Maria Valtorta

Maria Valtorta, née à Caserte en Campanie le et morte le à Viareggio en Toscane, est une visionnaire et mystique laïque italienne, membre du Tiers-ordre catholique des Servites de Marie et auteure d'écrits spirituels.

Pour les articles homonymes, voir Valtorta (homonymie).

Maria Valtorta
Maria Valtorta à 15 ans, en 1912.
Biographie
Naissance
Décès
(à 64 ans)
Viareggio
Sépulture
Basilique de la Santissima Annunziata, Cappella del Capitolo (d)
Nationalité
Activités
Autres informations
Religion
Ordre religieux
Œuvres principales
L'Évangile tel qu'il m'a été révélé (d)

À partir de 1943, elle transcrit dans des cahiers les visions et les « dictées » qu'elle dit recevoir. Les passages évoquant des scènes de la vie du Christ sont publiés sous le titre L'Évangile tel qu'il m'a été révélé.

Interdit de publication en 1949 par le Saint-Office, cet ouvrage est pourtant publié en Italie entre 1956 et 1959. Il est mis à l'Index des livres interdits le . Malgré l'abolition de l'Index en 1966, les autorités catholiques continuent de ne pas reconnaître d'origine surnaturelle aux visions et aux « dictées » de Maria Valtorta.

Biographie

Maria Valtorta naît le à Caserte, au nord de Naples. Son père, aimant et d'une grande piété, est sous-officier de cavalerie, ce qui fait que la famille se déplace suivant ses affectations[1]. Sa mère, professeur de français et agnostique sévère, n'aime pas sa fille car elle ne peut remplacer un fils mort prématurément[1]. Maria est mise en nourrice et quasiment abandonnée par sa mère[2]. De 1909 à 1913, elle est élève chez les sœurs de Marie-Enfant à Monza[3]. Sa mère lui fait interrompre ses études à l'âge de treize ans et, à deux reprises, met fin aux projets de fiançailles de sa fille, provoquant chez celle-ci une crise profonde à laquelle sa conversion met un terme en 1916[1].

En 1917, lors de la Première Guerre mondiale, Maria Valtora s'enrôle comme infirmière à l’hôpital militaire de Milan[1]. En 1920, un délinquant la frappe violemment dans la région lombaire avec une barre de fer, ce qui est à l'origine d'une infirmité croissant au fil des années[1]. À partir de 1921, elle est également sujette à des phénomènes psychiques[2].

En 1924, établie avec ses parents à Viareggio, sur la côte toscane[2], elle s’engage dans sa paroisse comme déléguée de l’Action catholique auprès de la jeunesse féminine, mais ses souffrances augmentent. Sa santé se détériore progressivement et à partir de janvier 1933, elle est immobilisée chez elle[2].

En , année de la mort de son père, elle rencontre Marta Diciotti qui devient sa meilleure amie et l'assiste jusqu'à sa mort[2]. En 1942, le servite Romualdo Migliorini (1884-1953) devient son directeur spirituel et lui recommande de rédiger d'abord son autobiographie[1]. En 1943, elle devient définitivement grabataire et débute à partir de cette année la rédaction de ses visions et de paroles intérieures surabondantes, les « dictées »[1], qu'elle affirme écrire « sous la dictée du Saint-Esprit »[3].

Tombe de Maria Valtorta.

Au cours de cette activité, très soutenue les quatre premières années puis plus modérée de 1948 à 1951, dans laquelle elle est assistée par Maria Diociotti, elle rédige environ quinze mille pages autographes réparties dans 122 cahiers[1]. Selon Romualdo Migliorini, elle commence alors à se renfermer graduellement dans une sorte d'isolement psychique.

Elle meurt le à l'âge de 64 ans et, à l'instigation de la Congrégation des Servites de Marie — intimement mêlée au destin de la visionnaire —, son corps est transféré dans le sanctuaire de la basilique de la Très Sainte Annonciation de Florence[1].

Écrits

Inspirations

Ses lectures d'ouvrages de mystiques sont nombreuses : Thérèse d'Avila et Jean de la Croix, Catherine de Sienne — à laquelle elle emprunte le thème du sang —, Thérèse de Lisieux — dont elle lit l'Histoire d'une âme en 1925 —, Gemma Galgani, et surtout la mystique espagnole Marie d'Agreda, dont elle « reproduit la prolixité comme la modalité narrative exubérante » sans toutefois développer les fastes baroques de sa devancière qu'elle critique vigoureusement pour avoir « corrompu la pure révélation initialement reçue », dans une tentative de valoriser la légitimité de ses propres écrits[1].

Les cahiers

Maria Valtorta en 1918.

Maria Valtorta a rempli 122 cahiers, soit près de 15 000 pages manuscrites avec la description des visions et révélations qu'elle dit avoir reçues de Dieu entre 1943 et 1951 essentiellement. De ces 122 cahiers ont été tirés entre 1956 et 1959 un premier volume Le Poème de Jésus (Il poema di Gesu) puis trois autres intitulés Le Poème de L'Homme-Dieu (Il poema dell'Uomo-Dio). Le choix a été fait ultérieurement par l'éditeur de renommer l'ensemble sous le titre L'Évangile tel qu'il m'a été révélé.

Les autres écrits de Maria Valtorta se présentent comme des enseignements de Jésus. Ils ont été édités dans l'ordre chronologique de leur rédaction et publiés en trois volumes : Les Cahiers de 1943, Les Cahiers de 1944 et Les Cahiers de 1945 à 1950. Son œuvre compte aussi une Autobiographie rédigée à la demande de son confesseur[4], des Leçons sur l'épître de saint Paul aux Romains, et le Livre d'Azarias, commentaires des textes liturgiques donnés, selon Maria Valtorta, par son ange gardien.

D'après le témoignage de la mystique, Jésus, Marie, des saints et son ange gardien lui apparaissent comme des manifestations corporelles extérieures, en trois dimensions[5]. Au cours de ces visions, Jésus, qui lui a demandé d'enregistrer tout ce qui lui est montré, révèle à la visionnaire sa vie dans la Palestine Ier siècle et lui présente d'innombrables scènes de sa vie comme si elles se déroulaient juste devant elle lors d'expériences si vives que Maria Valtorta décrit même les odeurs des scènes, en plus des images et des sons[5].

Les écrits de Maria Valtorta, sensiblement influencés par l'Apocalypse, restituant avec une « précision extrême et quasi clinique (...) une narration continue, pleine, de la Vie de Jésus-Christ, sans ces « blancs » qui grèvent le texte évangélique » et intégrant le discours de la science avec le problème de la création ou des localisations topographiques des évènement bibliques, soulèvent rapidement un certain enthousiasme populaire[1].

Publication et mise à l'index

Si Romualdo Migliorini est farouchement convaincu de l'origine divine des écrits de Maria, il n'en va pas de même de ses confrères servites qui, plus circonspects, portent l'affaire devant Pie XII qui autorise oralement la publication[1]. Mais le Saint-Office entend que celle-ci respecte toutes les procédures d'autorisation et, à partir 1949, examine les textes circulant sous forme de liasses dactylographiées[1] ; en définitive, il interdit de publication et commande son retrait de la circulation[6].

Malgré cette interdiction, un ouvrage sans nom d'auteur comprenant Le Poème de Jésus et Le Poème de l'Homme-Dieu est publié en quatre volumes à partir de 1956 par l'imprimeur Michele Pisani. Le quatrième et dernier volume paraît en 1959 sous le pontificat de Jean XXIII.

La publication de l'ouvrage provoque « une vive réaction du Saint-Office »[7] qui le met à l'Index le 16 décembre 1959[3]. Le décret est publié le 5 janvier 1960[8],[N 1] et expliqué le lendemain en détail dans un article du très officiel Osservatore Romano[1], l'organe de presse du Vatican[9]. Celui-ci, « affiche sa profonde perplexité quant au style et au contenu si étrangement contemporains des propos prêtés au Christ » ainsi que face au développement de sa doctrine sur Marie, présentée en co-rédemptrice au côté du Christ ou encore représentée au centre d'un triangle figurant la Trinité[1].

Le commentaire de L'Osservatore Romano

L'article de L'Osservatore Romano en date du 6 janvier 1960 s'intitule « Une Vie de Jésus mal romancée »[10],[11].

L'auteur de l'article souligne d'emblée le fait que « bien que traitant exclusivement de sujets religieux, ces volumes n'ont pas d'imprimatur, comme l'exige le Can. 1385, 1 n.2 C.I.C »[12] et estime en conclusion que « cette condamnation publique de la Sainte Congrégation Suprême est donc d'autant plus opportune que la désobéissance est grave. »

Il décrit les quelque 4 000 pages de L'Évangile tel qu'il m'a été révélé comme « rien d'autre qu'une longue et prolixe vie romancée de Jésus » qui frappe « par la longueur des discours attribués à Jésus et à la Sainte Vierge, par les dialogues interminables entre les nombreux personnages qui peuplent ces pages ». À l'inverse des quatre Évangiles, « Jésus est loquace au maximum, presque revendicatif, toujours prêt à se proclamer Messie et Fils de Dieu et à donner des leçons de théologie dans les mêmes termes qu'un professeur d'aujourd'hui utiliserait. » Là où « dans les Évangiles, nous admirons l'humilité et le silence de la Mère de Jésus », au contraire, « pour l'auteur de cet ouvrage, la Sainte Vierge a la faconde d'une propagandiste moderne, elle est toujours présente partout, elle est toujours prête à donner des leçons de théologie mariale, à jour des dernières études des spécialistes actuels en la matière. »

Outre « certaines pages [...] assez scabreuses [qui] rappellent certaines descriptions et certaines scènes de romans modernes » qui justifient que « l'œuvre aurait [...] mérité d'être condamnée même si elle n'avait été qu'un roman, ne serait-ce que pour des raisons d'irrévérence », l'auteur de l'article relève aussi « quelques perles qui ne brillent certainement pas par l'orthodoxie catholique. »

Ainsi « une opinion plutôt insolite et inexacte [...] exprimée sur le péché d'Adam et Ève ». De même, la présentation de la Trinité dans un passage de l’œuvre qui apparaît comme un « un concept hermétique et très confus » qui « s'il devait être pris à la lettre, [...] ne serait pas sauvé d'une sévère censure. » Également lorsque Marie est décrite comme « comme la seconde née du Père » : « L'explication limite le sens de cette déclaration et évite une authentique hérésie ; mais elle n'enlève pas l'impression fondée que l'intention est de construire une nouvelle mariologie ».

Après la mise à l'Index

Malgré la mise à l'Index par le Vatican, l'éditeur italien lance une deuxième édition en dix volumes des écrits de Maria Valtorta, « accompagnée d'une publicité savamment orchestrée sur le thème du fruit défendu désormais accessible »[7]. L'ouvrage est traduit en espagnol à partir de 1976, puis en français à partir de 1979 sous le titre de L'Évangile tel qu'il m'a été révélé. C'est ce titre français qui sera adopté pour les autres traductions et pour la nouvelle édition italienne[13].

Le cardinal Joseph Ratzinger, en tant que préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi (CDF) est amené à deux reprises à émettre un avis négatif sur les écrits de Maria Valtorta. Une première fois, le 31 janvier 1985 où il répond à la lettre datée du 18 mai 1984 adressée à la CDF par un prêtre de l’archidiocèse de Gênes concernant la position de l’Église sur l’œuvre de Maria Valtorta. Par une lettre personnellement adressée au cardinal Giuseppe Siri dont dépend le prêtre requérant, il rappelle que « bien qu’aboli, l’Index conserve toute sa valeur morale, c’est pourquoi on ne considère pas opportun de diffuser et de recommander une œuvre dont la condamnation ne fut pas prise à la légère, mais sur des arguments réfléchis afin de neutraliser les dommages qu’une telle publication peut causer aux fidèles les moins avertis »[14]. Une seconde fois, le 9 septembre 1988, où il fait répondre à une fidèle canadienne par son secrétaire personnel, Josef Clemens, que l'ouvrage de Maria Valtorta est « un ensemble de fantaisies enfantines, d’erreurs historiques et exégétiques, le tout présenté dans un contexte subtilement sensuel »[13].

Le , le secrétaire général de la Conférence épiscopale italienne, Dionigi Tettamanzi, demande à l'éditeur de Maria Valtorta « pour le vrai bien des lecteurs et dans l’esprit d’un authentique service à la foi de l’Église [...] dans le cas d'une éventuelle réimpression des volumes, qu'il soit indiqué clairement dès les premières pages que les « visions » et les « dictées » rapportées ne peuvent être tenues pour surnaturelles, mais doivent être considérées simplement comme des formes littéraires dont l’auteur s’est servie pour raconter, à sa manière, la vie de Jésus »[14],[15].

Le , la commission doctrinale de la Conférence des évêques de France notant que « la diffusion des écrits de Maria Valtorta s’intensifie depuis deux ans au moins » et que « des fidèles de bonne foi supposent que cette œuvre est approuvée par l’Église » publie un « bref avertissement » pour rappeler le « jugement clair du Magistère de l’Église » qui n’a jamais reconnu les écrits de Maria Valtorta comme d’inspiration surnaturelle[14],[16].

Publications

  • Autobiographie – 1993 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - (ISBN 8879870114)
  • L'Évangile tel qu'il m'a été révélé - 10 tomes – 4 856 pages – traduction française de 1979 – Éditions Centro Editoriale Valtortiano – de (ISBN 88-7987-051-3) à (ISBN 88-7987-060-2)
  • L'Évangile tel qu'il m'a été révélé - 10 tomes – 5 374 pages – traduction française de 2017 – Éditions Centro Editoriale Valtortiano – de (ISBN 978-88-7987-263-8) à (ISBN 978-88-7987-272-0)
  • Les Cahiers de 1943 – 2002 – Éditions Centro Editoriale Valtortiano - (ISBN 88-7987-091-2). Dictées qu'aurait reçues Maria Valtorta sur divers sujets d'ascèse, d'exégèse, de doctrine, incluant des descriptions des scènes évangéliques et du martyre des premiers chrétiens.
  • Les Cahiers de 1944 - 2003 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - (ISBN 88-7987-099-8). Suite du précédent.
  • Les Cahiers de 1945 à 1950 – 2004 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - (ISBN 88-7987-128-5). Suite et fin des précédents
  • Leçons sur l'Epître de saint Paul aux Romains - 1999 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - (ISBN 88-7987-069-6).
  • Le livre d'Azarias – 2002 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - (ISBN 88-7987-094-7)
  • Les Carnets – 2018 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - (ISBN 8879873261)
  • Lettres à Mère Teresa Maria - 2022 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - Tome 1 : (ISBN 8879873857)

Notes et références

Notes

  1. Traduction du texte en français (sans les superlatifs)
    Actes de la Congrégation du Saint Office
    Décret de l'interdiction des livres
    Jeudi 16 décembre 1959
    À la session générale de la congrégation du Saint Office, les éminents et révérends cardinaux préposés à la garde des choses concernant la foi et les mœurs ont condamné et mis à l'index des livres interdits, par un vote du conseil, une œuvre anonyme, en 4 volumes, dont le « poème de Jésus » (édition M.Pisani, Isola del Liri) ainsi que le « poème de l'Homme-Dieu » (Ibidem) qui ont été ajoutés au susdit index. Le vendredi 18 de ce même mois et année, le Saint Père, par la grâce de Dieu, Jean XXIII, pendant l'audience accordée au cardinal secrétaire du saint Office, a approuvé et ordonné la publication de cette résolution des éminents pères qui lui a été rapportée. Fait à Rome sous les auspices du saint Office, le 5 janvier 1960.
    Sebastiano Masala, secrétaire

Références

  1. Marxer 2013.
  2. Lemaire 1990.
  3. Collectif sous la direction de René Laurentin & Patrick Sbalchiero, Dictionnaire des apparitions de la Vierge Marie, Fayard, (ISBN 978-2-213-63101-1), p. 989-990.
  4. Introduction de l'autobiographie.
  5. (en) Daniel Maria Klimek, Medjugorje and the Supernatural : Science, Mysticism, and Extraordinary Religious Experience, Oxford University Press, (ISBN 978-0-19-067920-0), p. 113-114.
  6. Yves Chiron, « Un Bref avertissement de la Conférence des évêques de France contre les hérésies et la mystique sensualiste de Maria Valtorta », Aletheia, (lire en ligne).
  7. Joachim Bouflet, Faussaires de Dieu, Paris, Presses de la Renaissance, , 728 p. (ISBN 2-85616-697-0), p. 635-638.
  8. (la) Sebastiano Masala, secrétaire du Saint-Office, « Decretum pröscriptio Librorum », Acta Apostolicae Sedis, vol. II, , p. 60.
  9. Voir l'article de L'Osservatore Romano de janvier 1960, cité en lien externe dans la bibliographie
  10. On consultera le Commentaire de la mise à l'Index dans L'Osservatore Romano, 6 janvier 1960.
  11. Voir aussi la traduction intégrale en anglais de l'article de L'Osservatore Romano publiée par la Libreria Éditrice Vaticana.
  12. « Canon N° 1385 Code de Droit Canonique (1917) CIC/1917 »
  13. Yves Chiron, « Le lobby valtortiste », Aletheia, (lire en ligne).
  14. « Note de la Commission Doctrinale sur les écrits de Maria Valtorta », sur Diocèse de Viviers, (consulté le ).
  15. Guillaume Chevallier, « L’inspiration chez Maria Valtorta », Revue Charitas, (lire en ligne).
  16. Céline Hoyeau, « Le phénomène Maria Valtorta, entre critiques et défenses passionnées », sur la-croix.com, .

Bibliographie

Études et recherche

  • François Marxer, « Valtorta, Maria », dans Audrey Fella (dir.), Les femmes mystiques : Histoire et dictionnaire, Paris, Robert Laffont, (ISBN 978-2221114728), p. 1268-1269
  • Roland Maisonneuve, Les mystiques chrétiens et leurs visions de Dieu un et trine, Cerf, (ISBN 978-2-204-06505-4)
  • Jean-Marie Lemaire, « Valtorta (Marie), laïque, 1897-1961 », dans Dictionnaire de spiritualité ascétique et mystique, doctrine et histoire, t. 14, Paris, Beauchesne, (lire en ligne), colonne 220

Documents de l'Église catholique

Publications valtortistes

  • La Vierge Marie dans l'œuvre de Maria Valtorta – P. Gabriel M. Roschini O.S.M. – 1973 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - (ISBN 2-920285-01-7) rééd. août 2013 (ISBN 8879871552)
  • Jean Aulagnier, Maria Valtorta, qui es-tu ?, Résiac, (ISBN 978-2-85268-219-1) Annexes sur Marie d'Agréda et Anne-Catherine Emmerich
  • Avec Jésus au jour le jour – Jean Aulagnier – 1994 – Éditions Résiac - (ISBN 2-85268-253-2). Reconstitution pas-à-pas, à la lueur des données de calendrier, de l'agenda de Jésus dans l'œuvre de Maria Valtorta.
  • Padre Pio et Maria Valtorta - Emilio Pisani – 2000 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - (ISBN 88-7987-073-4). Courte biographie de Padre Pio en liaison avec la vie de Maria Valtorta et tout ce qui les réunit.
  • Valtorta et Ferri – recueil de 447 illustrations de Lorenzo Ferri, couleurs ou bichromie - 2006 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - (ISBN 88-7987-134-X)
  • L´énigme Valtorta - Jean-François Lavère - 2012 - Éditions Rassemblement à Son Image - (ISBN 9782364630253)
  • Dictionnaire des personnages de l'Évangile selon Maria Valtorta - René Laurentin / François-Michel Debroise / Jean-François Lavère - 2012 - Éditions Salvator - (ISBN 978-2-7067-0961-6) - Ce dictionnaire confronte les descriptifs des 700 personnages des écrits de la mystique Maria Valtorta aux données de l'Évangile et aux connaissances historiques les concernant.
  • L´énigme Valtorta vol 2 - Jean-François Lavère - 2014 - Éditions Rassemblement à Son Image
  • La Vierge des derniers temps - René Laurentin / François-Michel Debroise - 2014 - Éditions Salvator - (ISBN 978 2 7067 11510)
  • Maria Valtorta et l'Église - François-Michel Debroise - 2015 - Éditions Rassemblement à Son Image
  • Maria Valtorta, visionnaire et mystique pour notre temps - François-Michel Debroise - 2016 - Éditions Maria Valtorta
  • Dictionnaire géographique de l'Évangile d'après Maria Valtorta - Jean-François Lavère - 2017 - Éditions Maria Valtorta / Rassemblement à Son Image

Liens externes

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