Myotis vivesi

Myotis vivesi, est une espèce de mammifères chiroptères (chauves-souris) de la famille des Vespertilionidae vivant à proximité du golfe de Californie. C'est la plus grande espèce du genre Myotis aux Amériques[1]^,[2]. Deux adaptations (pieds énormes avec des doigts allongés et ombre inversée)[3] permettent à ce vespertilion de se nourrir de poissons et de crustacés, ce qui lui vaut le nom vernaculaire de « murin pêcheur ».

Myotis vivesi

Myotis vivesi.

Classification
Règne	Animalia
Embranchement	Chordata
Sous-embr.	Vertebrata
Classe	Mammalia
Sous-classe	Theria
Infra-classe	Eutheria
Ordre	Chiroptera
Sous-ordre	Microchiroptera
Famille	Vespertilionidae
Sous-famille	Vespertilioninae
Genre	Myotis

Espèce

Myotis vivesi
Menegaux, 1901

Statut de conservation UICN

VU A2e; B1ab(ii,iii) : Vulnérable

Répartition et habitat

Aire de répartition.

Notes et références

(en) E. Marquez, « Myotis vivesi », Animal Diversity Web, University of Michigan, 2000 (consulté le 20 mars 2019)
(en) « Fish-eating myotis (Myotis vivesi) » [archive du 27 février 2011], ARKive (consulté le 20 mars 2019)
(en) Sharlene E. Santana, Thomas O. Dial, Thomas P. Eiting & Michael E. Alfaro, « Roosting Ecology and the Evolution of Pelage Markings in Bats », PLOS One, vol. 6, n^o 10,‎ 2011 (DOI 10.1371/journal.pone.0025845).

Liens externes

(en) Référence Catalogue of Life : Myotis vivesi Menegaux, 1901 (consulté le 20 décembre 2020)
(fr+en) Référence ITIS : Myotis vivesi Menegaux, 1901 (consulté le 9 avril 2012)
(en) Référence Animal Diversity Web : Myotis vivesi (consulté le 9 avril 2012)
(en) Référence NCBI : Myotis vivesi (taxons inclus) (consulté le 9 avril 2012)
(en) Référence UICN : espèce Myotis vivesi Menegaux, 1901 (consulté le 26 mai 2015)

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[ADW-1] (en) E. Marquez, « Myotis vivesi », Animal Diversity Web, University of Michigan, 2000 (consulté le 20 mars 2019)

[ARKive-2] (en) « Fish-eating myotis (Myotis vivesi) » [archive du 27 février 2011], ARKive (consulté le 20 mars 2019)

[3] (en) Sharlene E. Santana, Thomas O. Dial, Thomas P. Eiting & Michael E. Alfaro, « Roosting Ecology and the Evolution of Pelage Markings in Bats », PLOS One, vol. 6, n^o 10,‎ 2011 (DOI 10.1371/journal.pone.0025845).