Ouézy
Ouézy est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 238 habitants[Note 1].
Ouézy | |
Le lavoir. | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Calvados |
Arrondissement | Caen |
Intercommunalité | Communauté de communes Val ès Dunes |
Maire Mandat |
Joël Duguey 2020-2026 |
Code postal | 14270 |
Code commune | 14482 |
Démographie | |
Population municipale |
238 hab. (2019 ) |
Densité | 52 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 05′ 00″ nord, 0° 06′ 12″ ouest |
Altitude | Min. 14 m Max. 76 m |
Superficie | 4,55 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Caen (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Troarn |
Législatives | Sixième circonscription |
Localisation | |
Géographie
Ouézy se situe au pied de coteaux argileux, à la lisière du pays d'Auge et de la plaine de Caen. S'élevant au nord de la commune, ces coteaux sont constitués de bosquets et de prairies. Au sud s'étendent des terres planes et labourables propices à la culture céréalière. La commune est baignée par le Laizon, ruisseau du bassin côtier de la Dives.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mezidon-Canon », sur la commune de Mézidon Vallée d'Auge, mise en service en 1992[9] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[10],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 813,9 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 27 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,2 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Ouézy est une commune rurale[Note 7],[16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17],[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,5 %), forêts (30,4 %), prairies (19,9 %), zones urbanisées (5,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Oisiacum en 1025[23].
Le toponyme serait issu d'un anthroponyme latin[23] ou roman[24] tel qu'Otius ou Autius.
À l'époque médiévale, Ouézy portait le nom d'Ociciacus et se situait dans le Pagus Oximensis (comté d'Hiémois)[25].
Histoire
Moyen Âge
Une partie de la paroisse d'Ouézy passe sous la dépendance de l'abbaye de Jumièges dès le début du XIe siècle. Une charte de Richard II, duc de Normandie, signée à Falaise en 1027, nous renseigne sur les donateurs de ces prés, bois, eaux, moulins et pêcheries offerts aux moines : il s'agit de trois frères nommés Evrad, Aubin et Théormar. D'autres bienfaiteurs vinrent immédiatement renforcer le domaine concédé en offrant des terres situées dans des paroisses voisines. Ainsi l'abbaye de Jumièges établit-elle bientôt un prieuré à Ouézy[26].
Au cours de l'été 1047, le roi Henri Ier vient prêter main-forte au jeune duc de Normandie, Guillaume le bâtard. Il aurait établi son campement au lieu-dit les Forges, sur les rives du Laizon.
En 1066, Guimont d'Ouézy, seigneur dudit lieu, combat aux côtés de Guillaume à Hastings. Cette famille blasonnera de gueules au chevron d'or accompagné de trois besans d'argent. Elle incorporera à son nom le fief d'Olendon, près Falaise.
En 1088, est attesté Hervé d'Ouézy, fils de Richard.
Au cours du XIIe siècle, le prieuré d'Ouézy s'étend encore avec des dons consentis par un seigneur voisin, Herbert de Méry. Ce dernier regrette manifestement ses libéralités et une contestation l'oppose aux moines de Jumièges. Un accord intervient entre 1127 et 1141. Cette conciliation revêt un certain éclat car elle a lieu au prieuré en présence de Jean, évêque de Lisieux, et de Guillaume, abbé de Jumièges ainsi que d'une foule de notabilités locales parmi lesquelles Hervé d'Ouézy.
Vers cette époque, Roger, seigneur de Cesny-aux-Vignes, fait lui aussi quelques dons, pour le salut de son âme et celui de ses aïeux, de trois acres de terre sises entre le marais et la route d'Ouézy à Cesny. À son tour, le fils de Roger, Guillaume de Cesny, conteste aux moines les libéralités de son père et un accord est signé en 1198 et 1213 à Ouézy « en face de toute la paroisse ». Cette charte nous renseigne sur le personnel du prieuré nommé ici par l'abbé de Jumièges. Renouf, prieur, est entouré de deux moines, Odon de Fourneville et Pierre de Caen ainsi que du prêtre Henry qui assure vraisemblablement le ministère paroissial.
À une date qui reste inconnue, Rose d'Ouézy, veuve de Guillaume Clarel, officier de l'abbaye de Jumièges, consent en compagnie de son fils à un don en faveur du prieuré. Il consiste notamment en un tiers de leur fief sis à Ouézy et en un tiers de leur vignobles situés en Angleterre. Ils abandonnent en outre leur droit de passage dans le bois des moines à Ouézy.
Avant 1250, cesse la vie monastique au prieuré d'Ouézy. À cette époque, les terres possédées ici par Jumièges sont affermées à un certain Osmond. En 1251, l'abbé de Jumièges trouve meilleur preneur. Les possessions de l'abbaye de Jumièges sont érigées en baronnie.
En 1275, Aélicie d'Ouézy cède à l'abbaye de Jumièges ses droits sur les moulins d'Ouézy.
La présence de vignobles est attestée sur les coteaux d'Ouézy au Moyen Âge ainsi que dans la commune voisine de Cesny-aux-Vignes[27]. Au XIIIe siècle, la baronnie d'Ouézy fournit aux moines de Jumièges 100 muids de vin par an[28]. Une charte de 1241 fait état de vignobles appartenant à Maître Thomas, d'Allemagne, près Caen et situés entre les vignes de Raoul d'Anisy et de Richard Malapert[29]. En 1427, Jehan de Saint-Clair achète à l'abbaye de Jumièges une acre de vigne au lieu-dit le Clos-l'Abbé[30].
Temps modernes
En 1650, subsistent à Canon, en direction d'Ouézy, des vignobles mal entretenus s'étendant sur une dizaine d'acres[31]. En 1669, on cite encore la vigne Jeandun, jouxtant, près du chemin de Mézidon, les vignes vis-à-vis le petit bois, les Plates-Vignes, dites aussi vignes d'Ouésy[30]. Des vignobles ont été réimplantés récemment[Quand ?] à Ouézy.
En 1764, de petites écoles sont attestées à Ouésy sous la baguette de Maître Pierre Pierre[32].
Révolution française et Empire
1790 : la baronnie d'Ouézy va bientôt[Quand ?] échapper à l'abbaye de Jumièges. Elle est affermée à Jean Morière pour 3 130 livres.
Époque contemporaine
En 1863, M. Adigard, propriétaire à Ouésy-sur-Laizon, fait don au département du Calvados d'un important fonds de parchemins illustrant l'histoire de la localité[33].
Le , le ministre de la Justice et des Cultes accorde un secours de 1 800 francs à la commune pour la reconstruction du presbytère.
Dix-sept enfants d'Ouézy perdent la vie durant la Première Guerre mondiale.
En , a lieu un tragique fait divers à Ouézy. Par dépit amoureux, un employé des chemins de fer tire trois coups de révolver sur son ancienne fiancée. Atteinte à la tête et au bras, la victime en réchappe.
: M. Delavallée est élu maire. L'adjoint est M. Desrivières.
En , une affaire sordide secoue la commune. Une jeune fille de 15 ans accouche d'un enfant qui meurt peu après. La mère de la parturiente fait disparaître le cadavre du nouveau-né dans le foyer de sa buanderie. Elle est condamnée à un an de prison avec sursis.
Seconde Guerre mondiale : Ouézy compte quatre morts pour la France.
Du au , Ouézy forme avec la commune de Cesny-aux-Vignes, la commune de Cesny-aux-Vignes-Ouézy[34].
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal est de onze[39]dont le maire et un adjoint[38].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[41].
En 2019, la commune comptait 238 habitants[Note 9], en augmentation de 3,93 % par rapport à 2013 (Calvados : +0,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %). Ouézy a compté jusqu'à 355 habitants en 1806.
Enseignement
La base de données du ministère de l’Éducation nationale indique la présence d'une école primaire publique regroupant une école maternelle et une école élémentaire pour un total de 54 élèves (année 2017-2018) à Cesny-aux-Vignes-Ouezy[44].
Culture locale et patrimoine
Monuments remarquables
La commune compte un monument répertorié à l'inventaire des monuments historiques[45], aucun lieu ni monument répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel[46]. Par ailleurs, elle ne compte aucun objet répertorié à l'inventaire des monuments historiques[47] et 140 objets ni à l'inventaire général du patrimoine culturel[48].
Le chœur du XIIe siècle de l'église Saint-Pierre est classé depuis le [49]. On remarque, du côté nord, une porte à plein cintre dans le tympan de laquelle est la représentation d'un moine couché et dormant. Sous l'Ancien Régime, l'abbaye de Jumièges avait le patronage de cette église. La tradition rapporte que l'église primitive d'Ouézy se trouvait à une certaine distance dans la campagne, au lieu-dit Clos Saint-Pierre. Les moines déplacèrent ensuite la paroisse dans leur propre chapelle dédiée à saint Aubin[réf. nécessaire].
Autres lieux et monuments
Au sud de l'église, de l'ancien prieuré, il ne subsiste qu'un bâtiment servant de corps de ferme et présentant des cheminées géminées octogones. Face à la maison d'habitation des moines existait une grange, ornée de colonnes et d'ogives, où s'entreposaient les récoltes et les dîmes relevant du prieuré[50].
Le buste du peintre Jules Louis Rame (1855-1927) est visible dans le cimetière d'Ouézy.
La grille monumentale du château (XVIIIe siècle) est due au maître serrurier caennais, Jules Lechevrel, nommé chevalier de la Légion d'honneur à 90 ans. Reconverti en colonie de vacances puis en centre de cure, le château était, à la fin du XIXe siècle, propriété de William, comte de Bonchamps.
Quatre sépultures franques ont été mises au jour en 1982 à proximité du CD 47. Elles contenaient quatre squelettes en assez bon état de conservation ainsi qu'une fibule en arbalète en bronze pouvant dater de la seconde partie du Ve siècle[51].
Personnalités liées à la commune
- Raoul de la Rivière fait don de ses terres d'Ouézy à l'abbaye de Jumièges en [52].
- Nicolas du Bourget, sieur de Chaulieu (né à Caen en 1642, mort à Ouézy en 1721). Il s'installa dans la paroisse en 1705 par l'acquisition de terres appartenant à Georges Le Sueur. Poète latin, ses œuvres ont été imprimées à Caen chez Jean Cavelier et Richard Poisson (in-8)[53].
- Jean-Baptiste-François de Picquot d'Ouézy, descendant d'un frère de Jeanne d'Arc, Pierre d'Arc, chevalier du Lys.
- Georges-Fernand Dunot, baron de Saint-Maclou (né le à Ouézy, mort le à Lourdes). Sa famille s'était illustrée dans les guerres de la Ligue et comptait 22 militaires tués sur les champs de bataille. Il fut élève de l'école spéciale militaire de Saint-Cyr d'où il sortit avec le no 9 mais une santé précaire lui fit abandonner le métier des armes. Il se tourna alors vers la médecine et fut d'abord reçu officier de santé à 31 ans. Puis il obtint son doctorat à la faculté de Louvain. Membre de la société des antiquaires de Normandie, il donne notamment une étude sur les combats de la Dive en 945[54]. En 1873, il fonde La semaine religieuse de Nice avant de créer à Lourdes le Bureau de constatations des guérisons[55].
- Jules Louis Rame (1855-1927, peintre, né et mort à Ouézy.
- Gabriel Desrivières (1857-1931), artiste-peintre né à Paris, installé à Ouézy, où il meurt le , membre de la Société des beaux-arts de Caen dès .
- Léandre Anicet Fallou (1912-2000), capitaine de réserve de l'Armée de l'air, officier de la Légion d'honneur, médaillé de l'Aéronautique. Il effectua, en 1949, le premier ravitaillement de l'expédition Paul-Émile Victor. Il est mort à Ouézy.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Population municipale 2019 .
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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- « Station Météo-France Mezidon-Canon - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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- René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 89
- Polyptyque de l'abbé Irminon, M. B. Guérard, t. 1, P. 53, Impr. royale (Paris)-1844.
- Chanoine Georges Simon, Une possession de Jumièges en Pays d'Auge, Congrès scientifique du XIIIe centenaire de l'abbaye de Jumièges, t.1, p. 169.
- Bulletin de la société historique et archéologique de l'Orne, Alençon, 1910, T. 29, p. 193.
- Histoire de l'abbaye de Jumièges, Société de l'Histoire de Normandie, t. 2, p. 10.
- Léchaudé d'Anisy, T. 2, P. 5.
- Archives du château de Canon.
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- Rapports et délibérations du conseil général du Calvados, Caen, Veuve Pagny, 1863, p. 291.
- Pauline Machard, « Après 33 ans de discorde, Cesny et Ouézy ont mis fin à leur union », sur le site du quotidien Ouest France, (consulté le ).
- « Près de Caen. Municipale partielle à Ouézy les 8 et 15 avril 2018 », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
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- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
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- « Liste des monuments historiques de la commune de Ouézy », base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste des lieux et monuments de la commune de Ouézy à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste des objets historiques de la commune de Ouézy », base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Liste des objets de la commune de Ouézy à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Église d'Ouezy », notice no PA00111218, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Bulletin monumental, Société française d'archéologie, 1844, P. 182.
- Archéologie historique. Fouilles exécutées par la Direction régionale des Antiquités historiques de Basse-Normandie en 1982, Annales de Normandie, 1983, p. 314.
- Généalogie de la famille de la Rivière. R. de la Rivière. 1970. Archives Nationales.
- Manuel du bibliographe normand, par Édouard Frère, Éditions Le Brument, Rouen, 1857.
- Bulletin des Antiquaires de Normandie, 1892, t. 16, p. 74.
- Nouvelle biographie normande, N.-N. Oursel, A. Picard (Paris, 1886-1912, P. 404.
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