Pancé

Pancé est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en Région Bretagne.

Pancé

La chapelle Saint-Melaine et son clocher tors.
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Redon
Intercommunalité Bretagne Porte de Loire Communauté
Maire
Mandat
Jean-François Pilard
2020-2026
Code postal 35320
Code commune 35212
Démographie
Gentilé Pancéen
Population
municipale
1 191 hab. (2019 )
Densité 62 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 52′ 56″ nord, 1° 39′ 25″ ouest
Altitude 90 m
Min. 17 m
Max. 105 m
Superficie 19,33 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bain-de-Bretagne
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Pancé
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Pancé
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Pancé
Liens
Site web www.pance.fr

    Géographie

    Pancé compte deux sites naturels : le Tertre-Gris et le bois de la Saudrais.

    Le Tertre-Gris, appelé autrefois Mont-Alahart

    Son appellation provient, non pas de sa couleur, mais de sa désignation de Terre-du-Christ, puis Terre-Christ dérivé en Tertre-Gris sous le rège d'Henri IV. 20 hectares (dont 10 ha appartenant à la commune de Pancé) de pins, bruyères, asphodèles (plantes assez rares à fleurs blanches), genêts... composent ces anciennes carrières de pierres.

    La source des pêcheurs ou source d'Uline située sur la commune de Pancé et non de Poligné est connue pour son eau qui serait toujours potable de nos jours[réf. nécessaire].

    Le Bois de la Saudrais

    La source du Bélier (le bélier : machine pour élever l'eau) à présent tarie, alimentait le bourg. Le château d'eau situé en bordure du bois, rue du Bélier, a été détruit au début des années 2000.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 802 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La-Noe-Blanche », sur la commune de La Noë-Blanche, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 752,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 21 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Pancé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (47 %), terres arables (35,2 %), prairies (12,7 %), zones urbanisées (2,6 %), forêts (2,5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Panciacum en 860, Panceio en 1158.

    Le nom de la localité est identique à Pancey (Haute-Marne, Pancei 1284) et Pancy (Aisne, Penci 1114)[21].

    Albert Dauzat et Charles Rostaing citent le nom de personne latin Pantius, suivi du suffixe -acum[22], d'origine gauloise -acon (celtique *-ākon) servant à localiser ou à désigner la propriété. En réalité, l'anthroponyme est plutôt gallo-romain, basé sur le mot gaulois panto- « souffrance » [?], attesté dans l'onomastique personnelle gauloise : Diopantus, Uerpantus[23].

    Histoire

    Au IXe siècle, le roi Breton Salomon y avait une résidence[réf. nécessaire].

    L'ancienne église

    Le , Thomas Langouet, recteur de Pancé, Gilles de La Filochays, notable du voisinage et Robert Thomas, notaire du prieuré de Pléchâtel, affirmèrent que M. de la Marzelière, en tant que vicomte du Fretay, était fondateur et seigneur de l'église de Pancé.

    De style roman, elle était construite à l'emplacement actuel de l'ancien cimetière. Le vocable de Pancé est Saint-Martin-de-Tours. Les bras de la croix ou chapelles étaient dédiés à Saint-Sébastien et Saint-Yves. On y trouvait trois autels : Notre-Dame, la Trinité et Saint-Michel.

    En 1694, la chapelle Saint-Yves devint la chapelle du Rosaire. Les prêtres de la paroisse avaient coutume de se faire inhumer devant l'autel de la Sainte-Trinité.

    Plusieurs familles y possédaient leur enfeu : les seigneurs du Plessis-Godard, les seigneurs du Bois-Glaume en Poligné, les seigneurs du Fretay...

    Au fur et à mesure de années, plusieurs bénédictions de cloches eurent lieu. Quelques exemples :

    • le , Laurent Rondel, recteur, béni la grosse cloche. Le parrain fut Siméon Martin (fils aîné de Gilles et de Louise de Beaulis), sieur du Plessis-Bonabry et la marraine Anne Poussin, fille de Jean et de Jeanne Guérin, sieur et dame des Saudrays;
    • le , furent baptisées la grosse cloche, Paule-Renée (parrain : écuyer Paul Martin, sieur de la Roche-Bonabry, marraine : Renée Martin) et la petite cloche, Jeanne-Louise-Françoise (parrain : Jean Du Bouëxic, seigneur du Bouëxic, marraine : Françoise Martin, dame du Plessis-Godard);
    • le , la grosse cloche fut baptisée par René Bizeul, doyen de Bain. Elle fut nommée Perrine-Renée-Elisabeth (parrain René Martin, sieur des Renardières et Elisabeth Martin, demoiselle du Plessis-Godard);
    • le fut bénite Françoise-Renée (parrain : écuyer Olivier Drouet : seigneur du Boisglaume, marraine : haute et puissante dame Françoise Renée Couesquen, comtesse de Mornay, marquise de la Marzelière, baronne de Poligné).

    L'ancien presbytère

    Il est situé au coin du nord-est du cimetière. Dans les années 1689, le recteur Pierre Clouard le fit reconstruire et y fit établir un puits et un four. En 1711, le recteur Mathurin Chereil y fit construire à son tour un four et une maison.

    L'actuelle église Saint-Martin

    L'église Saint-Martin, vue de la rue du Tertre Gris.

    Elle fut construite en style néo-gothique entre 1860 et 1865 sous la direction architecturale d’Édouard Brossay-Saint-Marc (frère de l'évêque de Rennes). Elle fut bénie en (abbé Richard).

    Elle a été restaurée à plusieurs reprises : 1912/1913, 1964, début des années 2000 et rouverte en décembre 2005 après de nombreux mois de fermeture (fissures, chute de pierres).

    Lors de la dernière restauration, les vitraux ont été vandalisés et ont fait l'objet d'une dépose afin de les restaurer. À noter que dans la nuit du 4 au , la voûte s'était déjà effondrée.

    Les chapelles de la commune

    La chapelle Saint-Melaine

    Elle fut construite en 1729 et dédiée à la Vierge. Rebâtie en 1760 elle ne fut bénite qu'en 1769 en l'honneur de la Sainte-Vierge, Saint Joseph et Saint Fiacre. On y allait en procession lors des Rogations.

    Au-dessus de la porte principale, on pouvait lire : « la présente chapelle a été rétablie l'an 1760 - Ave Maria ».

    On la connaît également sous le nom de chapelle Saint-Mélaine car, à l'origine, elle appartenait aux moines de ce nom.

    Démolie à la fin du XIXe siècle, elle fut reconstruite en 1890-1891 par Arthur Regnault, originaire de Bain-de-Bretagne, (bénite le ) et déplacée plus à l'ouest que sa position initiale (le cadastre napoléonien la situant plus à l'ouest que de nos jours).

    La chapelle Sainte-Catherine-du-Fretay

    Elle avait été construite par les seigneurs du Fretay près de leur manoir.

    La chapelle du Ménillet ou chapelle de la Chênette-Tirel

    La date de construction de cette chapelle, toujours visible dans le village du Ménillet, est totalement inconnue. Elle est connue pour ses légendes :

    • Première légende

    Elle aurait été construite en signe de reconnaissance par un propriétaire qui aurait découvert, non loin de là, un trésor composé de pièces d'or.

    • Seconde légende

    Le lieu serait hanté par un poulain blanc qui se présente dès qu'un visiteur s'attarde auprès de la dite chapelle. Si le visiteur refuse de chevaucher l'animal, il se verrait séparé en deux.

    • Troisième légende

    Un objet déposé dans un angle intérieur de l'édifice disparaîtrait en quelques instants si le dépositaire sort de la chapelle quelques instants.

    • Dernière légende

    Un trou creusé un jour dans le sol de la chapelle se verrait systématiquement rebouché dès le lendemain.

    La chapelle Solleux

    Construite en 1884 par la famille Solleux le long de la route de Pancé à Crevin, elle est dédiée à sainte Anne, saint Joseph et saint Apolline. Cette dernière possède également sa légende[Laquelle ?]. La chapelle a été édifiée en repentance à la suite du décès de leur fille unique. En effet celle-ci voulait entrer dans les ordres, mais étant leur seule héritière les parents l'obligèrent à se marier. Malheureusement celle-ci décéda en couche et ses parents décidèrent l'édification de la chapelle.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792   Bertrand Choquet    
    1805   René-Louis Jouon    
    1813 Septembre 1821 Joseph Gendrot    
    octobre 1821 1830 Pierre Massicot    
    1831 1835 Joseph Gendrot    
    1835 1843 René Gendrot    
    1844 1859 René Massicot    
    1859 1871 Jean Hamon    
    1872 1873 Joseph Desbois    
    1874 24 octobre 1885 René Massicot    
    1886 17 juin 1900 René Martin    
    26 juin 1900 1902 Charles Lorin de Branbuan    
    1903   René Martin    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1989 février 2002
    (démission)
    Onen Gorré DVD Retraité de la Gendarmerie
    Réélu en 1995
    mars 2002 mars 2014 Laurent Kazmierczak[24]   Professeur d'EPS
    mars 2014 mai 2020 Jean Princen[25] SE Retraité
    mai 2020 En cours Jean-François Pilard[26]   Enseignant-chercheur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

    En 2019, la commune comptait 1 191 habitants[Note 7], en augmentation de 3,21 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +5,84 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2647601 2541 3201 3631 2961 2851 4561 365
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3581 3371 3591 3521 3711 3601 4051 4261 347
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3031 2561 201990997995979950879
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    7817256897637949641 0991 1181 149
    2017 2019 - - - - - - -
    1 1711 191-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France La-Noe-Blanche - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Pancé et La Noë-Blanche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France La-Noe-Blanche - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Pancé et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 517a.
    22. Ibidem
    23. Xavier Delamarre : Dictionnaire de la langue gauloise, Paris (éditions errance) 2001. (ISBN 978-2-87772-198-1), p. 245.
    24. « Ils ont été élus maires », Dimanche Ouest-France (éd. Ille-et-Vilaine), no 535, , p. 10-13 (ISSN 1285-7688).
    25. « L'annuaire des élus 2014 d'Ille-et-Vilaine », Dimanche Ouest-France, 20 avril 2014
    26. Ouest-France, « Pancé. Jean-François Pilard, nouveau maire de Pancé », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.

    Liens externes

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