Mia tou Kléphti...
Mia tou Kléphti... (grec moderne : Μια του κλέφτη, qui pourrait se traduire par Un point pour le voleur...[1]) est un film grec réalisé par Dimitris Ioannopoulos (el) et sorti en 1960.
Titre original | Μια του κλέφτη |
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Réalisation | Dimitris Ioannopoulos |
Scénario | Dimitris Ioannopoulos |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Studio A Iva Films |
Pays de production | Grèce |
Genre | Comédie sentimentale |
Durée | 87 minutes |
Sortie | 1960 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Synopsis
Un avocat (Dimitris Horn) est amoureux d'une jeune femme (Kakia Analyti). Alors qu'il est en vacances sur Paros, une femme mariée le poursuit de ses avances. Le mari de celle-ci (Dionysos Papagiannopoulos) se croyant trompé poursuit lui aussi l'avocat pour le surprendre avec son épouse. L'avocat passe son temps à fuir. Il retrouve alors par hasard la jeune fille dont il est amoureux. Celle-ci, le prenant pour un voleur l'aide à fuir. Lorsque la vérité est révélée, le film finit bien par un mariage.
Fiche technique
- Titre : Mia tou Kléphti...
- Titre original : grec moderne : Μια του κλέφτη
- Réalisation : Dimitris Ioannopoulos (el)
- Scénario : Dimitris Ioannopoulos
- Direction artistique : Tasos Zographos
- Décors :
- Costumes :
- Photographie : Pavlos Filippou
- Son : Max Brenziger et Antonis Beraktaris
- Montage : Lefteris Siaskas
- Musique : Mimis Plessas
- Production : Studio A
Iva Films - Pays d'origine : Grèce
- Langue : grec
- Format : Couleurs
- Genre : Comédie sentimentale
- Durée : 87 minutes
- Dates de sortie : 1960
Distribution
- Dimitris Horn
- Thanassis Vengos
- Kakia Analyti (el)
- Dionysis Papagiannopoulos (en)
- Kostas Rigopoulos (en)
Récompenses
Semaine du cinéma grec 1960 (Thessalonique) : meilleur acteur (Dimitris Horn)
Notes et références
- Le titre grec est une référence au dicton populaire Μιά του κλέφτη, δυό του κλέφτη, τρείς και η κακή του μέρα : « Un pour le voleur, deux pour le voleur, trois et le jour tourne mal », l'idée est qu'à force de voler ou de manigancer, on finit, au 3e mauvais coup, par se faire pincer. Ces trois premiers mots sont couramment utilisés pour laisser planer la menace voilée que « ça finira mal ». L'utilisation ici est ironique.
Voir aussi
Bibliographie
- (fr) Michel Démopoulos (dir.), Le Cinéma grec, Paris, Centre Georges Pompidou, coll. « cinéma/pluriel », , 263 p. (ISBN 2-85850-813-5)
Liens externes
- (el), (en), (fr) Fiche à la cinémathèque grecque
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