratiques et enjeux théoriques

.

La médiation culturelle en bibliothèque

Telle que proclamée par le Manifeste de l’UNESCO sur la bibliothèque publique, la médiation culturelle a pour mission de développer le sens du patrimoine culturel et le goût des arts, en assurant un accès de tous les citoyens sans discrimination aux œuvres artistiques et culturelles[19]. La médiation culturelle facilite la rencontre entre les œuvres, les documents, les expressions culturelles et les citoyens par le biais de conférences, d’animations, d'ateliers, de rencontres et autres activités sérieuses ou ludiques.

Cette politique volontariste menée dans les pays dits occidentaux depuis une trentaine d'années envers les populations est sous-tendue par le constat que les lieux culturels, bien que ouverts à tous et malgré des politiques tarifaires attractives, peinent à attirer une grande partie de la population. Il s’agit alors de mettre en œuvre des actions pour offrir à chaque citoyen les mêmes chances d’accès aux ressources culturelles, aux formes symboliques et à un imaginaire enrichi en contribuant ainsi à la réduction d'inégalités culturelles et sociales[20]. Cela implique de porter une attention particulière aux publics éloignées, empêchés, aux faibles lecteurs et aux non-lecteurs[21]. Le service de référence repose avant tout sur la relation humaine et l’adaptation continuelle des services[22]. Les activités « hors-les-murs » constituent un exemple de stratégie de médiation visant à mettre les populations en contact avec des contenus culturels de qualité. Le fait de sortir des murs de la bibliothèque permet aussi une analyse plus efficace de la communauté et de générer de meilleures relations entre celle-ci et la bibliothèque[23].

Le web 2.0 a modifié l’approche humaine à l’information[24]. Dans ce contexte, les professionnels de l’information proposent de la médiation dans les bibliothèques, puisque la littéracie numérique est devenue nécessaire au fonctionnement citoyen. La médiation apparait en tant que relation entre bibliothécaire, usager et document, mais elle s’étend également à la culture numérique. Effectivement, les professionnels de l’information travaillent à faciliter cet apprentissage et à présenter les outils utiles à l’adaptation au flux constant d’informations sur le web et la place qu’y prennent les personnes. Les individus et les bibliothèques ont dorénavant une identité numérique, ce qui permet et rend même nécessaire la médiation numérique[25]. Les bibliothécaires ont dû renouveler leurs façons de faire tout en gardant en tête les principes fondamentaux du métier, notamment faire découvrir des ressources culturelles, peu importe leur support[26]. Il s’agit d’intégrer les outils numériques pour développer une interaction avec l’usager, et non pas d’utiliser ces derniers comme simples acteurs de transmission d’information[27]. Les bibliothécaires ont pour rôle, dans notre ère de l’information, d’y ajouter de la valeur en travaillant pour faciliter son repérage, son utilisation et sa curation[28]. En d’autres mots, la médiation consiste à faciliter la rencontre entre l’information et les usagers[29].

Le développement du web a permis de rendre accessible nombre de documents grâce au contenu maintenant disponible en ligne, permettant aux usagers de consulter à distance les ressources à disposition. Le web s’intègre également comme outil de médiation pour les bibliothèques, car il permet de diversifier les services qui y sont offerts. L’interaction avec les usagers se veut bonifiée des formations ou encore des expositions qui sont maintenant accessibles virtuellement[30]. Les bibliothécaires font le pont entre l’information surabondante sur le web et l’usager, en aidant ce dernier non seulement à trouver ce qu’il cherche, mais également à filtrer et organiser les fruits de se recherche[31]. Dorénavant, le service de référence peut se faire au moyen d’un chat ou d’une foire aux questions sur un site web[32]. De plus, les médias sociaux créent l’opportunité d’afficher les institutions documentaires et d’engager sa communauté[33]. Ils constituent un lieu de rencontre virtuel où les utilisateurs peuvent échanger[34]. Le travail collaboratif est également mis de l’avant avec les wikis qui ont pour objectif de faciliter l’accès à l’information[35]. À cet effet, de nombreux professionnels de l’information participent à ce type d’initiative dans un esprit d’accès libre.

La médiation culturelle en entreprise

On voit se développer aujourd'hui en Amérique du Nord principalement, des usages de formes médiation culturelle en entreprise. Une organisation peut faire appel par exemple à un team building créatif qui propose aux participants de créer une œuvre artistique collective afin de redonner une dose d’énergie à ses équipes ou stimuler la collaboration. Le médiateur culturel intervient alors dans la vie de l’entreprise à l’étape où l’on doit réunir les employés autour d’un projet qui vise le tissage de liens, le partage de connaissances, la résolution de problèmes et la mobilisation, tous nécessaires à une équipe soudée et efficace. Les activités culturelles en entreprise sont un facilitateur pour réduire le stress, renforcer l’esprit d’équipe, améliorer le climat de travail et le bien-être des employés[36]. La médiation en milieu de travail permet de rejoindre les citoyens en même temps que les décideurs[37].

Cas de la médiation culturelle du patrimoine versus l'interprétation du patrimoine

Lorsque la médiation culturelle s'applique au patrimoine culturel ou au patrimoine naturel, l'expression « médiation du patrimoine » peut être utilisée[38],[N 2]. Cependant, cette médiation culturelle du patrimoine est à distinguer de la doctrine anglo-saxonne de l'interprétation du patrimoine. Certes, les deux concepts sont voisins et s'inscrivent dans le champ de la médiation. Ils partagent le fait, d'une part, de vouloir réduire l'écart entre le voir et le savoir auprès des visiteurs, et, d'autre part, de pouvoir prendre la forme d'interventions humaines et de supports allant au-delà de la simple démonstration. Cependant, leur philosophie et les effets visés sont différents[39],[40], même si les concepts peuvent se compléter selon certains modèles[41].

Médiateurs culturels

Usuellement, on appelle ainsi surtout les professionnels de la médiation culturelle. Ils exercent leurs activités au sein d'institutions, de collectivités territoriales, d'associations et d'entreprises. Ils font parfois partie d'un service pédagogique, service culturel ou encore service des publics. Le médiateur culturel utilise une technique de communication à part entière, il sert de pont entre le visiteur et l’œuvre d’art, favorisant ainsi les échanges entre les arts et les individus. Il s’agit donc d’éducation informelle, proche du loisir[42]. Aux acteurs désignés que sont les médiateurs professionnels – l’ensemble des animateurs et accompagnateurs, entremetteurs, traducteurs, interprètes, passeurs de culture, go-betweens, gate-keepers, etc. –, il faut ajouter les acteurs parfois moins visibles, voire anonymes, qui participent à la transmission du sens, à l’élaboration des pratiques culturelles[43].

Formations et qualifications

Des diplômes de médiation culturelle et communication sont délivrés dans différents cadres disciplinaires en particulier les Arts, les sciences du langage, les Sciences de l'Information et de la Communication ou l'Histoire de l'Art, notamment à l'École du Louvre, au CELSA, au département de Médiation culturelle de l'Université Sorbonne-Nouvelle et de l'Université Paris VIII Vincennes Saint-Denis. Il existe également des diplômes de médiation du patrimoine.

L'Université de Poitiers propose, depuis 2012, un master « Livres et médiations » sur les médiations du littéraire sous toutes ses formes[44].

Le CNAM (Conservatoire national des arts et métiers[45]) de Paris, propose un Certificat de compétence Médiation culturelle.

Au Québec, différents milieux scolaires offrent des spécialisations en médiation culturelle. C’est le cas de l’Université du Québec à Chicoutimi offre le programme de Certificat en médiation et transmission culturelle en arts qui se greffe au Baccalauréat interdisciplinaire en art[46]. Au niveau collégial, le cégep Saint-Laurent offre un programme de 330 heures en Spécialisation en médiation culturelle[47].

Missions

La mission du médiateur culturel est de faire le lien entre le public et l'œuvre ; il peut s'agir de médiation orale (visite, ateliers…) ou de médiation écrite (écriture de journaux d'exposition, cartels détaillés, fiches de salles).Les médiateurs peuvent également mener des projets numériques (dispositifs numériques, visites virtuelles...).

Dans les expositions, l'intervention du médiateur se fait dès la conception de l'exposition et l'élaboration du cahier des charges pour les scénographes, puis pendant l'exposition auprès des publics, et enfin après l'exposition pour prolonger l'exposition auprès des publics[48].

Il a un rôle particulier à jouer avec les publics dits « éloignés » ou « empêchés » pour des raisons culturelles, sociales ou économiques, ainsi qu'avec les publics handicapés où son rôle de passeur est précieux.

Le rôle du médiateur culturel a été souligné dans la loi musée[N 3], intégrée aujourd'hui au Code du patrimoine.

Notes et références

Notes

  1. Médiation culturelle association d'abord appelée Médiation culturelle Rhône-Alpes est née en 1999 à Lyon à l'initiative d'une quinzaine de professionnels de musées de la région parmi lesquels Yvan Mathevet, alors responsable du service des publics du musée d'art moderne de Saint-Étienne, et qui en sera le premier président. Elle sera ensuite présidée par Clotilde Charreton, Cécilia de Varine et Caroline Jules. Elle s'est arrêtée en janvier 2019, soit 20 ans après sa création. Parmi ses actions, elle a mené un état des lieux des professionnels de la médiation culturelle en Rhône-Alpes (2002-2006) sous la direction de Jean Davallon. Elle est également l'auteur de la Charte de la médiation culturelle présentée publiquement à la Grande Halle de la Villette en 2008.
  2. Le terme de médiation du patrimoine ne doit pas être confondu avec celui de médiation patrimoniale (qui porte sur les différends entre héritiers ou avec des administrations).
  3. Article 7 de la loi musée du 4 janvier 2002 : chaque musée labellisé musée de France dispose d'un service ayant en charge les actions d'accueil du public, de diffusion, d'animation et de médiation culturelles. Le cas échéant, ce service peut être commun à plusieurs musées.

Références

  1. Jacky Beillerot, article Médiation in Dictionnaire encyclopédique de l’éducation et de la formation, Nathan, 2000, p. 679.
  2. Bruno Nassim Aboudrar et François Mairesse, La médiation culturelle, Que sais-je, n°4046, 2016, p. 3.
  3. Yves Jammet, Médiation culturelle et politique de la ville – un lexique, 2003, p. 208-212.
  4. Elisabeth Caillet, en collaboration avec Evelyne Lehalle, À l'approche du musée : la médiation culturelle, Presses universitaires de Lyon, 1995
  5. L'expression sera reprise dans le cadre de la politique des emplois-jeunes, à côté des médiateurs sociaux
  6. Bruno Nassim Aboudrar et François Mairesse, op. cit., p. 6
  7. Loi no 2002-5 du 4 janvier 2002 relative aux musées de France, JORF du 5 janvier 2002, p. 305–309, texte no 1, NOR MCCX0000178L, sur Légifrance ; dossier législatif, sur le site du Sénat.
  8. « Charte déontologique de la médiation culturelle »
  9. Clotilde Charreton et Adeline Lépine, Éthique de la médiation culturelle et actions en bibliothèque, 104-109 p. (lire en ligne)
  10. Les métiers de relation avec les publics (lire en ligne)
  11. Lafortune, Jean-Marie., La médiation culturelle : le sens des mots et l'essence des pratiques, Presses de l'Université du Québec, , 222 p. (ISBN 978-2-7605-3363-9 et 2760533638, OCLC 843881958), p. 167
  12. Lafortune, Jean-Marie., La médiation culturelle : le sens des mots et l'essence des pratiques, Presses de l'Université du Québec, , 222 p. (ISBN 978-2-7605-3363-9 et 2760533638, OCLC 843881958), p. 3
  13. « Présentation », sur Médiation culturelle (consulté le )
  14. « Coopération culturelle - Ville de Lyon », sur lyon.fr
  15. « La médiation culturelle à la Ville de Montréal », sur La médiation culturelle à la Ville de Montréal, (consulté le )
  16. Élisabeth Caillet, À l'approche du Musée, la médiation culturelle, Presses universitaires de Lyon, , p. 41
  17. Marie Després-Lonnet, « La dématérialisation comme délocalisation du contexte interprétatif », Communication & langages, no 173, , p. 101-111
  18. Marie-Christine Bordeaux & Élisabeth Caillet, « La médiation culturelle : Pratiques et enjeux théoriques », Culture & Musée, no Hors-série, (DOI doi.org/10.4000/culturemusees.749)
  19. UNESCO. (1994). Manifeste de l'UNESCO sur la bibliothèque publique. https://unesdoc.unesco.org/ark:/48223/pf0000112122_fre
  20. Association des bibliothécaires français, Le métier de bibliothécaire, Éd. du Cercle de la librairie, dl 2013 (ISBN 978-2-7654-1397-4 et 2-7654-1397-5, OCLC 847564128), p. 64
  21. Abdelwahed Allouche, « Les Médiations dans les bibliothèques publiques », sur bbf.enssib.fr, (consulté le )
  22. (en) Nicole A. Cooke, Information services to diverse populations : developing culturally competent library professionals (ISBN 978-1-4408-3460-8 et 1-4408-3460-1, OCLC 900031396), p. 49
  23. (en) Nicole A. Cooke, Information services to diverse populations : developing culturally competent library professionals (ISBN 978-1-4408-3460-8 et 1-4408-3460-1, OCLC 900031396), p. 70
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  29. Association des bibliothécaires français, Le métier de bibliothécaire, Éd. du Cercle de la librairie, dl 2013 (ISBN 978-2-7654-1397-4 et 2-7654-1397-5, OCLC 847564128), p. 62
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Voir aussi

Bibliographie

  • Bruno Nassim Aboudrar et François Mairesse, La médiation culturelle, collection Que sais-je, PUF, 2016
  • Elisabeth Caillet, A l'approche du musée : la médiation culturelle, Presses universitaires de Lyon, 1995
  • Jean Caune, La démocratisation culturelle : une médiation à bout de souffle, Presses universitaires de Grenoble, collection Art, culture, public, 2006 - (ISBN 2706113405)
  • Jean Caune, Pour une éthique de la médiation : le sens des pratiques culturelles, Presses universitaires de Grenoble, collection Communication, Médias et sociétés, 1999 (ISBN 270610824X)
  • Alain Chante, 99 réponses sur... la culture et la médiation culturelle, CRDP/CDDP Languedoc-Roussillon, 2000
  • Serge Chaumier et François Mairesse, La médiation culturelle, Armand Colin, 2013.
  • François Hers, Le Protocole, Les presses du réel, 2001 (en ligne).
  • Laurence Kaufmann et Olivier Voirol (coord.), Médiations. Hommage à Paul Beaud, Réseaux, no 148-149, 2008, 436 p. - (ISBN 9782746221901)
  • Bernard Lamizet, La médiation culturelle, L'Harmattan, 2000.
  • Maryse Paquin, Médiation culturelle au musée : essai de théorisation d’un champ d’intervention professionnelle en pleine émergence, Animation, territoires et pratiques socioculturelles, 8, 103-115, 2015, Lire en ligne
  • Serge Saada, Et si on partageait la culture ? Essai sur la médiation culturelle et le potentiel du spectateur, Éditions de l'Attribut, coll. « La culture en questions », 2011.

Articles connexes

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