Marie-Louise Vignon

Marie-Louise Vignon naît à Paris le 21 mars 1888[1]. Ses parents son originaire des Vosges et de l'Oise[2].

Très jeune, elle est fortement influencée par Sully Prudhomme et François Coppée[3].

Elle est auteur de plusieurs ouvrages[1]^,[2], et collabore à plusieurs revues dont La Revue Française, L’Âme Latine, La Renaissance, Penseur, Annales Politiques et Littéraires, La Revue des Poètes, La Minerve Française[2], ainsi qu'à la Revue Franco-Nipponne[N 1]^,[4]^,[5]^{[réf. non conforme],}[6]^{[réf. non conforme]}.

Son recueil Chants de jeunesse, publié chez Jouve et Cie, éditeurs, en 1911 est récompensé, la même année, du prix de littérature spiritualiste, dont le comité est présidé, à l'époque, par Charles de Pomairols[2].

En 1925, elle remporte le prix Jules-Davaine pour Le cœur ardent et grave, puis le prix Artigue, en 1933, pour Ciels clairs de France, et, enfin, le prix Le-Fèvre-Deumier, en 1938, pour Poèmes de la fidélité[7].

D'après son ami Maurice-Pierre Boyé, Marie-Louise Vignon résida rue du Ranelagh où elle recevait Cécile Perrin, Amélie Murat, Isabelle Sandy, André Foulon de Vaulx, Henri Allorge, ainsi qu'Abel Léger, voisin de Marie-Louise. Puis, par la suite, elle résidera rue La Fontaine (renommée par la suite rue Jean-de-La-Fontaine)[8].

Elle décède le 27 janvier 1949[1].