Malguénac
Malguénac [malgenak] est une commune française située dans le département du Morbihan en région Bretagne.
Malguénac | |
![]() L'église Saint-Pierre et Saint-Paul. | |
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Bretagne |
Département | Morbihan |
Arrondissement | Pontivy |
Intercommunalité | Pontivy Communauté |
Maire Mandat |
Dominique Guégan 2020-2026 |
Code postal | 56300 |
Code commune | 56125 |
Démographie | |
Gentilé | Malguénacois, Malguénacoise |
Population municipale |
1 841 hab. (2019 ![]() |
Densité | 48 hab./km2 |
Population agglomération |
42 209 hab. |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 04′ 53″ nord, 3° 03′ 39″ ouest |
Altitude | 207 m Min. 73 m Max. 222 m |
Superficie | 38,45 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Pontivy (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Gourin |
Législatives | Sixième circonscription |
Localisation | |
Géographie
Situation
Le bourg de Malguénac est situé à l'ouest de Pontivy (6,1 km à vol d'oiseau [1]), à l'est de Guéméné-sur-Scorff (11,7 km à vol d'oiseau [2]), au nord-est de Lorient (43,9 km à vol d'oiseau [3]) et au nord-ouest de Vannes (51,9 km à vol d'oiseau [4]) sa préfecture de rattachement.
Paysage et relief
Malguénac appartient à l'unité paysagère des Montagnes noires et ses confins caractérisé par des reliefs granitiques (batholite de Pontivy-Rostrenen situé à l'ouest du Blavet) cisaillés par de nombreux vallons encaissés. Le relief vallonné est souligné par les nombreux bois, bosquets, et les anciennes parcelles agricoles enfrichées. Les versants granitiques abrupts, impropres pour les activités agricoles, sont largement colonisés par la végétation arbustive et arborée. Parcelles de céréales et prairies de fauche et de pâture se partagent le territoire agricole. Le maillage bocager reste relativement préservé malgré les opérations de remembrement[5].
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Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pontivy », sur la commune de Pontivy, mise en service en 1968[12] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[13],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 968,4 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lorient-Lann Bihoue », sur la commune de Quéven, mise en service en 1952 et à 42 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[16], à 12 °C pour 1981-2010[17], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[18].
Urbanisme
Typologie
Malguénac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pontivy, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22],[23].
Occupation des sols

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
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Tissu urbain discontinu | 1,2 % | 156 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 33,0 % | 1271 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 7,9 % | 147 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 30,6 % | 1154 |
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants | 2,4 % | 62 |
Forêts de feuillus | 6,3 % | 257 |
Forêts de conifères | 6,9 % | 401 |
Forêts mélangées | 11,6 % | 348 |
Forêt et végétation arbustive en mutation | 1,2 % | 9 |
Source : Corine Land Cover[24] |
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Malguenac au XIIe siècle[25] ; Malgenac en 1194 et 1221 ; Melgennac en 1228 ; Melgannac en 1274[25] ; Maelguennec ; Melguennac ; Melguenacet Melguennec en 1301[25] ; Meoulguenac en 1314 ; Meoulguennec en 1314 ; Melguegnac en 1315 ; Melganac ; Melguenac ; Melguennac ; Malguennac en 1315 ; Malganac ; Melguenac en 1373 ; Malguenac en 1387 ; Melguengnac en 1482 ; Melguenac en 1448, en 1464, en 1514 et en 1536[26] ; Malguenac en 1477, en 1481[26] et en 1793 ; Malguenhac en 1801[27].
Maelguennec au début du XIVe siècle. La prononciation locale est encore Malguenèg.
Histoire
Le XVIe siècle
Une épidémie de peste occasionne plusieurs décès à Malguénac entre mars et octobre 1598. Au lendemain des guerres de la Ligue (1588-1598), l' autorité ecclésiastique ordonne à la fabrique de la paroisse de Malguénac de réparer l'église et le presbytère sous peine d'amende de 20 écus[28].
Le XVIIe siècle
Une nouvelle épidémie de peste survient entre juin et décembre 1627 et occasionne plusieurs décès. A la suite d'un acte de sépulture du mois de décembre le prêtre qui tient les registres paroissiaux écrit : « Nous espérons, s'il plaît à dieu, que c'est le dernier et fin de ladycte maladye. Ainsi soit-il ! » [29].
Les habitants de Malguénac prennent part à la révolte des Bonnets rouges en 1675. Le 20 juillet, dans l'après-midi, des bandes de paysans venant de Malguénac, mais aussi de Stival, de Bieuzy et de Noyal-Pontivy, pénètrent dans la ville de Pontivy. Ils investissent et pillent la maison de Mathieu de La Pierre, receveur des devoirs. Ils brisent les meubles, les fenêtres, éventrent les barriques de la réserve de vin et les boivent. Ils reviennent dans la ville le lendemain jour de marché. Ils poursuivent le pillage de la maison de Mathieu La Pierre, s'attachant à récupérer les chevrons et les ardoises. Ils s'en prennent aussi au bureau du papier timbré, à la maison du sénéchal et à celle du frère du syndic de la ville [30]. Un habitant de Malguénac dénommé Lescodan est exclu de l'amnistie royale [31].
Le XVIIIe siècle
Malguénac compte 2400 communiants, y compris ceux de Stival, sa trève. Les juridictions suivantes s'exercent en cette paroisse : Malguénac, haute justice, à monsieur le duc de Rohan, seigneur de la paroisse, Lusturgan, haute justice, qui ressortit au duché de Rohan, Kerhulné, basse justice, Le Porzo et Lesturgan, basse justice, à monsieur de Cucé[32].
Le XIXe siècle
La commune est amputée en 1869 d'une partie de son territoire pour la création de la commune de Le Sourn[33].. Sa superficie passe ainsi de 4097 ha à 3845 ha.
Le XXe siècle
La première guerre mondiale coute la vie à 90 habitants de Malguénac (chiffres du monument aux morts).
Politique et administration

Population et société
Évolution démographique
Malguénac connaît une croissance démographique régulière avec une augmentation de sa population de plus de 4 % entre les deux derniers recensements, due à un phénomène de construction résidentielle (+ 6,3 % de logements). La part des agriculteurs dans cette population, qui était encore de 10,2 % en 1999, décline donc au profit d'employés du tertiaire venus s'installer sur les hauteurs de Pontivy, et dont certains travaillent à Vannes. La proportion de résidences secondaires décroît donc, ce qui n'est pas le cas dans d'autres communes du Centre Bretagne.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].
En 2019, la commune comptait 1 841 habitants[Note 7], en augmentation de 3,31 % par rapport à 2013 (Morbihan : +2,97 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,3 % la même année, alors qu'il est de 31,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 947 hommes pour 895 femmes, soit un taux de 51,41 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,49 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Langues
Français et breton. Le breton de Malguénac, de type haut vannetais de l'intérieur (Argoët), a été étudié par Erwan Le Pipec dans une thèse universitaire.
Lieux et monuments

Malguénac compte cinq monuments historiques classés sur son territoire :
- l'allée couverte de Saint-Nizon (Néolithique) ;
- la fontaine Saint-Nicolas (XVIe siècle) ;
- le château de Lesturgant (XVIe – XVIIe siècles) ;
- une croix dans l'ancien cimetière (XVIIe siècle) ;
- le château de Moustoirlan (XVIIIe siècle).
Par ailleurs, la commune compte plusieurs calvaires, des chapelles dont certaines du XVe siècle avec ou non des enclos et fontaines de dévotion (chapelle Notre-Dame-du-Moustoir, chapelle Saint-Gildas, chapelle Saint-Nicolas, chapelle Saint-Étienne, chapelle Saint-Patern, chapelle Saint-Pédic ou Saint-Bédic). L'église paroissiale, consacrée aux saints Pierre et Paul, date pour sa part du XIXe siècle et est remarquable pour son clocher en pain de sucre. De nombreux « villages » répartis sur le territoire sont constitués de longères autour de leur four et de leur lavoir, parfois disparus aujourd'hui. Un grand moulin à vent daté de 1736 qui dépendait du manoir de Lesturgant subsiste au lieu-dit Bonarh[41].
- Bras reliquaire de la chapelle Notre-Dame-du-Moustoir à Malguénac (désormais dans le trésor de la cathédrale Saint-Pierre de Vannes).
Personnalités liées à la commune
- Jean Cadéac d'Arbaud (1917-2003), résistant français, Compagnon de la Libération, y est décédé.
- Thibault Tricole (1898-), joueur professionnel de fléchettes, habite Malguénac et y préside le Bleiz Dart Club depuis 2017.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Calcul de l'orthodromie entre Malguénac et Pontivy » (consulté le ).
- « Calcul de l'orthodromie entre Malguénac et Guéméné-sur-Scorff » (consulté le ).
- « Calcul de l'orthodromie entre Malguénac et Lorient » (consulté le ).
- « Calcul de l'orthodromie entre Malguénac et Vannes » (consulté le ).
- « Le pays de Pontivy est constitué de 4 unités paysagères » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Pontivy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Malguénac et Pontivy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Pontivy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Malguénac et Quéven », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pontivy », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
- Hervé Abalain - 2000 - Noms de lieux bretons - Page 83.
- « Étymologie et Histoire de Malguenac », sur infobretagne.com (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « bulletin de la société polymathique de Morbihan, 1943, page 68 ».
- Inventaire-sommaire des Archives départementales antérieures à 1790, Morbihan: archives civiles. Série E, supplément. Rédigé par Rosenzweig.
- Les jeux de l'argent et du pouvoir : bonnets rouges et gens de finance à Pontivy au XVIIe siècle
- La révolte du papier timbré advenue en Bretagne en 1675,Arthur Le Moyne de la Borderie, page 299
- continuateurs de Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne,tome 2, 1845 page 9
- « Loi qui distrait un territoire des communes de Guern, Bieuzy, Napoléonville, et Malguénac (Morbihan) pour en former une commune dont le chef-lieu est fixé au Sourn », Journal officiel de l'Empire français, , page 1 (lire en ligne, consulté le ).
- MairesGenWeb
- « Municipales 2020 : Dominique Guégan prête pour un second mandat à Malguénac », sur Actu.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Malguénac (56125) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Morbihan (56) », (consulté le ).
- http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_98=INSEE&VALUE_98=56125 site du ministère de la Culture
Voir aussi
Archives
- Seigneurie de Kerboutier : Malguénac, Neuillac, Noyal-Pontivy, cote 15 J 16 > Fonds de Langle (15 J), Archives I&V.
Articles connexes
Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Malguénac sur le site de l'Institut géographique national
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