Michel Guiniot

Il est issu d'une famille de commerçants implantée depuis presque un siècle dans la région de Chauny-Tergnier-St Quentin. La branche maternelle de sa famille est installée depuis longtemps en Thiérache. Il s'installe dans l'Oise, à Noyon en 1975. artisan-commerçant durant 26 ans, il mène plusieurs combats pour la défense du petit commerce^{[réf. nécessaire]}.

Il est le beau-père de Mylène Troszczynski, ancienne députée française au Parlement européen (élue de 2014 à 2019).

Il rejoint le Front national en 1988 pour la première fois lors des élections municipales de 1989 à Noyon, il est ensuite candidat à toutes les élections pour le Front national (municipales, cantonales, législatives, régionales, sénatoriales et européennes). Aux élections cantonales de 2011, il se présente sur le canton de Noyon[5]. Aux élections municipales de 2014, il est tête de liste pour le FN à Noyon[6]. Pour les élections départementales de 2015, il est chargé de récupérer les candidatures FN dans l'Oise[7].

Recruté comme chargé de mission auprès des fédérations par Jean-Marie Le Pen, parallèlement il monte des listes pour les élections des CCI dans plus de 40 départements et il constitue des listes municipales lors d'élections partielles à Sète, Bouc-Bel-Air et Saint-Dizier.

Il devient secrétaire national aux fédérations puis secrétaire national aux élus.

Il est un acteur au niveau national du recueil des signatures pour l'élection présidentielle en 1995, 2002[8], 2007[8] et 2012[1]

Il dirige, au niveau national, les campagnes cantonales de 2008 et 2011, les sénatoriales de la même année. En 2012, pour la campagne présidentielle, il devient conseiller spécial de Marine Le Pen pour les questions relevant de la réforme territoriale et des collectivités territoriales. Il coordonne au niveau national les élections législatives françaises de 2012.

Il a dirigé la campagne d'Etienne Bousquet-Cassagne lors de l'élection législative partielle du Lot-et-Garonne en mai 2013 (à la suite de la démission de Jérôme Cahuzac)[4] ainsi que celle de Florence Italiani lors de la législative partielle de l'Oise de mars 2013 où le Front national avait réalisé un score de 48,59%[9].

Il était, jusqu'à la fusion des régions Picardie et Nord Pas de Calais, président du groupe Front National à la région.

En sus de son mandat de Conseiller municipal à Noyon, il a été Conseiller communautaire du Pays Noyonnais jusqu'en 2015.

Il a été membre du bureau politique et du comité central du Front National (réélu lors du XVème congrès du Front National le 29 novembre 2014)[10], ou il a occupé, notamment le rôle de délégué national aux collectivités territoriales.

Au sein du Rassemblement National, il est désormais membre de la commission des conflits[11] après avoir été responsable de la campagne pour les élections sénatoriales de septembre 2017[12].

Il a été, jusqu’en 2015, le représentant du Front national à l'Association des régions de France (ARF).

Il a été secrétaire départemental de l'Oise du Front National de 1992 à 2017 [13].

• Conseiller municipal de Noyon (Oise) de 1995 à 2015.
• Conseiller communautaire du Pays Noyonnais de 2008 à 2015.
• Conseiller départemental de l'Oise de 2015 à 2021.
• Conseiller régional de Picardie de 1993 à 2015.
• Conseiller régional des Hauts-de-France depuis 2015.
• Député de la sixième circonscription de l’Oise depuis 2022.

• Membre représentant le Front National au Conseil d'administration de l'Association des régions de France jusqu’en 2015.
• Président du groupe des élus du Front National au Conseil régional de Picardie de mars 2004 à décembre 2015.