Musée des Beaux-Arts de Gaillac

Le musée des Beaux-Arts de Gaillac, situé dans le château de Foucaud à Gaillac dans le Tarn depuis 1934, est un musée d'art français.

Musée des Beaux-Arts de Gaillac
Le château de Foucaud, façade est.
Informations générales
Ouverture
1934
Visiteurs par an
4 764 ()
Site web
Collections
Label
Bâtiment
Protection
Localisation
Pays
Région
Occitanie
Commune
Coordonnées
43° 53′ 42″ N, 1° 53′ 54″ E
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Tarn

Labellisé « musée de France[1] », la municipalité l'a réaménagé en 1994 en proposant deux étages d'expositions permanentes et des espaces consacrés à des expositions temporaires.

Collections

Peinture et dessin

Le musée conserve un fonds d'œuvres du peintre Firmin Salabert (1811-1895), élève d'Ingres, qui a donné à la ville ses tableaux. Le maire de Gaillac cherchant un lieu pour les exposer et après de longues tractations, l'achat du château de Foucaud est réalisé en 1903. D'autres artistes locaux y sont aussi visibles, comme Henri Loubat (1855-1926), Charles Escot (1834-1902), Raymond Tournon (père) (1870-1919), Raymond Tournon (fils) (1901-1975), Joseph Espalioux (1921-1986).

Le musée a acquis depuis 2000 plusieurs huiles et dessins de Marie Bermond (1859-1941).

Sculpture

Le musée conserve notamment un fonds d'œuvres du sculpteur Jules Pendariès (1863-1933) et lui a dédié une salle d'exposition[2].

Expositions temporaires

Notes et références

  1. Au sens de la loi no 2002-5 du  ; voir site du ministère de la Culture.
  2. Alain Soriano et Bertrand de Viviès, Gaillac et les Gaillacois : Vingt siècles d'histoire, Albi, Éditions Grand Sud, , 128 p. (ISBN 2-908778-55-6) p. 76-78.
  3. Modèle en bronze de la statue du Monument au général d’Hautpoul inauguré en 1851 à Gaillac, envoyé à la fonte sous le régime de Vichy, remplacé par une statue en pierre par Gilbert Privat (cf. e-monumen.net).
  4. Joseph Latour, dessins d'un peintre voyageur de Toulouse en Espagne, catalogue du musée des Beaux-Arts de Gaillac.
  5. « Gaillac. Jo Vargas ou l'insoutenable légèreté de l'être », La Dépêche du Midi, .

Lien externe

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