Mathilde Guthlin Delaporte

Mathilde Guthlin Delaporte, dite Philippe Gallois (pseudonyme d'artiste), née Mathilde-Louise-Agnès Delaporte le à Dunkerque et morte le à Saint-Maur-des-Fossés, épouse de Philippe Guthlin, est une compositrice et pianiste française, officier d'Académie.

Pour les articles homonymes, voir Guthlin.

Mathilde Guthlin Delaporte
Surnom Philippe Gallois
Nom de naissance Mathilde-Louise-Agnès Delaporte
Naissance
Dunkerque (France)
Décès (à 73 ans)
Saint-Maur-des-Fossés (France)
Activité principale Compositrice
Pianiste
Activités annexes

Présidente de l'Estudiantina intime de Saint-Maur

Présidente de la Société académique musicale de France
Lieux d'activité Paris et Saint-Maur-des-Fossés
Conjoint Philippe Guthlin
Distinctions honorifiques
  • Officier d'académie (1907)
  • Médaille de l’Encouragement au Bien (S.E.A.B.)
  • Médaille de la "Cruz Roja" (Croix-Rouge) d'Espagne

Biographie

Naissance et enfance

Mathilde-Louise-Agnès Delaporte naît le à Dunkerque[1]. Elle est la petite-fille de Arnould Claude Gallois, sous-préfet de la Lys sous Napoléon Ier[2],[3].

Vie de famille

Elle épouse Philippe Guthlin le à Dunkerque[4]. Le couple restera sans enfants[alpha 1]. Elle quitte sa ville natale de Dunkerque en 1870 pour suivre son époux dans ses nominations de professeur. Après le décès de son époux en 1888, elle s'installe au Parc Saint-Maur (quartier de Saint-Maur-des-fossés), dans sa résidence appelée aussi Villa Gallois, au 42-44 avenue de l'Echo[alpha 2] (actuelle avenue Gabriel Péri), aussi siège de la Société académique musicale de France dont elle fut présidente.

Carrière musicale

Mathilde Guthlin Delaporte est pianiste et compositrice, et se fait connaître sous son pseudonyme d'artiste Philippe Gallois (composé du nom de famille de son grand-père et du prénom de son époux).

Le 28 octobre 1894, elle est au programme du grand concert de l'Obole au Trocadéro[5], aux côtés de Rose Caron, Léon Melchissedec, Paul Mounet, Jacques Isnardon, et d'autres artistes comme Marguerite Duclerc[6], Loys Amel[7] et Louis Delaquerrière[8],[5]. Le 1er septembre 1894, lors d'un concert organisé au Parc Saint-Maur, ses compositions, qu'elle accompagne elle-même au piano, sont interprétées par Blanche Marot de l'Opéra-Comique[9].

Le 24 avril 1895, au Théâtre de la Galerie Vivienne, la Société Académique musicale de France qu'elle préside, organise, salle comble, une soirée de gala avec les meilleurs artistes de l'Opéra, de l'Opéra-Comique, de l'Odéon, du théâtre de la Monnaie[10].

Le 6 mai 1895, elle est au programme de la première audition publique du Cercle de la Critique parlée, présidé par Jules Lemaître, à la Bodinière[11]. Le 22 avril 1899, elle joue lors du banquet annuel de la Revue littéraire de l'Athénée, au Palais Royal[12].

Les 30 mars et 27 avril 1901, elle interprète plusieurs morceaux pour les Amis de L'Athénée, dont elle fait partie depuis longtemps[alpha 3]. Le 14 mars 1905, elle interprète au piano la marche Le Départ du Régiment de Jacques Louis Battmann lors de la représentation annuelle de la revue littéraire et artistique l'Echo des Jeunes, à la salle de l'Athénée Saint-Germain[13]. Le 17 novembre 1908, lors d'un banquet de l'Athénée de France en l'honneur du poète Frédéric Mistral, elle interprète au piano un poème de Henri David (nommé "le félibre d'Arville")[14]. Le 8 février 1909, elle interprète le poème La Prière de la Bretonne de Pawlowski qu'elle a elle-même mis en musique, chanté par Ysabel de Marthold de l'Opéra-Comique[15]. Le 28 mars 1909, elle interprète Mendelssohn lors du banquet annuel de l'Athénée de France[16]. En hiver 1909, au concert de la Société des Auditions Modernes, présidée par Paul Vidal, elle interprète, Salle Peyel, un quatuor avec piano[17].

Le 13 février 1907, elle est décorée comme officier d'Académie[alpha 4],[alpha 5].

Engagement en sociétés artistiques

Rencontre de l'Estudiantina intime de Saint-Maur en 1902 (il est probable que Mathilde soit sur cette photo)

Elle a été présidente de l'Estudiantina[alpha 6] de Saint-Maur-des-Fossés (avant 1900[alpha 7]).

Elle est présidente de la Société académique musicale de France[alpha 8], fondée en 1893[alpha 9], dont la mention "musicale et littéraire" sera ajoutée en 1895[18]. E. Mathieu d'Auriac[19], auteur-comédien, en est élu secrétaire en 1895. Les assemblées générales de la société ont lieu chez elle, à la villa Gallois, au Parc Saint-Maur[18]. Le but de la société est d'être un « appui pour compositeurs, auteurs, professeurs et artistes »[20] et d'organiser « auditions, concours, publicité »[20]. Jusqu'à au moins 1897, elle dirige la Revue Lyrique[21] qui est la publication de la Société académique musicale de France[20]. Cette société qu'elle a présidée durant de nombreuses années compta entre autres comme présidents d'honneur Jules Massenet, Eugène Gigout et Alexandre Guilmant, comme président d'honneur du jury du concours Théodore Dubois, et comme membre du comité d'honneur Louis Diémer, Charles-Marie Widor, Henri Rabaud, Hortense Parent et Caroline Montigny-Remaury[22].

Autres activités

Elle est membre du Comité des dames de Saint-Maur[alpha 10] pour l'Organisation de la société française de secours aux blessés militaires dans les départements, en tant que conseillère[23].

Mort

Elle est morte le 23 décembre 1911 à Saint-Maur-des-Fossés[24].

Dans ses testaments[25], elle lègue la moitié de sa fortune à l'hospice civil de Dunkerque, et la somme de 3000 francs et de toutes ses compositions musicales à la Société académique musicale de France qu'elle présida. Elle souhaite que cette dernière publie ses meilleures œuvres. Son portrait réalisé par le peintre Jean-Jacques Henner est destiné au Musée du Louvre. Elle possède aussi une lettre autographe de Weber[alpha 11] encadrée, un portrait autographe de Liszt.

À sa mort en 1911, la Société académique musicale de France, destinatrice de partie de ses biens, semble ne plus exister, étant introuvable pour le notaire qui n'a à sa connaissance que le nom tronqué de la société (sans l'adjectif "musical") et le fait que la défunte en fut membre (affaire publiée dans plusieurs journaux)[alpha 12].

Distinctions et prix

Distinctions

Prix

  • Prix au grand concours international de la Confédération Littéraire et artistique de France (interprétation de la grande Polonaise de Chopin) [26](1901)
  • 2e prix pour un poème musical en 1902, section musique du 22e concours de L'écho des Jeunes [27],[alpha 14] (1902)

Œuvres

Compositions musicales

Publications conservées dans les archives nationales de la BNF[28],[29] :

  • Agnus Dei à une voix par Philippe Gallois (1901)
  • Bourrée, pour piano (1899)
  • Danse champêtre, pour piano (1893)
  • Minuetto, pour piano (1892)
  • Bluette [pour piano] (1892)
  • Le Rouet d'Yvonne [pour piano] (1892)
  • Tic-Tac, fantaisie pour piano (1890)
  • Souvenirs, romance sans paroles pour piano (1889)
  • Promenade au piano, caprice pour piano (1889)
  • Tartarin au Righi. Valse (pour orchestre) P. Gallois (1889)
  • Tartarin au Righi Valse brillante pour piano par Philippe Gallois (1889)
  • Marguerite, rêverie enfantine pour piano (1889)
  • Ô Salutaris avec accompagnement d'orgue ou de piano (ad. lib.), musique de Philippe Gallois (1889)
  • La fenaison

Autres compositions connues :

  • Il passera de l'au sous l'pont (chant publié en 1894)[30]
  • Laquelle des trois, sur des paroles de Mathieu d'Auriac (1894)[31]
  • Philosophie printanière, sur des paroles de Labarrière (1894)[31]
  • La Polonaise

Ecriture de paroles

  • Dans la clairière, paroles sur une musique de Magalli (1894)[31]

Publications

  • Notice biographique de M. Arnould Claude Gallois[2]

Notes et références

Notes

  1. « Veuve, sans enfants, Madame veuve Guthlin née Delaporte vient de léguer une somme de 3 000 francs, ses compositions musicales et un portrait de Henner à la Société académique de France (Académie des Beaux-Arts) dont elle était membre honoraire. » (Journal hebdomadaire Le Radical du dimanche , p. 4)
  2. Dans le livre d'or lors de sa visite de l'exposition "de fruits" faite par la Province du Québec à l'Exposition universelle de Paris de 1900, elle y indique cette adresse. Et cette adresse est également indiquée, entre autres, dans l'Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical de 1905.
  3. Le journal L'Orient la mentionne à ce titre dans l'édition du 6 avril 1901 (elle interprète le 30 mars 1901 au piano plusieurs morceaux pour les amis de la revue littéraire "L'Athénée") et l'édition du 27 avril 1901 (elle apporte les bouquets de fleurs aux dames, au Restaurant du Régent, 100 rue Saint-Lazare, elle est une des plus anciennes et des plus sympathiques abonnées de l'Athénée, s'est fait applaudir au piano)
  4. Dans La Promotion Violette, revue de l'Association des membres de l'ordre des Palmes académiques, Mme veuve Mathilde-Louise-Agnès Guthlin dite Philippe Gallois, est honorée comme Officier d'académie dans la catégorie "Auteurs et compositeurs et artistes musiciens (Paris)" (Journal quotidien Le Figaro du Jeudi 14 février 1907, 83è année - 3è série - N°45)
  5. Le ministre de l'instruction publique et des beaux-arts, vu les décrets des 24 décembre 1885 et 4 décembre 1898, arrête : sont nommés :...Officiers d'académie... Mme veuve Guthlin, dite Philippe Gallois (Mathilde-Louise-Agnès), compositeure de musique à Saint-Maur (Seine) (Journal officiel de la République Française, Lois et décrets, du 13 février 1907, p.1172-1178)
  6. Dans les archives du département du Val de Marne, on trouve une carte postale de 1902 de l'Estudiantina, où tous les musiciens posent ensemble sur une photo (elle est très sûrement sur cette photo de groupe).
  7. Elle signe le livre d'or avec ce titre de "présidente honoraire" lors de sa visite de l'exposition "de fruits" faite par la Province du Québec à l'Exposition universelle de Paris de 1900. Et elle est désignée comme "présidente d'honneur" dans l'Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical de 1905.
  8. Elle signe le livre d'or avec ce titre de présidente lors de sa visite de l'exposition "de fruits" faite par la Province du Québec à l'Exposition universelle de Paris de 1900
  9. L'Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical précise qu'en 1909 c'est la 16e année de la Société Académique musicale de France.
  10. Basé en 1891 au 11 rue Mathieu, à Saint-Maur
  11. Cette "lettre autographe de Weber" ainsi nommée est vraisemblablement une pièce de collection dont le signataire pourrait être Bedřich Diviš Weber (1766-1842), mais il est bien plus probable qu'elle soit celle de Carl Marie von Weber (1786-1826) qui fut un inspirateur de Franz Liszt dont elle possède un portrait autographe.
  12. L'existence de cette "Société Académique de France", dont Mme veuve Guthlin née de la Porte fut membre, reste énigmatique. Un journal publie, concernant son héritage, un article le 2 juin 1913 intitulé "Qui va hériter ?". En effet, les membres de l'Académie des beaux-arts déclarèrent unanimement qu'il ne connaissent aucunement cette société. Pourtant, cette Société académique de France possédait un membre honoraire, Mme Guthlin née Delaporte, compositrice, qui vient de léguer "une somme de 3000 francs, ses œuvres musicales et un portait du regretté maître Henner". Le notaire charger de l'héritage ayant vainement recherché cette société héritière s'adresse à l'Académie des beaux-arts. Le journal de conclure : "La testatrice était, peut-être, l'unique membre - membre honoraire - de cette Société" (Journal quotidien L'Univers du Lundi 2 & Mardi 3 juin 1913). De même, titraient par ailleurs le journal Le Gaulois "Existe-t-il une Société académique de France à Paris ?... cette société est introuvable. L'académie des beaux-arts, consultée, n'en a jamais entendu parler." (Journal Le Gaulois du Dimanche 1er juin 1913, p.1) ou le journal Gil Blas "Le notaire de la défunte est cruellement embarrassée : il ne sait rien de cette Société Académoïde..." (Jounal Gil Blas du Dimanche 1er juin 2013), ou encore "on recherche une héritière" dans le journal Le Petit Provençal du Mercredi 4 juin 1913. Le journal Le Phare de la Loire du 2 juin 1913 quant à lui ironise au sujet de la valeur même de l'héritage "S'agit-il d'un portrait de Mme Guthlin par Henner ou d'un portrait d'Henner par Mme Guthlin ?" et propose pour régler l'affaire qu'"après tout, la Société Académique de la Loire-Inférieure pourrait peut-être pour la circonstance se transformer en Société Académique de France". (Cette affaire ayant eu un écho national par son originalité, de nombreux journaux l'ont mentionnée : Le Petit Journal du 1er juin 1913 ; La Petite République Française du 1er juin 1913...)
  13. La Société d’Encouragement au Bien (S.E.A.B.), est une œuvre "d’absolue neutralité", fondée en 1862 par Honoré Arnoul et autorisée le 5 septembre 1863 par décret du ministre de l’Intérieur. Reconnue d’utilité publique par un décret signé du président Sadi Carnot le 2 mai 1894, couronnée par l’Académie Française, elle décerne des médailles pour des exemples actuels de courage et de dévouement civique ou social. Cependant il ne faut pas les confondre avec des décorations "officielles". (http://medaille.decoration.free.fr/France/P_Medaille/SEAB.htm)
  14. L'Echo des jeunes est une revue littéraire, artistique, illustrée, hebdomadaire et parisienne

Références

  1. Etat civil, département du Nord, année 1838, acte 423, Mathilde-Louis-Agnès Delaporte(www.archivesdepartementales.lenord.fr)
  2. Veuve Mathilde Guthlin, Notice biographique de M. Arnould Claude Gallois, Dunkerque, Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, , 377 p. (lire en ligne), p. 267-270
  3. Préfecture de la Seine, Recueil des actes administratifs de l'année 1912, , 991 p. (lire en ligne), p. 983-984
  4. « Acte de mariage », sur www.gennpdc.net (consulté le )
  5. Paru dans les journaux : Le Rappel du 24 octobre 1894, La Lanterne du 25 octobre 1894, Gil Blas du 24 octobre 1894, Le journal du 24 octobre 1894, L'Evénement du 25 octobre 1894.
  6. « Marguerite Duclerc (1867?-1902) - Auteur - Ressources de la Bibliothèque nationale de France », sur data.bnf.fr (consulté le ).
  7. « Loys Amel (18..-19..) - Auteur - Ressources de la Bibliothèque nationale de France », sur data.bnf.fr (consulté le ).
  8. « Louis Delaquerrière (1856-1937) - Auteur - Ressources de la Bibliothèque nationale de France », sur data.bnf.fr (consulté le ).
  9. Journal Gil Blas du 8 septembre 1894
  10. La Revue Diplomatique, 28 avril 1894, p.9 (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5717025z/f9)
  11. Dans les journaux : Le Radical du 6 mai 1895, Journal Gil Blas du 7 mai 1895, Le Journal du 4 mai 1895, Journal des débats politiques et littéraires du 5 mai 1895.
  12. Journal Le Gaulois du 25 avril 1899.
  13. Journal Le XIXe du 14 mars 1905
  14. Journal Comoedia du 18 novembre 1908.
  15. Journal des débats politiques et littéraires du 8 février 1909.
  16. Journal des débats politiques et littéraires du 29 mars 1909
  17. Bulletin français de la Société internationale de musique (section de Paris) [ancien Mercure Musical], Nos échos, page 111, janvier 1909
  18. Une note dans La Revue diplomatique du 14 juillet 1895 indique : "L'assemblée générale de la Société académique musicale de France a eu lieu villa Gallois au parc Saint-Maur, chez son président Philippe Gallois.Réunion nombreuse et très intéressante. M. Mathieu d'Auriac, auteur de la charmante comédie Epreuve instantanée est élu secrétaire. La Société prendra désormais le titre de Musicale et Littéraire. Après la réunion, matinée musicale et littéraire, très réussie. Mme Savinie Lherbay, de l'Odéon, a enchanté son auditoire et Crélérot le pianiste bien connu a eu un énorme succès avec la Polonaise de Philippe Gallois, jouée de main de maître. Enfin garden-party très animée."
  19. « R. Mathieu-d'Auriac (18..-19..) - Auteur - Ressources de la Bibliothèque nationale de France », sur data.bnf.fr (consulté le ).
  20. Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical, 1897, p.52
  21. La Revue Lyrique, dirigée par Philippe Gallois, est mentionnée le dimanche 27 janvier 1896 dans la publication de L'Europe artiste, où elle est mentionnée comme présente à la rencontre du syndicat de la presse française périodique. En 1905, la revue n'apparaît plus dans l'Annuaire des artistes et de l'enseignement dramatique et musical.
  22. Annuaires des artistes et de l'enseignement dramatique et musical de 1897 et de 1906
  23. Bulletin de la Société de secours aux blessés militaires des armées de terre et de mer, Paris, 1891, p.72
  24. « Acte de décès à Saint-Maur-des-Fossés, de GUTHLIN née DELAPORTE Mathilde Louise – 26 décembre 1911 – Acte 598 », sur archives.valdemarne.fr (consulté le )
  25. Ses testaments des 5 avril 1892, 5 mars 1894, et 24 janvier 1893, retranscrits (mais sans les noms des destinataires) dans le Recueil des actes administratifs de la Préfecture du département de la Seine, décembre 1912 (https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34413006m)
  26. Les journaux La Petite Presse et Le pays : journal des volontés de France du 19 novembre 1901 écrit : "Confédération Littéraire et artistique de France. Matinée sous la présidence de M. Clovis Hugues, député, assisté de... distribution des nombreuses récompenses du grand concours international parmi lesquelles nous avons retenu Mme Comboulot pour ses poésies et Philippe Gallois pour sa grand Polonaise."
  27. L'Echo des Jeunes du 1er mai 1902 (13è année - N°221), revue hebdomadaire littéraire, artistique et illustrée
  28. Fiche artiste sur www.data.bnf.fr : https://data.bnf.fr/fr/16355028/philippe_gallois/
  29. Liste de ses œuvres à la BNF : https://data.bnf.fr/fr/documents-by-rdt/16355028/tum/page1
  30. Bouvret Alphonse, Un Franc-Picard à Paris : chroniques au jour le jour et chansons, 1894,Paris, XII-327 p., p.310-311
  31. Journal des artistes, 1894, p.622 (https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4577407c/f6)

Articles connexes

Liens externes

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