Olivier de Saint-Georges de Vérac
Armand-Maximilien-François-Joseph-Olivier de Saint-Georges, vicomte[3] puis marquis de Vérac, né le à Paris et mort le en son château du Tremblay-sur-Mauldre [5] est un militaire et homme politique français des XVIIIe et XIXe siècles.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Georges et Vérac.
Olivier de Saint-Georges de Vérac | |
Portrait[2] de Armand-Maximilien-François-Joseph de Saint-Georges, marquis-pair de Vérac (1768-1858)- maréchal de camp- gouverneur du château de Versailles de 1819 à 1830, Robert Lefèvre, 1817, château de Versailles | |
Titre | Vicomte[3] de Vérac |
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Autres titres | Marquis de Vérac (1817) |
Grade militaire | Maréchal de camp |
Commandement | Gouverneur du château de Versailles |
Conflits | Guerres révolutionnaires |
Distinctions | Chevalier du Saint-Esprit Légion d'honneur (Grand officier) |
Autres fonctions | Conseiller général de Seine-et-Oise Pair de France |
Biographie | |
Dynastie | Famille de Saint-Georges[4] |
Nom de naissance | Armand-Maximilien-François-Joseph-Olivier de Saint-Georges de Vérac |
Surnom | Olivier de Saint-Georges de Couhé |
Naissance | Paris |
Décès | Le Tremblay-sur-Mauldre |
Père | Charles Olivier de Saint-Georges de Vérac |
Mère | Marie Charlotte Joséphine Sabine de Croÿ d'Havré |
Conjoint | Euphémie de Noailles |
Biographie
Quatrième fils du marquis de Vérac, Olivier de Saint-Georges naît à Paris, le .
Destiné comme ses aïeux à la carrière des armes, il débute à l'âge de quinze ans dans les gardes du corps du roi ; passe, en 1786, sous-lieutenant dans les carabiniers royaux, et y reçoit le grade de capitaine en 1788. Sa carrière naissante est brisée par la Révolution française [6].
Émigration
S’étant rendu à Soleure, auprès de son père, ambassadeur en Suisse du Roi de France, il y trouve le baron de Breteuil, ancien ministre de la maison du roi, qui y résidait avec sa famille depuis les premiers jours de l’émigration. Le baron de Breteuil, « qui avait la confiance et les pouvoirs de Louis XVI, et était seul confident, au dehors, du voyage de Varennes […][6] » choisit le jeune Olivier de Vérac pour être son secrétaire, l’aider dans sa correspondance avec le Roi et l’étranger, l’envoyer même porteur de dépêches à Paris, « au péril de sa vie[6] », l’initiant ainsi à des secrets qu’ignorait son père.
Après que l'on ait appris la nouvelle de l’arrestation du Roi, le jeune homme demeure au même poste, associé aux efforts que continua de faire M. de Breteuil pour sauver le Roi et la Reine [6].
Il est ainsi constamment initié aux confidences que les souverains déchus et captifs, parvenaient quelquefois à adresser à leurs serviteurs.
Après l'exécution de Louis XVI, de Vérac suivit le baron de Breteuil à Bruxelles [7] puis prend du service à l’étranger [6]. En 1796, il suit, dans l'état-major de Wurmser les opérations de la campagne d'Italie [7].
Le vicomte de Vérac, qui n'était porté nominativement sur aucune liste d’émigrés, rentre en France, en 1799.
Premier Empire
En 1807, Vérac est l’objet d’une rigueur personnelle, et exilé en Belgique, par l’Empereur, qui le met pendant plusieurs années sous la surveillance des autorités administratives. Il rentre définitivement en France en 1809[7].
En 1810, il épouse mademoiselle Euphémie de Noailles, fille du général-vicomte de Noailles, qui venait de périr, en 1804.
Restauration française
Après l’abdication de Fontainebleau, Vérac salue, avec enthousiasme, le retour des Bourbons, qui n’avaient pas perdu le souvenir de son dévouement à Louis XVI.
Il est nommé chevalier de Saint-Louis, le ; membre du Conseil général de Seine-et-Oise, le 30 septembre de la même année, et pair de France, le .
Entré dans la vie publique, « son esprit éclairé et judicieux ne le fit pas hésiter sur la nécessité de marcher avec franchise[6] » dans la voie du gouvernement représentatif dont la Restauration venait de doter la France. Aussi est-il un des membres les plus décidés et les plus intelligents du parti modéré qui formait la majorité de la pairie, et qui fut connu plus tard sous le nom de centre droit[6]. On aura tout dit sur sa couleur politique, en disant qu’il était ami intime du duc de Richelieu, et partageait ses opinions[6]. Il le sert activement dans sa ligne de conduite, et entre autres, contribue beaucoup à son rapprochement avec M. de Villèle.
Vérac vote pour la mort dans le procès du maréchal Ney[7].
Il tient constamment une place importante à la chambre haute (bien qu'éloigné de la tribune par un léger défaut de prononciation[7]), par la part qu’il prend aux questions qui s’y traitent, au travail des commissions, aux transactions des partis, et il porte le même esprit et la même influence dans les conseils généraux et les collèges électoraux (qu’il présidait, depuis 1818, à chaque session [8]), également apprécié par les hommes politiques et par la cour, où il tient une place marquante, comme grand officier de la Légion d'honneur [6] et gouverneur du château de Versailles (1819 [8]).
M. de Forbin ayant eu l'idée, en 1822, en raison de l'abondance des tableaux, d'installer un musée à Versailles, M. de Vérac s'oppose à tout aménagement qui rendrait le palais inhabitable pour le Roi ; il objecte en outre que, parmi les tableaux, il y en avait de peu convenables, entre autres une Athalie « qui montre un derrière aussi effrayant que le songe qui l'agite ». L'idée est abandonnée [7].
Gouverneur intérimaire du palais des Tuileries en 1823, commandeur de la Légion d'honneur à l'occasion du sacre de Charles X, le marquis de Vérac est élevé au rang de grand officier de la Légion d'honneur en 1829 [7].
Monarchie de Juillet
Il est encore gouverneur de Versailles lorsqu'éclate la révolution de Juillet 1830 : « il la vit avec une amère douleur[6] », mais la chambre des pairs ayant été conservée, il continue à y siéger, professant la maxime « qu’il ne faut pas se séparer volontairement du pays, quand on occupe une position indépendante, où l’on peut encore empêcher le mal et faire le bien[9] ».
Il y prête, en effet, son appui aux mesures qui pouvaient affermir l’ordre et repousser la révolution, sans faire pour cela le sacrifice de ses sentiments et de ses opinions[9]. Il proteste vivement contre la proposition de l'abolition du deuil national du 21 janvier (commémorant la mort de Louis XVI), s'exprime (1836) dans le procès Meunier en faveur de Lavaux [7], et élève encore quelquefois la voix dans l’assemblée « pour réclamer en faveur de ce qui était juste et utile au pays[9] ».
Bien qu'il eût prêté serment à Louis-Philippe Ier, il n'apparaît plus aux Tuileries après la Révolution d'.
Il se rend à Londres pour rencontrer le « comte de Chambord » vers 1843-1844 [10] et est par la suite, en correspondance avec lui.
Du reste, il ne vécut réellement plus qu’en homme privé, ne siégeant que fort irrégulièrement [7] jusqu'à la révolution de Février 1848 qui le rend à la vie privée. Il meurt le , à 90 ans, en son château du Tremblay sur Mauldre [11].
Titres
- Vicomte[3] de Vérac (1768-1817) ;
- Pair de France [12] :
- - ;
- Marquis de Vérac-pair héréditaire (, lettres patentes du [8]) ;
Du fait de son élévation au rang de marquis, il y eut deux marquis de Vérac [3] :
- de 1818 à 1828, Olivier (marquis et pair) et son père Charles Olivier (4e marquis de Vérac) ;
- de 1828 à 1838, Olivier et son frère aîné Anne Louis Joseph César Olivier (5e marquis de Vérac).
Sa titulature était : S.S. le marquis de Vérac [10].
Décorations
- Chevalier du Saint-Esprit [3] (dernière promotion : au palais des Tuileries, le , Jour de la Pentecôte) ;
- Légion d'honneur [13] :
- Officier () [8], puis,
- Commandeur () [8], puis,
- Grand officier de la Légion d'honneur[6] (1829 [7]) ;
- Chevalier de Saint-Louis () ;
- Décoration du Lys (d'après le portrait en début d'article) ;
Armoiries
Écartelé: aux 1 et 4, d'argent, à la croix de gueules ; aux 2 et 3, fascé ondé enté d'argent et de gueules de six pièces (de Rochechouart).[14],[15],[16],[12]
Ascendance et postérité
Armand-Maximilien-François-Joseph-Olivier était le cinquième enfant de Charles Olivier de Saint-Georges (1743-1828), 4e marquis de Vérac et de Marie Charlotte Joséphine Sabine de Croÿ d'Havré (1740-1776).
Il avait pour frères et sœurs :
- Charles François Marie Joseph de Saint Georges de Vérac (Paris, - ) ;
- Anne Louis Joseph César Olivier de Saint Georges de Vérac (Paris, - Paris, ), 5e marquis de Vérac, marié, le à Paris, avec Gabrielle Françoise Eustachie ( † ), fille de Charles François Gaspard Fidèle de Vintimille, sans postérité. César de Vérac fut marié très-jeune avec mademoiselle de Vintimille, fille du comte de Vintimille, chevalier d'honneur de madame la comtesse d'Artois, qui obtint pour son gendre la survivance de cette place. Le comte de Vérac suivit la princesse en émigration, servit il l’armée des princes, et rentra en France quand les circonstances le permirent. Il fut nommé, à la Restauration, gentilhomme d’honneur de Monsieur, comte d'Artois, et plus tard, un des quatre chambellans de Charles X de France[9].
- Alphonse Christian Théodoric Joseph Olivier de Saint Georges de Vérac (né le - Paris) ;
- Anne Justine Elisabeth Joséphine de Saint Georges de Vérac (née le - Paris), mariée, le à Paris, avec Benjamin Léonor Louis Frotier (1760-1806), marquis de La Coste-Messelière, colonel de cavalerie, ministre plénipotentiaire, député aux États généraux de 1789, député du Cantal à la Convention nationale, préfet napoléonien (Allier), dont postérité ;
- Gabriel Louis Christian Joseph de Saint Georges de Vérac ( † à Paris), chevalier de Malte et chevalier de Saint-Louis. Il servit à l’armée des princes et en Espagne [9].
16. | ||||||||||||||||
8. César de Saint-Georges, 2e marquis de Vérac | ||||||||||||||||
17. Madeleine Le Cocq | ||||||||||||||||
4. François Olivier de Saint-Georges, 3e marquis de Vérac (1707-1753) | ||||||||||||||||
9. Catherine Marguerite Pioger | ||||||||||||||||
2. Charles Olivier de Saint-Georges, 4e marquis de Vérac (1743-1828) | ||||||||||||||||
20. | ||||||||||||||||
10. Charles François de Riencourt, marquis d'Orival ( † 1771) | ||||||||||||||||
21. Marie Anne Desfriches (1654-1751) | ||||||||||||||||
5. Elisabeth Marie de Riencourt | ||||||||||||||||
22. | ||||||||||||||||
11. Marie Elisabeth Catherine d'Angennes | ||||||||||||||||
23. Catherine Giraud du Poyet ( † 1718) | ||||||||||||||||
1. Olivier de Saint-Georges, marquis de Vérac (1768-1858) | ||||||||||||||||
24. | ||||||||||||||||
12. Jean-Baptiste de Croÿ, duc d'Havré (1686-1737) | ||||||||||||||||
25. | ||||||||||||||||
6. Louis-Ferdinand de Croÿ, duc d'Havré (1713-1761) | ||||||||||||||||
26. | ||||||||||||||||
13. Maria Anna Lante Montefeltro della Rovere (1685-1753) | ||||||||||||||||
27. | ||||||||||||||||
3. Marie Charlotte Joséphine Sabine de Croÿ d'Havré (1740-1776) | ||||||||||||||||
28. | ||||||||||||||||
14. Christian Louis de Montmorency-Luxembourg, duc de Tingry (1675-1746) | ||||||||||||||||
29. | ||||||||||||||||
7. Marie-Louise de Montmorency-Luxembourg (1716-1764) | ||||||||||||||||
30. | ||||||||||||||||
15. Louise-Madeleine de Harlay (1694-1749) | ||||||||||||||||
31. Louise Renée Catherine du Louët ( † 1751) | ||||||||||||||||
Il épouse, le à Paris, Adélaïde-Marie-Euphémie-Cécile de Noailles (Paris, - La Norville, ), fille de Louis-Marie, vicomte de Noailles, maréchal-de-camp, chevalier des ordres de Saint-Louis et chevalier de Malte, et de l'« association » de Cincinnatus, et d'Anne-Jeanne-Baptiste-Pauline-Adrienne-Louise-Dominique de Noailles d'Ayen [8] (1758-1794).
- Ensemble, ils ont trois filles :
- Marie Charlotte Adrienne Philippine (Paris VIIe, - Paris, ), mariée, le à Paris Xe, avec Adolphe, comte de Rougé (1808-1871), dont :
- Jeanne-Charlotte de Rougé (née le ), mariée le à Théodore de Rous, marquis de La Mazelière (1820 ✝ 1873), dont postérité ;
- Marguerite de Rougé (née le ), mariée le à Gonzague (né en 1838), marquis d'Isoard de Vauvenargues, dont postérité ;
- Cécile de Rougé, religieuse,
- Arthur Marie Paul Augustin, 10e comte de Rougé, comte du Plessis-Bellière, marquis du Fay, Grand d'Espagne, 5e duc de Caylus, marié le à Agnès (1854 ✝ 1927), fille de Charles de Rohan-Chabot et sœur de Alain, dont :
- Postérité ;
- Marie Pauline Herminie de Rougé ( - Paris ✝ - Chambéry), mariée le (Paris) à son cousin Paul Costa de Beauregard (1839 ✝ 1901), dont postérité ;
- Elodie de Rougé, morte jeune,
- Marthe Augustine Antoinette Adrienne (Paris VIIe, - Chambéry, ), mariée, le à Marcieu (Isère), avec Louis Marie Pantaléon, marquis de Costa de Beauregard (1806-1864), dont :
- Charles-Albert (1835-1909), historien, homme politique, marié, dont postérité ;
- Josselin (1836-1916), marié (1864), avec Béatrix Budes de Guébriant (1840-1898)), dont postérité ;
- Henri (né en 1838), secrétaire d'ambassade ;
- Paul (1839-1901), marié, le à Paris VIIe, avec sa cousine Herminie de Rougé (1845-1920), fille d'Adolphe, comte de Rougé (1808-1871) et de Marie de Saint-Georges de Vérac (1811-1886), dont postérité ;
- Camille (1841-1910), chanoine de Chambéry, refusa par deux fois l'épiscopat ;
- Elisabeth ( - ) ;
- Félicie Marie ( - ) ;
- Félicie Marie Louise (1845-1893), mariée, le à Paris VIIe, avec Jules, marquis de Prunelé 1836-1897, dont postérité ;
- Alix (1845-1915), fille de la Charité (Sœur Mélanie) ;
- Olivier (1848-1870), sous-lieutenant de lanciers mort pour la France à Sedan
- Marie-Antoinette (1850-1875), mariée, le à Paris VIIe, avec Arthur de Lancrau (1843-1904), comte de Bréon, polytechnicien (X 1862), capitaine d'artillerie, union sans postérité.
- Alix Marie Léontine (Paris VIIe, - Paris VIIe, ), mariée le avec Gaspard de La Croix (1816-1869), 2e comte de Castries, dont 18 enfants, dont :
- Marie Joseph Augustin de La Croix de Castries (1852-1912), contre-amiral ;
- Jacques de La Croix de Castries (1868-1913), marié, en 1894, avec Valentine Emilie Goffe (1870-), dont :
- Christian de La Croix de Castries (1902-1990), général de brigade.
Notes et références
- Un autre portrait du marquis, par Claude Marie Paul Dubufe (vers 1830), est conservé au château de Castries. Notice no PM34001678, base Palissy, ministère français de la Culture
- Un autre portrait du marquis, par Claude Marie Paul Dubufe (vers 1830), est conservé au château de Castries. Notice no PM34001678, base Palissy, ministère français de la Culture
- Pinoteau 1983, p. 83.
- Courcelles 1827, p. 235.
- « Le Tremblay sur Mauldre 1847 - 1860 », sur Archives départementales des Yvelines (consulté le )
- Michaud 1843, p. 130.
- Robert & Cougny 1891, p. 499.
- Courcelles 1827, p. 234.
- Michaud 1843, p. 131.
- Pinoteau 1983, p. 84.
- « Le Tremblay sur Mauldre 1847 - 1860 », sur Archives Départementales des Yvelines (consulté le )
- Velde 2005, p. Lay peers.
- Base Léonore LH/2436/31.
- Courcelles 1827, p. 236.
- Rietstap 1884.
- Popoff 1996, p. 62 & 77.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- « Olivier de Saint-Georges de Couhé », sur roglo.eu (consulté le ) ;
- (en) François Velde, « Armory of the French Hereditary Peerage (1814-30) », Lay Peers, sur www.heraldica.org, (consulté le ) ;
- « Cote LH/2436/31 », base Léonore, ministère français de la Culture (vide) ;
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- « VÉRAC (ARMAND-MAXIMILIEN-FRANÇOIS-JOSEPH-OLIVIER DE SAINT-GEORGES, marquis de) », dans Louis-Gabriel Michaud, Biographie universelle ancienne et moderne : histoire par ordre alphabétique de la vie publique et privée de tous les hommes avec la collaboration de plus de 300 savants et littérateurs français ou étrangers, vol. 43, 2e édition, 1843-1865, 697 p. [détail de l’édition] (lire en ligne), p. 130-131 ;
- « DE SAINT-GEORGES, vicomte, puis marquis DE VÉRAC, (Armand-Maximilien-François-Joseph-Olivier) », dans Jean-Baptiste-Pierre Jullien de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France : des grands dignitaires de la couronne, des principales familles nobles du royaume et des maisons princières de l'Europe, précédée de la généalogie de la maison de France, vol. VIII, , 378 p. [détail de l’édition] (lire en ligne), p. 234-235 ;
- « VÉRAC (ARMAND-MAXIMILIEN-FRANÇOIS-JOSEPH-OLIVIER DE SAINT-GEORGES, marquis de) », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, t. V, Edgar Bourloton, , 570 p. [détail de l’édition] (lire en ligne), p. 499 ;
- Hervé Pinoteau, État de l'ordre du Saint-Esprit en 1830 : et la Survivance des ordres du Roi, Nouvelles Éditions latines, , 165 p. (lire en ligne), p. 83-84 ;
- Jean-Baptiste Rietstap, Armorial général, t. 1 et 2, Gouda, G.B. van Goor zonen, 1884-1887 « et ses Compléments », sur www.euraldic.com (consulté le ) ;
- Michel Popoff et préface d'Hervé Pinoteau, Armorial de l'Ordre du Saint-Esprit : d'après l'œuvre du père Anselme et ses continuateurs, Paris, Le Léopard d'or, , 204 p. (ISBN 2-86377-140-X) ;
- Germain Sarrut et Edme Thédore Bourg, Biographie Des Hommes Du Jour, vol. 5, Krabbe, , 416 p. (lire en ligne), p. 101-103 ;
- Arthur Marie Paul Augustin, comte de Rougé, Le marquis de Vérac et ses amis : 1768-1858, Plon, , 368 p. (lire en ligne) ;
- Guizot : collection de pamphlets, vol. 37, (lire en ligne) ;
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