Périgny (Calvados)
Périgny est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 57 habitants[Note 1].
Pour les articles homonymes, voir Périgny.
Périgny | |
L'église Saint-Julien. | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Calvados |
Arrondissement | Vire |
Intercommunalité | Communauté de communes Intercom de la Vire au Noireau |
Maire Mandat |
Jean-Christophe Meunier 2020-2026 |
Code postal | 14770 |
Code commune | 14496 |
Démographie | |
Gentilé | Péruviens |
Population municipale |
57 hab. (2019 ) |
Densité | 21 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 55′ 19″ nord, 0° 36′ 19″ ouest |
Altitude | Min. 120 m Max. 232 m |
Superficie | 2,66 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Condé-en-Normandie (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Condé-sur-Noireau |
Législatives | Sixième circonscription |
Localisation | |
Géographie
La commune est à l'est du Bocage virois, à proximité de la Suisse normande. L'atlas des paysages de la Basse-Normandie la place au sud-est de l'unité du synclinal bocain caractérisée par « une alternance de lambeaux boisés sur les crêtes et de paysages semi-ouverts »[1].
La commune est en retrait des grandes voies de communication, à équidistance, mais à plus de 8 km, des quatre chefs-lieux de cantons les plus proches : Vassy au sud-ouest, Condé-sur-Noireau au sud-est, Thury-Harcourt au nord-est et Aunay-sur-Odon au nord-ouest. Le territoire communal est traversé au nord par la route départementale no 166b qui relie les bourgs de Lénault (à l'ouest) et Saint-Pierre-la-Vieille (à l'est) et qui passe par l'église. Au sud, le long de la Druance, la D 166 joint Saint-Pierre-la-Vieille à Saint-Vigor-des-Mézerets (au sud-ouest). La D 218, qui emprunte partiellement le tracé de la D 166, rejoint Saint-Jean-le-Blanc à l'ouest et Pontécoulant, vers Condé-sur-Noireau, au sud.
Périgny est dans le bassin de l'Orne, par son sous-affluent la Druance qui délimite le territoire de celui de Saint-Vigor-des-Mézerets au sud. Son affluent, le ruisseau de Cresme sert de limite avec Saint-Pierre-la-Vieille à l'est. Un modeste vallon séparant la commune en deux parties équivalentes et dominé par le petit bourg (« la Commune ») draine les eaux communales vers le ruisseau de Cresme.
Le point culminant (232 m) se situe au nord-ouest, à l'endroit où la D 166b quitte le territoire vers Lénault. Le point le plus bas (120 m) correspond à la sortie de la Druance du territoire, au sud. Les vallées assez marquées de la Druance et du ruisseau de Cresme sont boisées.
Les lieux-dits sont, du nord-ouest à l'ouest, dans le sens horaire, Danne, la Commune, les Hauts Champs, le Val Mérienne, le Val Rosaire, le Bout de Là et Bergogne[2],[3].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Georges D », sur la commune de Seulline, mise en service en 1997[12] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[13],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 007,2 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 32 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[16] à 11,2 °C pour 1981-2010[17], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[18].
Urbanisme
Typologie
Périgny est une commune rurale[Note 7],[19]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Condé-en-Normandie, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22],[23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (56,8 %), terres arables (25,7 %), forêts (17,2 %), zones agricoles hétérogènes (0,3 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Perigneium au XIe siècle[26] et Pérignié en 1398[27]. Le toponyme serait issu de l'anthroponyme roman Paternus[28].
Le gentilé est Péruvien, à ne pas confondre avec celui de la commune voisine de Saint-Pierre-la-Vieille, Pétruvien.
Histoire
Sous l'Ancien Régime, la paroisse dépendait de la sergenterie de Saint-Jean-le-Blanc et de l'élection de Vire.
Elle appartenait au haut Moyen Âge à Grimoult du Plessis[29].
Elle passa ensuite dans une famille Poisson qui troqua son nom pour celui de Périgny. En 1389, Jean Guillemin est seigneur de Périgny. Un autre Jean Guillemin possède la seigneurie en 1453. Elle passa ensuite dans les mains des familles du Grippel, Anzeray et Ruault.
La seigneurie de Périgny appartenait au XVIIIe siècle à la famille Gohier de Précaire[30].
Le , au cours de l'opération Totalize, un bombardier B-17-G du 349th Bomb squadron (8th Air Force) s'écrase au lieu-dit les Hauts Champs, abattu par la Flak. Huit de ses occupants périssent, seul le Staff Sergeant (en) Gilbert A. Borba sort indemne[31].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Candidats ou listes ayant obtenu plus 5 % des suffrages exprimés lors des dernières élections politiquement significatives :
- Régionales 2015[32] :
- 1er tour (65,91 % de votants) : Union de la gauche (Nicolas Mayer-Rossignol) 34,62 %, Union de la droite (Hervé Morin) 34,62 %, FN (Nicolas Bay) 19,23 %, EÉLV (Yanic Soubien) 7,69 %.
- 2e tour (68,18 % de votants) : Union de la gauche (Nicolas Mayer-Rossignol) 48,28 %, FN (Nicolas Bay) 27,59 %, Union de la droite (Hervé Morin) 24,14 %.
- Européennes 2014[33] (57,78 % de votants) : FG (Jacky Hénin) 21,74 %, ND (Arthur Devriendt) 17,39 %, UMP (Jérôme Lavrilleux) 17,39 %, FN (Marine Le Pen) 17,39 %, DLR (Jean-Philippe Tanguy) 13,04 %, EÉLV (Karima Delli) 8,70 %.
- Législatives 2012[34] :
- 1er tour (81,40 % de votants) : Alain Tourret (PRG) 45,71 %, Jean-Yves Cousin (UMP) 40,00 %, Marie-Françoise Lebœuf (FN) 8,57 %.
- 2e tour (83,72 % de votants) : Alain Tourret (PRG) 54,29 %, Jean-Yves Cousin (UMP) 45,71 %.
- Présidentielle 2012[35] :
- 1er tour (95,24 % de votants) : François Hollande (PS) 32,50 %, Nicolas Sarkozy (UMP) 27,50 %, Jean-Luc Mélenchon (FG) 12,50 %, Eva Joly (EELV) 7,50 %, Marine Le Pen (FN) 7,50 %, François Bayrou (MoDem) 5,00 %, Nicolas Dupont-Aignan (DLR) 5,00 %.
- 2e tour (95,24 % de votants) : François Hollande (PS) 57,89 %, Nicolas Sarkozy (UMP) 42,11 %.
- Européennes 2009[36] (60,00 % de votants) : LV (Hélène Flautre) 15,38 %, FN (Marine Le Pen) 15,38 %, Majorité présidentielle (Dominique Riquet) 15,38 %, Centre-MoDem (Corinne Lepage) 15,38 %, PS (Gilles Pargneaux) 11,54 %, Ext-G (Christine Poupin) 11,54 %, DVD (Frédéric Nihous) 7,69 %.
Administration municipale
Le conseil municipal est composé de sept membres dont le maire et un adjoint[41].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[43].
En 2019, la commune comptait 57 habitants[Note 9], en stagnation par rapport à 2013 (Calvados : +0,72 %, France hors Mayotte : +2,17 %). Périgny est la commune la moins peuplée du canton de Condé-sur-Noireau. Elle a compté jusqu'à 226 habitants en 1836.
Économie
En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à trente personnes, parmi lesquelles on comptait 79,3 % d'actifs dont 69 % ayant un emploi[46]. On comptait six emplois dans la zone d'emploi, contre également six en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de vingt, l'indicateur de concentration d'emploi est de 19,8 %, la zone d'emploi offre donc un peu moins d'un emploi pour trois habitants actifs[46].
Lieux et monuments
- Église Saint-Julien du XVIe siècle.
- Pierres druidiques de Becquerel.
- Stèle érigée en l'honneur des soldats américains morts pour la libération de la commune à la suite du crash de leur avion le (inaugurée sur la place du village le ).
Personnalités liées à la commune
- Fanny Jouvin, championne de France de cyclisme en 1997 et 1998, 7e des championnats du monde de cyclisme en 1998.
Notes et références
Notes
- Population municipale 2019.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
- « www.basse-normandie.developpement-durable.gouv.fr (Dreal Basse-Normandie) - Les unités de paysage : Unité 7.4.1 : Le synclinal bocain, montagne aux stigmates de l’abandon » [PDF] (consulté le )
- « Périgny » sur Géoportail.
- Cadastre.gouv.fr
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Georges D - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Périgny et Seulline », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Georges D - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Périgny et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse,
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, Genève, (lire en ligne), p. 578
- René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), BNF 36174448), p. 195-196
- Camille Cautru, Périgny, Notes d'Histoire, Condé-sur-Noireau, Charles Corlet, 1979.
- Arcisse de Caumont, Statistique monumentale du Calvados, t. 3 : Arrondissements de Vire et de Bayeux, Caen, Hardel, (lire en ligne), p. 28
- « perigny14.fr - 8 août 1944 - Périgny (Calvados) » (consulté le ), et pages liées.
- « Résultats des élections régionales 2015 », sur www.interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le )
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- « Résultats des élections européennes 2009 », sur www.interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le )
- Source partielle : François Lefaivre, Condé-sur-Noireau et sa communauté de communes, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 195 p. (ISBN 978-2-84706-323-3), p. IX
- « Le maire Dominique Mullois se représente », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- « Nécrologie à Périgny. Le maire Dominique Mullois est décédé », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- Réélection 2014 : « Dominique Mullois honore un 4e et dernier mandat », sur Ouest-france.fr (consulté le )
- « Élection à Périgny. Christiane Portier élue maire de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
- « Chiffres clés - Périgny - Année 2009 » [PDF], sur le site de l'Insee (consulté le ).
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Résumé statistique de Périgny sur le site de l'Insee
- Histoire et histoires de Périgny Documents sur l'histoire de Périgny (hameaux, monuments, crash du bombardier en 1944, reproduction des listes nominatives…
- Inventaire des archives communales sur le site des Archives départementales du Calvados
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